Depuis que Greg m'avait fait sodomisée, il n'usait plus que de ce canal pour m'humilier. Si bien malgré moi, je jouissais parfois comme une folle lorsqu'il me baisait, je n'avais pas les mêmes sensations lorsque sa queue martelait mon anus. Je pensais avoir fait le tour de tous ses vices mais il m'en réservait encore.
- Ce week-end tu te rends libre. Tu pars en villégiature me dit-il en s'esclaffant. Tu te souviens de la dame du magasin de cheval. Elle te veut pour un week-end. Tu apprendras ce que c'est que se gouiner...
Depuis le pensionnat où de petits attouchements excitaient les adolescentes que nous étions, je n'avais plus jamais toucher charnellement une femme. Malgré tout, je préférais ce genre de rencontres plutôt que celles qu'il m'avait réservées jusqu'à présent...c'était sans connaître la perversité de certaines femmes. Au jour dit, Greg me conduisit au magasin ou la dame qui se prénommait Anita prit "livraison" de moi.
Elle me mit un collier autour du cou et me fit prendre place dans sa voiture. J'essayai d'entamer une conversation mais elle me remit à ma place.
- Tu parleras lorsqu'on t'interrogera; tu répondras les yeux baissés; je t'interdis de me regarder dans les yeux.
Le voyage dura une bonne heure jusqu'à un manoir assez joli perdu dans la campagne, entouré d'un mur qui le rendait presqu'invisible de la route où d'ailleurs la circulation était presqu'inexistante.
Elle me fit sortir, attacha une laisse à mon collier et me fit pénétrer dans un grand hall. Une porte s'ouvrit et une très jeune asiatique entièrement nue nous fit pénétrer dans un grand salon. Une dame d'une cinquantaine d'années nous accueillit.
- Bonjour ma chère Anita; jolie ta nouvelle esclave. Un peu plus âgée que Kikuko, mais tu sais que j'aime les très jeunes esclaves.
- Bonjour Comtesse, je ne l'ai que provisoirement, mais je ne désespère pas de l'acheter.
- Kikuko, mène là à la douche et mets lui les vêtements que j'ai préparés.
Douchée, parfumée, vêtue d'un minuscule string et de chaussures à talons qui me donnaient l'impression de marcher sur des échasses, Kikuko me ramena dans le salon.
Elle me fit mettre à genoux devant Anita et j'eus le tort de la regarder dans les yeux.
Elle prit une cravache sur un meuble et se mit à me fouetter durement.
- Qu'est ce que je t'ai dit, esclave; on ne regarde pas sa Maîtresse.
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