Auprès de mon arbre – Episode 2

Mi-mai 23 ; Enfin une occasion de me rendre à Fumel. Après un gros orage en début d'après-midi, le temps est aux éclaircies. Place de la mairie, je prépare ma trousse de premier secours (Capote, gel,Kleenex) et quelques affaires de toilette. Un homme assez jeune, grand, le visage mangé de barbe, traverse la place et rejoint son fourgon garé à proximité. Je me dis que je viens peut-être de manquer une belle occasion ; et puis je me dis que je commence à prendre mes rêves pour des réalités. Je ne sais pas si ce bonhomme vient des WC, ou de la mairie, ou du jardin de la mairie, ni s'il s'intéresse aux hommes, âgés de surcroît !
Pour les WC, ils sont désespérément déserts. Je fais une petite toilette intime et fonce à l'aire de repos de Bourlens à quelques kilomètres. L'aire aussi est déserte. Je prends le passage qui donne sur les arrières ; les hautes graminées sont encore mouillées, la petite arène sous « mon arbre » bien dégagée, mais : personne ! Dépité, je rejoins mon véhicule en traînant les pieds .. . pas même envie de me branler un peu . Plus qu'un mince espoir, faire un détour par le bois proche de Tournon avant de rentrer.
Je démarre, marque le stop au débouché sur la grand route et laisse passer un auto suivie d'un fourgon qui entrent sur l'aire. L'automobiliste me jette un regard appuyé en passant près de moi. J'espère que ce n'est pas mon imagination qui bat la campagne ! Au lieu de partir à droite comme prévu, je tourne à gauche, longe l'aire et reviens par l'autre entrée côté Fumel pour me garer près du passage donnant sur les arrières. Mon automobiliste, garé prés de son entrée, se dirige à pied droit vers moi ; je m'avance à sa rencontre. Arrivé près de moi, il jette un regard méfiant en arrière :
-  « Je ne sais pas ce qu'il veut, l'autre ! »
Pour nous deux, pas de problème, nous savons ce que nous voulons. Je rétorque:
« S'il veut, il n'a qu'à venir ! » Façon de lui dire que la présence de ce troisième larron ne va pas me déstabiliser ni me faire fuir. Et nous nous dirigeons vers l'abri de mon arbre.

Il ouvre sa braguette, dégrafe le pantalon et sort une belle queue déjà en pleine érection. Taille d'une bonne moyenne, plutôt conique : petit gland triangulaire, base forte et épaisse. J'ouvre largement mon pantalon, baisse mon slip pour bien montrer que je suis à disposition. Je prends l'objet en main, commence à le caresser, glisse l'autre main sous les testicules, l'insinue entre les cuisses qui s'écartent un peu. Je le branle doucement, décalotte le gland de temps à autre. Je me penche en avant, approche ma bouche, titille ce gland du bout de la langue, fais semblant d'hésiter puis d'un coup j'avale la belle bite jusqu’à la garde et commence à la sucer consciencieusement. Comme à l'accoutumée, mes mains, ma bouche humide s'activent de leur mieux. Je caresse, palpe,pétris, lèche ; La queue raide à souhait se laisse dorloter et de temps à autre, animée d'un roulement de reins baise ma bouche docilement offerte. Je la redresse, la plaque contre le ventre, la fais rouler sous ma main puis mes lèvres mouillées prennent le relais, bouche presque fermée elles montent et descendent des testicules au gland, s'attardent sur le frein sensible ; je lèche bite et ventre, avale de nouveau et suce tantôt légèrement, tantôt aspirant en ventouse avec force. Mes mains montent vers la taille, le buste, jouent avec un téton : pas de mouvement de refus, au contraire. Belle Bite glisse une main sous ma chemise, pétrit mes petits seins, pince les bouts en douceur. Je me redresse, soulève sa chemise, colle la bouche à son téton, aspire, lèche, mordille légèrement puis change de côté. Et puis je me penche de nouveau et reprends ma sucette.
Au bout d'un certain temps, d'un regard en coin, deux mètres en arrière j'aperçois un pantalon ouvert et une petite bite raide un peu noyée dans de belles couilles. Absorbé par mon activité je n'avais rien vu venir. Belle Bite avait forcément vu l'arrivant et ne m'avait rien dit, mais j'avais donné mon accord d'avance et lui n'était nullement gêné. La bouche toujours pleine, je luis fais signe d'approcher. Je garde la main sur la grosse bite, enfourne la petite et commence à la sucer aidé par ma main libre. Pendant un moment, j'alterne mon activité entre les deux sexes. Et « l'autre », celui du fourgon, fait son apparition se branlant timidement en bordure de champ, de l'autre côté de mon arbre. Se sentant démasqué il s éloigne et disparaît.
Tourné vers petite bite que je suce je sens un doigt qui tente de pénétrer mon anus. - »Attends !» ; je prends vite une noisette de gel et lubrifie le passage. Le doigt entre comme dans du beurre. Je change légèrement de position pour m'offrir du mieux possible et me remets à sucer petite bite. A l'arrière ce sont maintenant deux doigts qui explorent mon fondement. Au loin, de l'autre côté du champ, nous entrevoyons de nouveau « Timide » qui se branle. Un peu plus tard je suce Belle Queue.Je dis à Petite Bite un peu timide lui aussi : « Tu peux mettre le doigt » ce qu'il fait aussitôt. Soudain, une douleur vive cingle mes fesses ; « Doucement les tapes !» ...L'histoire se répète ; comme il y a deux ans j'ai réagi sous l'effet de surprise. Je ne sais pas lequel a tapé mais il ne recommencera pas. Prévenu, j'aurais bien aimé l'expérience d'une petite fessée modérée.
Je continue mes fellations... et « Timide » fait sa réapparition. Il s'enhardit même et s'avance un peu sous le petit chêne en se masturbant. Je lui fais signe d'approcher. Il s'avance près de Petite Bite. Sa bite à lui, pas vilaine du tout : harmonieuse, de taille moyenne, bonne bandaison. Bien entendu mes mains et ma bouche font connaissance du nouveau jouet.
Pendant un moment je partage mes attentions entre les trois compères puis je lance ma question rituelle curieux de l'accueil qui lui sera réservé.
-  « Vous voulez me baiser ? »
Déception ; Belle Queue :
-«Non, je ne baise pas .»
Petite Bite, complexé peut-être, un peu à regret car il aurait aimé voir :
« Non ! Non. »
Timide ne répond pas.
Je me remets donc à sucer. Un moment plus tard, penché en avant, les fesses tournées vers Belle Queue, main et bouche s'activant sur les queues des deux autres, je sens un doigt s'enfoncer profondément dans mon trou, puis deux, puis trois sans doute suivis de la main qui pousse ; mon anus est tendu, dilaté à l'extrême, le bout des doigts butte au fond du rectum et la main pousse, pousse ! De longs moments durant je bouffe queues et couilles devant moi avec cette main qui maintient sa pression et la dilatation.
Il y a longtemps que le jeu a commencé avec Belle Queue quand il retire sa main, rajuste son pantalon et se prépare à partir. Les deux autres suivent le mouvement.
« Vous n'avez pas joui »
« Non, c'était très bien comme ça » déclare Belle Queue.
Chacun prend son plaisir comme il le souhaite. Certains désirent surtout se vider les couilles, d'autres aiment s'exciter, se faire sucer, caresser et ne veulent surtout pas jouir. Ils préfèrent partir en état d'excitation peut-être pour continuer le jeu chez eux seuls ou avec leur femme. Moi j'aime satisfaire mes partenaires et me prêter à leurs envies (avec des limites). Timide part vite en catimini. Belle bite s'en va en m'adressant un franc et chaleureux « merci ! ». Petite Bite le suit en me gratifiant aussi d'un « merci ».J'essuie mes fesses, remets mes vêtements en ordre et regagne l'aire.

J'arrive, une dizaine de mètres derrière Petite Bite parti en traînant les pieds. Il aurait sans doute aimé que le spectacle continue. Un grand bonhomme descendu d'un fourgon garé à une quarantaine de mètres se dirige droit vers le passage que je viens de franchir. Petite Bite se retourne vers moi, désigne l'arrivant d'un mouvement de tête et agitant l'avant bras, poing fermé me fait signe « Celui-là, il y va ! » et puis le geste du pêcheur, celui du diable sous les traits du sacristain tentant Dom Balaguer obsédé à la pensée du réveillon qui l'attend après ses trois messes basses de Noël...  « ...grosses comment les truites Garrigou ? » « Des truites grosses Comme ça ! mon révérend ...Enormes !! »
Et le grand bonhomme au visage mangé de barbe, c'est celui qui traversait la place de la mairie de Fumel ! Il passe à quelques mètres de nous sans un regard et franchit le passage. En un éclair j'ai le sentiment qu’aujourd’hui c'est le destin qui a voulu qu'on se rencontre. Pas une seconde d'hésitation ni de doute. Je fais demi tour . A grandes enjambées je le rejoins à son arrivée sous mon arbre. Il vient juste d' entrouvrir son pantalon d'où s'échappe la belle queue. Je m'avance à le toucher : « moi je ne bande pas, ou très peu » et je ...

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