Bonjour, lisez les parties précédentes pour comprendre.
Entre.
J’ouvre la porte et j’entre dans un univers à part, tout dans la pièce, respire le sexe, le vice, la luxure.
Une grande vitrine garnie de sex toys, gods, pinces à seins, lanières, martinet, badines.. et tout ce dont on peut réver ou fantasmer.
Dans un coin, un grand écran télé.
Un lit, de grands tapis, plusieurs grands miroirs dont un au plafond, une table d’examen avec étriers.
J’en oublie Monsieur, qui constate mon étonnement, il est assis dans un fauteuil, en robe de chambre magnifique, bordeaux zébrée d’éclairs dorés, il est nu dessous.
Bravo pour ta tenue, Madame Berthe a bien travaillé.
Alors, coquine, est-ce que ce lieu te plait ? Nous y passerons pas mal de temps à chacune de tes venues.
Mais avant de penser à cela, je vais te faire passer quelques tests, pour que tu me prouves ton désir d’initiation, d’évolution, et quelles sont tes bases de connaissance.
Monsieur se lève, me montre un coussin moelleux par terre.. Mets toi à genoux, bien à l’aise, sur ce coussin.
Je me positionne comme Monsieur me le demande, obéissante.
Je t’ai trouvé un prénom qui va te plaire, je le souhaite, tu vas t’appeler Lydia.
Madame Berthe ou moi, nous t’appellerons Lydia, et tu devras répondre à ce prénom, compris ?
Monsieur vient se positionner devant moi, ma tête est juste à la hauteur de.. son bas-ventre.
Défais ma ceinture et ouvre mon peignoir, petite Lydia, viens à la découverte des trésors de ton Maître.
Je défais la ceinture, j’ouvre les pans du peignoir, une très bonne odeur vient chatouiller mes narines en même temps que je découvre un très beau baton de chair déjà à demi-dur, comme un champignon avec un gros gland rouge foncé et un gros sac bien pendant très bas, des bourses comme je n’avais jamais vu dans ma courte carrière de coquine.
Tu vas me montrer comment tu suces une queue et surtout combien tu aimes pomper, c’est très important. Cela me permettra de savoir le travail de formation que j’aurai à te faire pour que tu deviennes une reine de la pipe.
J’ai pris sa bite dans une main, j’ai commencé à lécher tout le long de sa hampe pendant que mon autre main caressait ses énormes couilles, puis j’ai lécher son gland, lécher son frein, ouvert son méat avec ma langue.
Ho Félicitations, tu te débrouilles déjà très bien, vas-y salope, continue.
Je suis toute fière du compliment , je redouble de vigueur pour pomper cette magnifique queue que j’aime déjà.
Je la quitte pour venir lécher les grosses couilles, Monsieur en gémit de plaisir, on dirait.
Je reprends son membre viril en bouche, il me prend la tête entre ses mains et commence à me baiser hum je sens son gros gland aller jusqu’à ma gorge mais sans exagérer, sans m’étouffer, j’adore cette sensation, et lui aussi, je crois.
Il arrête ce petit jeu, reprends ses esprits.
Test concluant, Lydia, c’est vraiment réussi, tu commences à bien me plaire.
Maintenant, tu vas t’allonger sur la table d’examen et mettre tes pieds dans les étriers. Je veux que tes fesses dépassent un peu de la table.
Je m’installe, les étriers sont mobiles, mes pieds et cuisses sont bien écartés,
Monsieur fait reculer les étriers vers mes hanches, ce qui fait un peu monter mes fesses, laissant ma rosette toute nue à la merci de mon Maître.
Il met un gant de chirurgien puis prend une crème blanche, du lait pour le corps, me dit-il, et commence à masser mes fesses, mes bourses et ma rosette,
Ses doigts tournent autour de ma rondelle, c’est vraiment très agréable, Il pousse doucement mais sans forcer.
Je me sens me détendre, presque m’ouvrir, c’est une sensation divine que je n’avais jamais connue.
Petit à petit, un doigt entier est en moi, coulissant trop bien avec la crème, il prépare l’entrée d’un deuxième doigt, toujours tout en douceur.
Je bande comme un fou, ses deux doigts vont et viennent, jouent à l’intérieur,
Tu es bien ouverte, Lydia coquine, il est l’heure que tu sois mienne, je vais te prend entrouvert re.
Il retire ses doigts, passe un préservatif, positionne son gros gland sur mon petit trou, puis s’enfonce tout doucement dans ma chatte anale, ouvrant mes chairs déjà bien distendues.
Cette queue qui s’enfonce en moi me rend folle de bonheur, hum je me sens femelle prise par son mâle, ses mains sont bien fermes sur mes hanche ...
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