L'invitation à essayer son gros engin agricole prêtait à confusion, même si j'avais compris son intention. Mais après tout, je n'étais plus à cela prêt. Et j'avais envie de goûter à ce beau dard qu'il exposait devant moi. Il tombe la cote :"passe devant, je te suis". Je grimpe dans la cabine du tracteur. Il m'arrête en chemin en prenant mes hanches et colle sa bouche dans mon sillon fessier : "Un ptit coup de langue, ça te dit ? ". Je sens sa langue contre ma rondelle, je me cambre pour qu'il appuie encore plus fort :"oh oui, c'est bon ça, encore, hummmm". Après ce léchage subtil, j'entre dans la cabine. Il me contourne et s'assoit sur le siège : "viens t'asseoir sur moi, tu vas conduire". Je pose mon ptit cul contre son braquemart dressé vers le ciel, je le sens contre mon sillon. Je bande dur moi aussi, il passe sa main pour saisir ma hampe raide et le masturber lentement avec douceur. Puis il démarre, il passe les vitesses entre mes cuisses, non sans me caresser au passage. C'est agréable, chaque cahot frotte sa queue contre mon cul, c'est excitant. Il s'arrête et me demande de me retourner. En m'asseyant,je l'embrasse à pleine bouche, sa langue est dure et pointue, elle s'enroule autour de la mienne, fouille ma bouche, il embrasse comme un dieu. Je me lève pour m'empaler sur sa bite. "Oh le gland est énorme, vas doucement chéri". J'appuie de tout mon poids et son chybre me pénètre d'un seul coup. Ça brûle un peu au passage. Heureusement que j'en ai pris plein le cul ce matin, ma rondelle encaisse mieux. Je me lasse descendre pour qu'il m'encule jusqu'à la garde. Je la sens bien au fond de moi, cette super queue bien raide et gonflée de désir. Il redémarre le tracteur et on repart lentement. Moi je ne bouge pas mais on reprend les cahots, c'est délicieux, on laisse faire la machine. A chaque coup, il s'enfonce Plus en moi, je l'embrasse encore, il m'encule si bien, j'ai l'impression qu'il m'a envahi l'intérieur. La sensation est merveilleuse. En plus, le siège est amorti donc chaque coup nous surprend. Il a vu que je prenais mon pied, il accélère. Cette fois, les sursauts sont plus forts, ils créent un va-et-vient terrible, il en rajoute avec des coups de reins, je commence à gémir, il malaxe mes fesses, me murmure des trucs excitants à l'oreille "humm, l est bon ton cul ma salope. Tu l'aimes ma queue, hein? Allez, supplie moi de t'enfiler". J'en peux plus "oui, vas-y encore, je te sens bien, vas au fond , défonce mon ptit cul avec ta grosse bite. Plus fort, bb, plus vite". Il est maintenant déchaîné, je lui m ...

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