Le week-end se passe tout à fait normalement en famille.
A peine de retour le lundi matin, une seule chose m’importait, téléphoner pour confirmer le rendez-vous.
A 10h, je me suis isolé et d’une cabine, j’ai composé le numéro. Quel plaisir d’entendre la voix de Madame Berthe..
Bonjour, Madame, c’est.. Lydia.
Ha oui, Monsieur m’avait prévenu de votre appel, Je suppose que c’est pour confirmer pour demain ? Monsieur avait l’air de beaucoup y tenir.
Heu, oui, Madame, il m’avait parler de 17h ?
Venez avant, le temps de vous habiller, et je crois que Monsieur veut aller faire quelque chose en ville avec vous.
Haa en ville ?
Heu je vais m’arranger pour être chez vous à 16h30, Madame.
Bien, je vous ouvrirais le portail dès que je vous verrais, Lydia.
Ha la surprise, que voulez donc Monsieur ? En ville, mais pas en tenue de coquine, quand même..
J’étais apeuré et aussi terriblement excité.
Le lendemain, j’ai trouvé un prétexte pour partir un peu plus tôt du travail, pris une bonne douche, et voilà, prêt à retrouver ce manoir du plaisir.
A peine j’avais sonné, Bonjour, Madame, c’est Lydia (je commençais à prendre goût à mon joli prénom de soumise), que le portail s’ouvrait.
Madame Berthe m’attendait à la porte de sa pièce – atelier.
Après une petite discussion sur la santé et la météo, elle me montra les dessous que je devais passer et qu’elle avait préparé pour moi, en fonction des désirs que Monsieur lui avait communiqué.
Un sg seins-nus, noir, une petite culotte en dentelle transparente noir, le PJ assorti, des bas blancs, une chemise blanche très fine, un pantalon noir en tergal et des mocassins vernis noirs.
Voilà votre tenue pour sortir, Lydia. Quand vous rentrerez, vous passerez cette mini-robe noire moulante, Monsieur adore.
Je lui demande si elle peut me dire où Monsieur m’emmène, je suis sûr qu’elle le sait. Mais rien, Madame Berthe est toujours muette comme une carpe dès que je veux parler de Monsieur !
Bientôt 17h00, je suis prête, Monsieur ne va pas tarder à m’appeler.
En effet, pile à l’heure, Monsieur m’appelle, je le rejoins dans la salle.
Bonjour, Lydia, viens donc embrasser ton Maître.
Je m’approche et tout doucement, j’ose poser mes lèvres sur les siennes, sa langue vient lécher mes lèvres puis force un peu le passage pour venir jouer avec la mienne, nos salives se mèlent dans une sorte d’union presque sacrée qui me fait fondre.
Monsieur me demande si je connais des gens à la petite ville à 5 kms de chez lui, je luis réponds par la négative.
Bien, alors, allons-y, tu verras sur place quelle mission je t’ai réservé, je t’expliquerai ce que j’attends de toi.
Nous montons dans sa voiture, très confortable, rutilante et prenons la route .
Défais 2 boutons de ta chemise, je veux voir tes seins, Lydia, et caresse moi la queue, j’ai envie de ta main.
J’écarte les pans de la chemise pour que Monsieur n’ait qu’à tourner la tête pour voir mes tétons déjà tous durs d’excitation. Je pose la main sur la braguette de Monsieur et je sens son sexe bien raide, lui aussi, hum ça me rend toute chatte..
Quand j’ai joué avec ton adorable petit cul, la semaine dernière, que se soit avec mes doigts, ou ensuite quand je t’ai sodomisé, tu m’as souillé de quelques traces foncés tout à fait normales venant de ton intestin, car tu n’avais rien fait pour être toute propre de l’intérieur.
Nous allons dans une pharmacie, je rentrerai juste avant toi pour bien entendre ce que tu diras.
Tu vas t’acheter avec l’argent qui est dans le porte-monnaie devant toi, une poire à lavement, je tiens à te l’entendre préciser, et tu rajouteras bien que c’est pour toi, et pas pour ton épouse, une poire à lavement anal, avec petite canule.
Tu m’as bien compris, Lydia ?
J’étais rouge de honte, déjà, rien que d’y penser..
Monsieur a vite vu mon visage un peu décomposé. L’humiliation fait partie intégrante de ta soumission, Lydia, tu dois faire cela, m’obéir pour ton bien.
Il rajoute.. à cette heure-ci, il risque d’y avoir beaucoup de monde.
En effet, difficile de garer la grosse voiture de monsieur sur le parking de la pharmacie, enfin une place se libère.
Je vais rentrer, voir le rayon para-pharmacie près de la caisse, tu me suis dans 30 secondes, Lydia.
J’entrais, j’avais 2 personnes devant moi, j’avais pris soin de refermer ma chemise, quand même, j’étais cramoisi, Monsieur jetait un œil vers moi , il devait avoir peur que je fasse demi-tour.
C’est mon tour.. Vous désirez ?
Je prends mon souffle 5 ou 10 secondes.. Assez bas.. Je voudrais une poire à lavement, s’il vous plait..
Pardon ?
Zut.. Plus fort.. Je voudrais une poire à lavement
Je jetais un œil à Monsieur qui paraissait content de moi.
C’est pour votre épouse, Monsieur ?
Quel con ce préparateur en pharmacie.. pourquoi cette question ?
Heu non, c’est pour moi.
Alors je vous donne une canule anale, je vais vous cherchez ça.
Il revient avec un carton où la chose était bien dessinée sur le carton, aucun doute !
Je paye et quitte la pharmacie, Monsieur était déjà dans la voiture.
A peine installé. Ouvre ta chemise, je te l’ai dit tout à l’heure hhaa et ta main sur ma braguette, allez, dépêche-toi. Tu ne t’en ai pas trop mal sortie, Lydia, j’ai senti ta honte et j’aime ça, tu auras d’autres occasions de te sentir plus honteuse encore, tu verras, tu y prendras plaisir, g ...
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