Mes parents avaient assez mal pris le fait que je sorte avec Claude et il y eut, à la maison, des discussions houleuses. Mon père voulut que l'on rompe en estimant que j'étais trop jeune pour me mettre en couple et j'ai beaucoup pleuré en expliquant ce que je ressentais vraiment. Finalement, ce fut ma mère qui se fit plus compréhensive et qui calma tout le monde en proposant que Claude reste dormir à la maison. Mon amant accepta et pendant une semaine il s'installa chez nous. Comme il avait de gros besoins, Claude me niquait au moins trois fois par jour et, au bout de trois jours, mes parents commencèrent à trouver ça excessif. Je criais en jouissant et je perturbais ainsi leur sommeil. Ils nous demandèrent de nous calmer mais nous n'en fûmes pas capables. Il y eut une nouvelle discussion un peu tendue au cours de laquelle nous fîmes valoir notre droit à faire l'amour autant que le besoin s'en faisait sentir. Mes parents quand à eux, nous dirent qu'ils ne souhaitaient plus nous entendre niquer. Finalement, mon père suggéra que Claude retourne vivre chez lui et que je couche avec lui le vendredi et le samedi soir. Bien sûr cela ne nous convint pas et je réclamai d'aller vivre chez mon parrain. Ma mère demanda à Claude si il se sentait capable de me prendre en charge et veiller à ce que je travaille convenablement au lycée. Il lui fit alors remarquer qu'en tant qu'enseignant, ce serait un comble s'il ne parvenait pas à superviser mon travail scolaire. Il s'engagea à me faire travailler et à prendre en charge tous mes besoins. Maman accepta donc que je quitte la maison pour aller vivre mon idylle avec Claude mais elle exigea que nous déjeunions avec eux tous les dimanche midi. Ce fut ainsi que je déménageai mes affaires chez Claude et démarrai ma vie de couple avec lui.
Claude me fit tout de suite de la place dans sa penderie pour mes habits et dans son bureau pour mes affaires de classe, aussi mon emménagement fut rapide. Nous étions un samedi et avions beaucoup de temps alors nous nous mîmes au lit et nous niquâmes comme des bêtes. Claude me pénétra en levrette puis il me besogna avec des va-et-vient amples et profonds qui me provoquèrent rapidement un premier orgasme anal. Je me mis à crier de plaisir en enchainant les orgasmes et j'exprimai clairement mon désir d'être baisé à fond. Mon parrain ne ménagea pas ses efforts et, subitement, il décula et me retourna pour que je prenne sa bite en bouche. N'ayant pas fait de lavement, sa verge portait les traces de ma sodomie mais je n'y prêta pas attention. Je gobai son organe crasseux et le suçai avec gourmandise. Il ne fut pas long à venir et éjacula dans ma bouche après quelques courtes minutes de fellation. J'avalai son sperme et poursuivis par un nettoyage méticuleux de sa verge. Je léchai sa bite et la suçai encore pour faire disparaître toute trace et toute saveur de caca. Quand elle fut propre et insipide, j'abandonnai ma tâche et allai embrasser Claude avec passion.
- Mmm… Mon Chéri, tu es vraiment parfait. Tu as aimé sucer ma bite à la sortie de ton cul ? Me demanda-t-il après mon baiser langoureux.
- Oui, répondis-je aussitôt, c'était un peu sale mais j'aime bien ça en fait.
- Tu aimes quand c'est sale ?
- Oui, je crois que ça m'excite.
- Alors t'auras souvent l'occasion de sucer ma verge crasseuse car j'aime bien jouir dans ta bouche. Je suis content que tu sois là avec moi. On va pouvoir vivre comme on veut et niquer autant qu'on veut sans risquer de déranger quelqu'un.
- Je pourrais rester à poil alors ?
- Oui, mon Chéri, tu pourras rester à poil dans la maison. Ça sera même ta tenue intérieure. Je te veux nu tout le temps pour être disponible à tout moment et pouvoir être baisé n'importe où.
- Oh, tu vas me baiser partout dans la maison ? J'ai hâte de voir ça.
- Ne t'inquiète pas, ça va venir vite. Et, dis-moi, t'as déjà fantasmé sur des rapports multiples ?
- Comment ça ?
- Et bien être baisé par plusieurs hommes les uns après les autres et servir de vide-couilles à des adultes un peu pervers comme moi.
- Non, je n'ai jamais fantasmé là dessus, pourquoi ? Tu voudrais que je serve de vide-couilles ?
- Oui, j'aimerais te partager avec quelques amis et faire de toi une vraie lopette.
- Si c'est ce que tu veux, je veux bien être partagé et traité comme une lopette mais je ne veux pas être violenté.
- Non, ne t'en fais pas pour ça et je ne te proposerai pas un plan sadomaso. Je t'aime, mon Chéri, et je ne veux que ton bonheur.
- Moi aussi je t'aime et je suis prêt à tout pour te faire plaisir.
- Ah oui, tu es sûr de ça ? Viens avec moi dans la salle de bain, je voudrai tester un truc.
- Tu veux tester quoi ?
- Tu verras ; c'est une surprise.
Je me tus et suivis Claude dans la salle de bain. Arrivés dans la pièce, il m'ordonna de m'agenouiller dans le bac de douche et je lui obéis sans me poser de question. Il me demanda d'ouvrir la bouche et de fermer les yeux puis, il urina sur mon visage. Je reçus sa pisse tiède sur la figure et dans ma bouche ouverte et j'en avalai un peu. Puis, emporté par mon excitation, je gobai sa verge molle et je bus la fin de sa miction. Il me félicita alors pour mon initiative et me traita de bon petit urinoir. J'en ressentis de la fierté et lui dis qu'il pourrait recommencer quand il le voudrait. Il me promit de s'en rappeler et me demanda de le sucer jusqu'à ce qu'il bande assez pour me la mettre. Je lui fit donc une fellation et rapidement, je sentis sa verge gonfler dans ma bouche. Mon parrain se remit à bander comme un taureau et il me tira hors de la douche pour me prendre à quatre pattes au milieu de la sale de bain. Je n'opposai aucune résistance et me laissai sodomiser par mon parrain en rut. Il me pilonna le fondement à grands coups de reins et ses va-et-vient virils me firent jouir du cul très vite. Je me mis à crier de plaisir et le suppliai de ne pas se retenir et de jouir en moi. Claude ne se retint pas et il décula soudainement en annonçant qu'il allait jouir. Je me retournai alors pour prendre en bouche la bite qui sortait de mon cul et la trouvai assez sale. Néanmoins, je ne fis pas le difficile et je la gobai pour la sucer. Je n'eus pas trop d'effort à faire car Claude était bien mûr et il éjacula très vite dans ma bouche. J'avalai sa semence et me relevai ensuite pour l'embrasser.
Je me fis vite à la vie de couple avec Claude et le fait d'être chez lui eut vite plein d'avantages. En premier lieu, je pus vivre à poil dans la maison sans que cela ne pose problème. Ensuite, ma nudité fit que Claude put me baiser n'importe où et en moins d'une semaine, nous avions fait l'amour dans toutes les pièces de la maison. Par ailleurs, nous nous répartîmes assez vite les tâches ménagères et je m'occupai plus particulièrement de la lessive et du ménage tandis qu'il prit en charge la préparation des repas et les courses. Je m'acquittais de mes tâches ménagères le weekend et elle ne me prenaient pas plus de deux heures le samedi matin ainsi, je disposais de pas mal de temps libre et je pus travailler mes cours et préparer mes épreuves de français du BAC. De ma réussite à cet examen dépendait l'autorisation que j'avais de vivre chez mon parrain. Aussi, Claude se montra très attentif à mes révisions et je réussis haut la main cette épreuve. Après mon BAC français, j'étais en vacances et je m'ennuyai un peu à attendre Claude qui avait encore des cours. Pour tuer le temps, je me mis à regarder des dvd porno gay que Claude gardait dans un petit secrétaire dans le salon. Cela alimenta mes fantasmes et ma libido et j'eu de plus en plus besoin d'être niqué. Par ailleurs, certains de ces dvd présentaient des gang bangs et je me mis à repenser au fantasme de Claude de me partager. Je lui en parlai le jour de ses vacances et lui avouai mon envie de devenir une bonne lopette prête à être baisée par toute personne qu'il me présenterait. Cela l'excita au plus haut point et il me sauta tout de suite comme un sauvage. Il me baisa assez rapidement et éjacula au fond de mon cul en grognant de plaisir. Ce soir là, il appela ses copains et collègues gay pour les inviter deux jours plus tard pour un barbecue. Ils furent six à accepter l'invitation et tout ce monde fut informé de ma présence et de ma disponibilité. Claude se montra très excité à l'idée de me partager et il me sauta plus qu'à l'accoutumée mais quand vint le jour tant attendu, il se calma. Bien sûr, il me sauta au réveil mais ne me baisa pas en milieu de matinée. Moi même, sachant que j'allais être livré aux assauts de sept mâles en rut, je ressentais une certaine excitation.
Les amis de Claude arrivèrent vers onze heures, à l'heure de l'apéritif, et, comme voulu par mon amant, je les accueillis à poil. Claude s'était habillé léger et je me sentis un peu honteux d'être le seul à s'exhiber. Denis, un homme de l'âg ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur