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Alex baise en relais château 3/3

Publié par : alexis69 le 18/08/2022

Il était sanglé de la tête aux chevilles dans un combinaison en cuir souple incrusté de pierreries, une fermeture à glissière au niveau du sexe et les fesses nus. Monsieur le baron aimait donc se faire mettre… Il me regarda des pieds à la tête, testant la douceur de ma peau, ajustant une lanière. « Vous êtes exquis ! ». J’avais l’impression d’être un chou à la crème qu’on allait regarder avec envie… Il m’embrassa longuement, goulûment sur la bouche…

Il regarda sa montre. « Il est l’heure ! ». Il prit deux petits blasons sur une table et les accrocha à ma tenue, un devant au niveau de la coquille qui cachait mon sexe (pour le moment) et un derrière, entre les épaules, sur le harnais. Il saisit une laisse en cuir et métal qui se trouvait sur la table à côté et l’accrocha au collier que je portais.
Je fis donc mon apparition dans une grande salle voûtée tenu en laisse par Livio. Les regards se tournèrent vers le baron puis vers moi. Je découvris un parterre d’hommes âgés, voire très âgés, accompagnés chacun d’un jeune homme tenu en laisse. Certains sexes étaient bien visibles ; Je remarquai qu’ils étaient de belles dimensions…

L’assemblée applaudit notre apparition. Le baron se dirigea vers un pupitre et me tenant toujours en laisse, prit la parole.
« Voilà notre confrérie à nouveau réunie pour la deuxième session de l’année et pour la sixième année ! Chacun d’entre nous a recherché le plus bel esclave à offrir à l’ensemble des membres… Nous allons maintenant profiter du corps de ces jeunes gens. Je déclare ouverte cette 18e session de notre confrérie dont je vous rappelle la devise « Le plaisir entre hommes, rien que le plaisir entre hommes jusqu’à l’extase ! ».
Il descendit du pupitre, s’approcha de moi et m’embrassant sur la bouche à nouveau, me dit « Va et soit digne de ton maître ! ». Ce disant il retira la laisse et me poussa légèrement vers l’assemblée.
Je compris ce qu’on appelait les regards lubriques. Certains de ces petits vieux devaient être de sacrés pervers… J’observai aussi mes compagnons « esclaves », certains ne semblaient pas du tout à l’aise. Dans les premières minutes un homme obèse attrapa le jeune homme qui passait à sa portée et se fit lécher les fesses en gloussant, un autre prit un tendrement dans ses bras un garçon magnifique, belle queue bien en vue. Il l’embrassa longuement, le masturba et lui tourna ostensiblement le dos en lui tendant ses fesses. Le couple avait l’air de bien fonctionner. En tout cas le plaisir était réciproque. Tout à mes observations je ne le vis pas arriver mais je sentis la présence d’un homme derrière moi. Je me retournai et par réflexe lui tendis les bras. On resta les yeux dans les yeux quelques secondes, il vit mes tétons proéminents et se mit à les pincer à les tordre. Je gémissais sous l’effet d’un plaisir intense. L’homme était grand, grisonnant, aux superbes yeux bleus. Un autre homme s’approcha de moi et se mit à me doigter avec un rire gras.
Le premier me prit par l’épaule et me dit « Venez... ». Il m’entraîna sur le côté de la pièce. J’y distinguais des alcôves munies de rideaux. Certaines étaient déjà occupées mais il en restait beaucoup de libres. Il tira le rideau. Il retira sa combinaison en cuir quasi identique à celle du baron, sauf que les fesses étaient couvertes.

Il s’approcha de moi et tout en m’embrassant me retira la culotte en cuir et le harnais. Il se pencha pour me sucer les tétons puis brusquement me poussa sur le lit. Il s’allongea sur moi et resta ainsi à me regarder, à me caresser. « J’adore votre peau douce ! ». Je lui souris. Il s’accroupit sur mon torse et me présentant sa queue me dit « Donne-moi du plaisir ! ». Je lui répondis « Je suis là pour vous... ». Belle queue qui fut très rapidement bien rigide. Je m’appliquais à le pomper réagissant à ses gémissements, ses coups de queue pour s’enfoncer dans ma bouche. Il se redressa et me demanda de me mettre au bord du lit. Il souleva mes jambes, les écarta pour les mettre sur ses épaules. Je lui facilitais la manœuvre au maximum, me soulevant pour que mes fesses soient à la bonne hauteur. Il me pénétra sans s’aider de ses mains. Dire que ce fut un moment intense serait au-dessous de la vérité. Cet homme aimait faire l’amour à un homme. Nous étions ensemble dans une état de plaisir partagé que j’avais rarement atteint. Lorsqu’il jouit nous poussâmes tous les deux un grognement prolongé qui fit s’ouvrir le rideau à plusieurs reprises pour voir qui jouissait aussi fort.
J’entendis « C’est votre protégé baron et le... » s’ensuivit un mot à voix basse que je ne compris pas.
L’homme resta en moi quelques minutes avant de se retirer. Il s’allongea près de moi. Récupéra quelques instants me sourit et dit « Je vous souhaite une excellente soirée. Pour moi elle vient de merveilleusement commencer grâce à vous ».
Il sortit de l’alcôve avant moi, le temps que je remette mes accessoires en place. J’entendis à proximité la voix de celui qui venait de si bien me baiser. « Félicitations baron, ce garçon est exceptionnel ! ». Quelques secondes plus tard le baron entra sourire aux lèvres. Sans un mot il m’embrassa, ouvrit la fermeture à glissière de sa combinaison, sortit son sexe et me le fourra dans la bouche. Je fis tout pour le satisfaire. Il gémissait, s’agitait, s’enfonçait un maximum dans ma bouche (sa queue de taille moyenne ne me posait aucun problème). Ses gémissements s’amplifièrent puis il lâcha tout dans ma bouche en poussant un long cri qui attira à nouveau les curieux. Il haletait, poussait de petis cris pendant que je continuais à lécher son gland. Il me caressait la tête doucement.
La soirée commençait bien mais ce n’était qu’un hors d’oeuvre…
Je ne bougeais plus de l’alcôve. Les hommes se succédaient, parfois à plusieurs.. Le baron sortit un martinet et me fessa tandis que d’autres me caressaient. Le gros vicieux me pinçait les tétons. La douleur amplifiait le plaisir. Je criais, m’agitais, haletais… J’étais au bord du malaise, lorsque le baron posa le martinet. Commença alors le défilé… Un premier homme m’encula, il jouit assez vite en poussant de petits cris. Il fut suivi immédiatement par un deuxième, puis un troisième.. J’étais à quatre pattes sur le lit et ils me prenaient en levrette. Ma chatte était bien ouverte et le sperme coulait le long de mes cuisses. L’homme obèse et vicieux voulut me baiser lui aussi. Je sentis à peine sa queue et ne fis aucun effort pour l’aider. Il finit en se branlant à côté du lit.
Le baron qui était toujours présent déclara alors « Il nous a bien servi ce soir. Je vous suggère de lui laisser prendre quelques heures de repos... ». L’un d’entre eux dit « Il a servi vos armes avec honneur baron ! ». D’autres voix se firent entendre l’approuvant. Le baron avait du mal à cacher sa satisfaction… Orgueilleux le baron ? Sans aucun doute.

Je trouvai le courage de me doucher et de me nettoyer puis je m’écroulai sur le lit et ne me réveillai qu’au matin. Il était 7h. Bertram entra poussant un chariot rempli de croissants, de petits pains viennois variés, de pain, de beurre, de confiture, du jus d’orange, du café… de quoi reprendre des forces.
S’adressant à moi « Monsieur le baron et les membres de la confrérie sont particulièrement satisfaits de votre prestation ! ». Je ne répondis pas avant d’avoir ingurgiter un petit pain au chocolat…
« Je croyais qu’on devait venir me réveiller après quelques heures de repos ? ». « Je suis venu » me répondit Bertram « mais je n’ai pas réussi à vous réveiller... ». « Désolé ! ». « Monsieur le baron m’a ordonné de vous laisser dormir ». ‘Ordonné’ waouh… Bertram se retira (de la chambre, pas de confusion !). Il reparut une trentaine de minutes plus tard « Monsieur le baron vous attend !».
Je commençais à en avoir un peu marre de toutes ces simagrées. Définitivement ce n’était pas mon monde.
Le baron me reçut en peignoir (blason sur la pochette) et me prit dans ses bras. « Mon garçon vous avez fait honneur à ma maison !  Mes compagnons n’ont pas tari d’éloges vous concernant. » Il sembla pensif un instant, me jaugeant du regard. « Je vous propose de me faire allégeance à vie. Vous vivrez dans le luxe et participerez régulièrement à nos soirées. Mes compagnons vous ont adoubé pour devenir un participant permanent. Le pr… ». Il s’arrêta brutalement de parler comme s’il allait divulguer maladroitement une information capitale. « Le premier homme que vous avez servi souhaiterait ardemment vous revoir ». Je m’interrogeais en silence. « Le pr... » le professeur ? le prince ? Le président ?

Je prie le temps de lui répondre pour montrer que ma décision était mûrement réfléchie.
« Monsieur le baron, Livio… J’ai passé une soirée au-delà de tout ce que je pouvais imaginer. J’aime donner du plaisir à mes partenaires et vos compagnons ont été divins.
Cette soirée exceptionnelle restera exceptionnelle. J’ai été très flatté de défendre vos couleurs et d’en être jugé digne, mais il n’est pas question que je fasse allégeance à qui que ce soit… Les mots que vous employez font écho à mes cours sur l’Ancien Régime. Cela heurte ma sensibilité, mes convictions, mes principes… Mais je n’oublierai jamais cette soirée et votre gentillesse envers moi. Je mesure la chance que j’ai de l’avoir vécue.

Le baron écarta les bras en signe d’impuissance. « Je respecte votre décision mon garçon. Mes compagnons vont être extrêmement déçus ».
Puis se levant du fauteuil dans lequel il s’était assis en m’écoutant, il prit une épaisse enveloppe en kraft qui était posée sur la table. « Te ...

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