Il y a quelques années, de passage près de Boulogne-sur-Mer, je devais rentrer dans la Somme, en ce vendredi soir de novembre.
J’ai envie de tenter ma chance ; on ne sait jamais.
Je fais un passage sur un lieu de drague connu, le parking du moulin Wibert. J’y ai déjà fait quelques plans chauds (profitez-en pour jeter un œil sur mes histoires précédentes).

Ce parking, en sortie de Boulogne-sur-Mer, le long de la côte, laisse, depuis le haut de la falaise, une superbe vue sur la mer et la plage de Boulogne.
En haute saison, le parking des camping-cars ne désemplit pas.
Le soir, quelques voitures se posent pour profiter du coucher de soleil.

Mais revenons à ce soir de novembre. Il fait doux. J’arrive vers 23 heures. D’un côté du parking, une ou deux voitures. Je distingue des couples. Sur le second parking, 3 voitures. Il est plus discret, entouré de haies.
Je pars vers le fond du parking, histoire, en passant, de regarder s’il y a du monde dans les voitures. Je distingue une silhouette dans deux des voitures.
Je me suis garé de manière à voir le parking.
Je sors et reste un instant devant ma voiture, pour qu’on me repère bien.

J’avance lentement vers le bout du parking, côté falaise. Je ne m’aventure pas dans le petit sentier ; avec la nuit et le sommet de la falaise proche, ça risque d’être douloureux.
Je remarque que quelqu’un s’approche.
Il doit avoir une quarantaine d’années, mince, crâne rasé.
« Salut » me lance-t-il timidement. Je réponds à son salut.
« T’es là aussi pour… » Je termine sa phrase « … pour la vue imprenable. »
Une petite seconde de flottement. Il fait nuit. Il éclate de rire.
Je l’invite : « Si tu veux, le bosquet là est discret. »
Il me précède.

Nous nous mettons au bord d’une petite trouée dans la végétation.
Sa main tâtonne sur mon pantalon au niveau de mon entrejambe.
Je sors ma queue. Il la saisit et la branle lentement. Il s’accroupit et lèche doucement mon membre avant de me sucer.

Un autre mec arrive discrètement, la vingtaine, cheveux courts. Après un timide salut, il s’accroupit et tend sa langue vers ma bite.
Pendant que le premier me suce, le deuxième lèche mon membre.
Ils s’interrompent le temps d’une pelle baveuse en me branlant.
Ils reprennent de plus belle, me suçant à tour de rôle, aspirant mon gland, les langues frétillant sur mon frein.

Les sensations, les lueurs lointaines des voitures qui passent sur la route, éclairant à peine mes suceurs. Wouah. Je suis super excité.
Le quadragénaire se relève et sort sa queue. Je le branle. Notre ami s’affaire sur les deux bites, alternant de l’une à l’autre, tentant ...

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