Ma sœur et sa copine !
Je venais d’avoir 18 ans, j’en profitais pour passer mon temps sur ma Honda 125 payée avec mes premiers salaires. Je vivais forcément encore chez mes parents et tentais tant bien que mal de m’entendre avec ma sœur aînée de deux ans, Corine !
Elle avait réussi à obtenir La chambre indépendante dans le sous sol. Forcément, j’étais déçu, car pour un jeune adolescent, c’est plus sympa d’être isolé et de vivre son début de sexualité à l’écart !
Corine, a une voiture depuis peu, une petite 4L. Elle est inséparable avec sa copine Marie Françoise, elles passent de longues heures dans la chambre en sous sol, musique des hits à fond !
J’ai remarqué que par la petite fenêtre d’aération située dans l’ angle en hauteur du garage, il m’est possible de les mater !
Donc, chaque fois que je le peux, je fais semblant de nettoyer ou de bricoler ma moto pour pouvoir les guetter, et je ne suis pas déçu !
Il arrive que Marie Françoise vienne passer le W-E à la maison, ses parents sont commerçants, donc très occupés ! Elle arrive le Vendredi soir, et avec ma sœur, elles s’isolent dans la chambre.
Mes parents affalés dans le canapé regardent la TV. Je les ai prévenu que j’allais nettoyer ma moto au sous sol, ils ont rigolé !
Après avoir ouvert la porte du garage et sorti chiffons et clefs, je me suis empressé de gagner mon poste d’observation !
Les deux filles assises sur l’angle du lit se regardent dans les yeux et discutent.
« J’aimerai bien embrasser un garçon, mais je n’ose pas, car j’ai peur de mal le faire ! «
« C’est pareil pour moi Marie Françoise, il est temps que l’on se fasse des mecs ! «
Ma sœur passe sa main dans les cheveux de Marie France et approche sa bouche de ses lèvres.
Là, commence un long baiser. Les deux corps se rapprochent et se frottent. Les mains à Corine enlacent Marie Françoise et descendent sous sa jupe plissée. Ses doigts se glissent sous sa culotte en coton et cherchent sa vulve.
D’étranges sons sortent de la bouche grande ouverte de Marie Françoise. Elle écarte les jambes et je vois la main de ma sœur aller et venir comme si elle lui lustrait la chatte !
Corine plus hardie se frotte à son amie, elle continue à lui dévorer la bouche, les salives mélangées coulent à l’angle des lèvres des deux nymphes.
Marie Françoise ose enfin porter ses mains à la poitrine de ma sœur et commence le pelotage de ses gros seins !
Elle me font bander les deux cochonnes, elles sont belles ! Après avoir lâchée sa fougue, Corine dépose un tendre baiser sur la joue de sa compagne et lui dit :
« Tu devrais profiter de mon frère pour embrasser ton premier homme, cela te feras une bonne expérience, qu’en penses tu ? «
« Oui Corine, c’est pas bête, je vais lui demander qu’il me fasse faire un tour de sa moto, comme cela, il sera seul avec moi ! «
Les deux filles s’embrassent de nouveau avec fougue, leurs mains patrouillent mutuellement leurs corps avides de caresses, elle sont chaudes les deux cochonnes, pense François ! Je vais donc pouvoir me faire la copine à ma sœur ! J’ai hâte qu’elle me demande !
La soirée se déroule normalement. Les filles sont montées dîner avec la famille. Je suis assis à côté de Marie Françoise. Connaissant la situation, j’essaie de créer le contact sous la table en rapprochant mes jambes au maximum. Et forcément à un moment, nos genoux se touchent. Marie Françoise ne dit rien, bien au contraire, elle accentue la pression avec son genou qui est à mon contact. Elle tourne même la tête vers moi en me souriant.
Maintenant que j’y pense, elle est pas mal la copine à ma sœur, je m’en suis fait des pires que cela ! Je passerai bien un bon moment avec elle si elle me le demande !
Je fais tomber ma serviette sous la table, et en me baissant, je passe ma main sous sa jupe plissée pour lui caresser ses cuisses. Elles sont douces, et comme elle ne dit rien, je pousse l’exploration jusqu’à sa minette.
Quelle surprise, elle a enlevé sa culotte en coton et mes doigts se retrouvent directement sur ses lèvres vaginales entrouvertes.
Pris par la panique, je me relève et essuie ma bouche avec la serviette. Personne en dehors de Marie Françoise n’a remarqué ma manœuvre.
Elle continue à me sourire en passant sa langue sur ses lèvres.
Mon père est occupé à remplir son verre de vin, moi je bande comme un cerf, il va falloir que je me branle pour me calmer !
Le repas terminé, chacun retourne à ses occupations, mes parents devant la télé, les filles au sous sol, et moi je monte à ma chambre, il est temps de me calmer. Je me déshabille, et à poils sur le lit, je feuillette un vieux Playboy, les pages ne sont pas toutes collées !
J’essaie de résister un maximum en regardant ses canons nus, je pense à Marie France, et après un bon moment et une bonne branlette, je décharge mon jus avec un grand plaisir ! Je le récupère dans ma main, et comme d’habitude, je me délecte avec, c’est des vitamines, car j’ai pu observer maman en cachette quant elle suce mon père, elle n’en perd pas une goutte !
Après cet exercice, je dors comme un loir ! Je me réveille le matin avec la tric , signe de beau temps !
Je descends au petit déjeuner et tombe en tête à tête avec Marie France. Je lui fais la bise. Après un moment de silence, elle me parle et me demande :
« J’aimerai bien que tu me fasses faire un tour de moto ! «
Je m’ enhardi et lui réponds :
« Avec plaisir ma belle, on voit cela pour 14 H 00 si tu veux ? «
« Super, je vais dire à ta sœur que je serai absente quelques temps ! «
Une fois le petit déjeuner terminé , je retourne dans le sous sol pour observer les deux filles !
Marie Françoise arrive et saute au cou de ma sœur !
« ça y est, il m’emmène faire un tour de moto à 14 h00, je vais enfin connaître des sensations avec un homme ! «
« Contente pour toi, tu me raconteras ma Chérie ! «
A ces mots, les deux filles se dévorent la bouche tout en se pelotant ! Marie Françoise dégrafe se jupe et la baisse, elle est encore sans culotte. Corine s’empresse de se mettre à genoux et de lui lécher sa fente. Elle aime et gémit ! Ce sont bien des gouines !
Le déjeuner se passe bien, maman a préparé un bœuf Bourguignon, tout le monde se régale !
Peu avant 14 H 00, je sors ma 125 et attends sur le parking. Marie Françoise arrive rapidement en petite jupe toile a fleurs et avec des bottines.
« Tu aurais du mettre un jeans ! «
« Je sais, mais j’ai pensé que cela te plairais plus ! «
...
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