Ce récit a été noté : 4.0 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
Alex se fait bien remplir par son cousin

Publié par : alexis69 le 09/08/2022

Je venais de passer un mois de juillet sublime à Biscarosse dans les Landes. Je m’étais offerte à mon ami/amant Yann. J’avais 15 ans lui en avait 16 (Lire « Alex on dirait une fille! »). C’était l’aboutissement d’une relation amoureuse qui ne disait pas son nom et ce grâce à Anne, la sœur jumelle de Yann. C’était aussi notre dernière année de vacances ensemble, leurs parents allaient s’installer aux États-Unis à l’automne.

En ce début de mois d’août j’avais encore toutes les sensations de ce que nous avions vécu ensemble. Je sentais ses mains sur mon corps, ses baisers dans mon cou, son sexe dressé et ses mots d’amour « Alex je t’aime », « Alex tu me rends fou ! »…

Traditionnellement je passais huit à dix jours de vacances chez des cousins à Lyon vers la fin du mois d’août. Je m’entendais très bien avec eux.
Paul « Paulo » et Paulette (ça ne s’invente pas) formaient un couple atypique : 1,60m, tout en rondeurs autant l’un que l’autre, la cinquantaine bien portante, ils passaient leur temps à se taquiner. Paulo excellait dans l’art de faire enrager sa femme et ça marchait à tous les coups « M’enfin Paulo !! » « Ooh chouou !!! » et celui-ci partait d’un éclat de rire aussitôt suivi par Paulette qui comprenait qu’une nouvelle fois elle venait de se faire avoir. Il habitaient un bel appartement au 3e étage d’un immeuble calme, rue Quivogne.
Je m’entendais particulièrement bien mon cousin. Il travaillait à « EDF-GDF » au service « Urgence Gaz ». Quand il avait du temps libre il me faisait visiter la ville, j’adorais nos promenades, on riait beaucoup ensemble.

Il avait installé une douche dans les toilettes « à la turque » qui se trouvaient à l’entrée de l’appartement. Il y avait bien une baignoire « sabot » dans le « cabinet de toilette » comme on disait à l’époque mais Paulo n’aimait pas ça. « En plus de se baigner dans sa crasse on dépense beaucoup d’eau ! » disait-il. Il trouvait que la douche c’était plus sain et plus économique. Mon père tenait le même discours…

Cette journée d’août avait été très chaude. Paulette était inquiète pour leur petit jardin ouvrier à Gerland, elle était partie vers 17h en bus pour cueillir quelques tomates et « arroser un peu ». Paulo n’était pas encore rentré du travail. J’en profitais pour me doucher. Si l’installation était parfaite elle présentait un inconvénient de taille : il fallait se déshabiller et se rhabiller à l’extérieur des toilettes sinon on mouillait les vêtements. Seule la serviette positionnée en hauteur échappait au déluge. J’avais pris l’habitude de me déshabiller dans ma chambre, de nouer la serviette autour de ma taille et de faire la même manœuvre pour revenir me rhabiller.
Me croyant seul je me suis séché dans la douche et je suis sorti nu, sans remettre la serviette autour de ma taille.
Paulo était rentré, il était en train de se servir un verre d’eau dans la cuisine. « Waouh ! Tu as bien changé ! » s’exclama-t-il en me voyant. Je cachai mon sexe avec la serviette mais il vint vers moi, l’écarta en me disant « Montre toi un peu… Ah oui… Tu as bien grandi ! ».
Je me hâtai de gagner ma chambre et de me rhabiller.

Au repas le soir Paulette nous raconta qu’elle avait trouv é leur potager « souffrant de la soif ». Les tomates étaient petites. Elle avait arrosé avec parcimonie parce que la réserve d’eau de pluie dans le tonneau baissait dangereusement. Paulo dit tout à coup en me désignant « Il a bien mûri ! ». Paulette le regarda et s’exclama d’un « Ooh Chouou… » réprobateur. Je ne savais pas ce qu’il entendait par « mûri » mais je n’allais pas tarder à le comprendre…
Le soir, tard, il est entré dans ma chambre. Il m’a fait signe de garder le silence. J’étais allongé sur le lit torse nu. Il a commencé à me caresser la poitrine, à me sucer les tétons… Il a bien vu que je prenais du plaisir… Il a ouvert le bas de mon pyjama et a commencé à me lécher les couilles avant de me faire une fellation magistrale. J’ai joui rapidement en gémissant, mon corps parcouru de spasmes. Avec Yann il ne nous était jamais venu à l’idée qu’on pouvait se sucer… Heureux ados...
Ensuite Paulo m’a poussé dans le lit en me faisant pivoter sur le côté. Il a laissé tomber son short et s’est allongé contre moi. J’ai senti son sexe raide contre mes fesses. Il m’a mis de la vaseline, m’a doigté puis m’a pénétré doucement. Je me souviens de ce mouvement de va et vient de son sexe à l’intérieur de moi. Ce n’était pas un plaisir inconnu. Je me suis laissé aller… Je gémissais… C’était bon... Il a accéléré le mouvement, j’ai tendu mes fesses vers lui, il s’est arc-bouté et a joui en moi avec des soubresauts de tout son corps. Il a poussé un long grognement.
On est resté un moment sans bouger à reprendre notre respiration puis il est sorti de moi, il s’est redressé, son sperme commençait à couler des mes fesses. Il m’a mis un mouchoir pour éviter de salir le drap. Il m’a demandé « ça va ? ». Je lui ai fait signe oui de la tête et je lui ai souri. Il m’a caressé doucement les cheveux puis il s’est rhabillé et il est sorti de la chambre.

Le lendemain soir, je venais de prendre une douche juste avant de me coucher et je finissais de me sécher dans ma chambre, il est entré complètement nu. Je me suis allongé sur le lit. Il m’a sucé, m’a fait jouir puis m’a fait mettre en levrette. Il était endurant et doux, c’était une pure merveille, j’en redemandais. « Tu aimes ça n’est-ce pas ? ». Et j’approuvais de la tête. Il restait un moment en moi après avoir joui. On profitait de l’instant.
Il est revenu tous les soirs pendant ma dernière semaine de vacances et m’a fait l’amour de la même façon. Il n’a jamais voulu que je le touche. Je ne me suis jamais senti violé . Tout ça arrivait dans la continuité de ce que nous avions vécu ensemble avec Yann.

Le samedi Paulo déclara : « Demain on ira pique-niquer en bord de Saône. On pêchera et on mangera notre friture à midi... » . Paulette dit « Je vais quand même préparer un panier! ». Paulo grogna « Tu n’as pas confiance ? ». « Les poissons peuvent être aux abonnés absents... » dit-elle sur un ton ironique.
Le dimanche matin de bonne heure Paulo alla chercher leur 4CV Renault au garage. Imaginez le tableau : les cannes à pêche sur la galerie ainsi que le panier en osier bien arrimé, la table, les chaises pliantes et le réchaud « Camping-gaz » dans le coffre à l’avant, Paulette et Paulo s’installant dans la 4CV… « Eh moi je cours derrière ? » demandai je… Fou rire collectif. Je m’installais à l’arrière de la voiture en repliant mes jambes au maximum. La 4CV avait le mérite d’exister, petite voiture très maniable mais très bruyante et quant aux amortisseurs ils étaient très rudimentaires. Paulo conduisait comme s’il se trouvait sur un circuit automobile, râlant en bon français après « les conducteurs du dimanche ».
Après une heure de route il quitta la voie principale et engagea la 4CV dans un petit chemin entre les arbres. Après quelques centaines de mètres parcourus à petite vitesse, le chemin débouchait sur une clairière en bord de Saône. Paulette semblait ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Fellation, Sodomie, Mûrs