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À l'orée du bois

Publié par : loro le 16/03/2021

J'avais 22 ans. Je sortais avec une fille, elle était un peu plus jeune que moi, 20 ans. Elle était grande, plus grande que moi et me dépassait de 5 cm environ. Elle était belle, blonde mais elle s'était colorée les cheveux.
On se voyait en fin d'après-midi, après mon boulot. Souvent, elle m'attendait à la sortie. Nous prenions le car, et on se mettait toujours au fond. On en profitait pour se becqueter, et quelques fois se peloter. Arrivé à destination, on se promenait, tout en s'embrassant, en faisant du lèche vitrine. Quelques fois, on rentrait dans un bar, boire un chocolat chaud ou un diabolo, suivant la météo.
Un jour, on descendit avant, l'arrêt était près du stade de foot. En face du stade, un chemin piéton, passant entre clairières et petits bois, menait sur la colline rejoindre un quartier résidentiel. Nous l'empruntammes, le chemin montait, puis un pont enjambait la voie express. Après le pont, on arrivait sur une petite clairière, entourée de bois. Le chemin continuait de monter vers les résidences.
Nous nous arrêtâmes dans la clairière. Il faisait beau, une belle fin d'après-midi de printemps, bientôt l'été. On s'assoit dans l'herbe, à l'écart du chemin, presque au fond de la petite clairière. On recommence à s'embrasser et à se caresser. Nos esprits s'échauffent, le plaisir monte en nous. Les caresses se font de plus en plus entreprenantes.
Je déboutonne son chemisier, l'ouvre et le descend sur sa taille, laissant apparaître sa poitrine et son soutien-gorge rose presque transparent. Je passe les mains derrière son dos, dégrafe son soutif, qui tombe. Ces petits tétons pointent, déjà durs. Je caresse ses seins nus.
Attends, non, il pourrait y avoir quelqu'un qui arrive et nous voit.
Oh, ce chemin est rarement emprunté. Et puis, on s'en fout, ils n'oseront pas regarder.
Et on recommence à se rouler des pelles profondes, je caresse ses seins de plus belle, elle me caresse le paquet à travers le pantalon. Elle descend la fermeture éclair, et rentre sa main. Je défait ma ceinture, descend le jean.
Elle prend mon pénis à pleine main, il est bien gonflé et dur, elle commence une branlette. De mon côté, je lui enlève sa culotte rose assortie à son soutif. Je soulève sa jupe, laissant apparaître son intimité, et caresse sa vulve. Je glisse mes doigts sur ses lèvres et remonte sur son clito. Je branle son clito et elle, mon pénis, on se roule des pelles, l'excitation est de plus en plus forte.
Je lui enlève entièrement sa jupe et son chemisier. J'enlève ma chemise, et ôte entièrement mon jean, on se retrouve tout nu. Nous continuons à nous embrasser, mes doigts écartent ses lèvres et je rentre mon index dans son vagin, pendant qu'elle me branle vigoureusement. Je commence des va et vient avec l'index, puis avec un 2ème doigt. Nous gémissons tous les deux de plaisir. Je me positionne au-dessus d'elle, je prends mon pénis avec la main et le présente devant son antre. Tout doucement, je rentre le gland dans son vagin, tout mouillé, bien lubrifié. Il est rentré, sans forcer.
Elle gémit, moi aussi, j'entame de lent et profond va et vient. Puis j'augmente un peu la vitesse.
Vas-y, fais moi jouir, plus fort, chéri.
Alors, je sors et re ...

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