J’ai choisi de changer de maison. Faute de temps et d’envie de tout faire moi-même, j’ai préféré opter pour une formule « tout compris », où les déménageurs de chargent de tout, y compris de vider les armoires pour les réinstaller dans le nouveau logement. J’avais pensé à tout… sauf à cette armoire où, précisément, est bien pendue, et pliée, la garde-robe d’Alinelle.
Je réalise le matin même de l’arrivée du camion que c’est trop tard, que jamais je n’aurai le temps de vider cette armoire « secrète » à temps. Tant pis, advienne que pourra… A 8 heures l’équipe arrive, à 9h30 tous les placards, toutes les armoires sont déjà vidées sans que j’ai pu me rendre compte de rien tellement ça va vite, et je n’ai eu droit à aucune réflexion. Pour les meubles, c’est plus long, il faut en démonter certains, et c’est fini vers 15 heures. Il était entendu que l’emménagement dans la nouvelle maison aurait lieu le lendemain. Je ne sais même pas où est ma si précieuse collection de vêtements…
Le lendemain à 7h30, tout le monde est là, à 30 km du lieu de départ. J’attends l’équipe de trois déménageurs, très ponctuels. Leur chef me prévient tout de suite que vider un camion est plus rapide que de le remplir, et que tout devrait être terminé en milieu de journée. Au pire, ajoute-t-il, il restera seul pour finir le rangement, ses deux aides repartant avec le camion pour un nouveau chargement, et ils passeront le récupérer en début de soirée.
Je les laisse travailler, et déposer les meubles selon mes vœux, lorsqu’à 12h30, le chef me dit qu’il renvoie ses aides comme convenu. A peine sont-ils partis qu’il me lance : « votre armoire est dans votre chambre ! » Je réponds, sans réfléchir : « Laquelle ? » Et lui, du tac au tac : « ne fais pas l’innocente. Et va t’habiller, tu as une demi-heure ». Il sent que peut-être, je vais mollement protester et insiste, sèchement : « Vite, je n’aime pas qu’une femme me fasse attendre ».
Le mot magique est prononcé. Il a vu en moi celle que je suis. Je baisse les yeux, monte à l’étage et m’enferme dans ma nouvelle chambre. Nue, je dispose avec un infini plaisir ma belle paire de seins siliconés sur ma poitrine (un très joli 110D) puis passe aux choses sérieuses. Je ne pense plus à l’homme qui est là, en bas, mais sélectionne avec soin ma lingerie, mes bas. Je me décide, ensuite, pour un chemisier assez fin et près du corps puisqu’il fait encore beau, et une jupe moulante en stretch. Je choisis de longs cheveux roux que j’ajuste en m’apercevant que le temps passe. Il me reste dix minutes pour passer à la salle de bains, appliquer délicatement fond de teint léger, blush, mascara, rouge à lèvres. Et une touche de « Poison ».
Je rougis en descendant l’escalier. « Tu vois bien que c’était possible ! » entends-je dans mon dos, alors que je le cherche un peu dans cette maison nouvelle, « fais-moi un café ! » La machine était déjà toute prête, à sa place. Pendant que je m’exécute, il s’approche et pose ses mains sur mes hanches, ses lèvres dans mon cou. « Bonne odeur de femelle », commente-t-il en humant mon parfum. Il s’assoit dans le canapé à peine installé au bon endroit, se fait apporter son café, le boit d’un coup et m’attire sur ses genoux, face à lui, m’ordonne de défaire sa ceinture.
Mes mains enlèvent la lanière de cuir de sa boucle, ôtent l’ardillon, écartent la ceinture, puis s’attaquent au bouton du jeans. Je sens qu’il bande, et sa hampe jaillit, majestueuse. Mon cerveau a basculé, je ne vois plus en lui que l’homme qui me veut, moi, Alinelle. Il a tôt fait d’écarter les jambes pour que je tombe entre elles, à genoux sur le sol, et d’attirer ma tête vers son sexe maintenant bien dressé. Lorsque mes lèvres touchent le gland violet, elles s’ouvrent toutes seules, et ma langue de salope titille le méat dont la largeur me fait déjà penser à une belle avalanche de semence.
Ce sera pour plus tard, il me fera attendre ! Je suis son commandement, et le suce avec application et aussi plaisir. Il est très dur, comme du bois, avec des veines très apparentes. Je caresse longuement des bourses imposantes, poilues, viriles, je les lèche puis retourne à sa queue que j’embouche à nouveau. Mes mains remontent sous sa chemise pour titiller ses mamelons, ce qui me vaut de me faire traiter de « bonne pétasse », « belle pute », avant qu’il me relève d’un ...
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