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Candes la nuit

Publié par : mimi3737 le 28/11/2016

Hier, libéré un peu plus tôt que d’habitude, je décide de passer par un endroit d’Indre et Loire connu comme un lieu de rencontres d’hommes.
Il fait encore jour. J’arrive en voiture dans ce lieu… plein de voitures. Certaines arrêtées, quelqu’un à l’intérieur, d’autres qui « tournent ». Je me dis : « Super »…
Ceux qui sont arrêtées… pas de mouvement. Pas bon.
Je vais me poster un peu plus loin, bien décidé à faire une rencontre
Je tourne, rien d’intéressant. Du monde mais pas d’aventure.
Je vais me poster dans un coin, un gars arrive, touche pipi, branlette, un autre arrive, ils se mettent tous les deux, je reste comme un con, la bite à la main. Je me barre.

Je reviens aujourd’hui, dimanche. Il est tard, 19h30. Il fait nuit. Dans la lueur de mes phares, je vois briller ce qui me semble être une plaque d’immatriculation. J’approche, un gars est debout près de sa voiture. Je me gare à côté, allume une cigarette en laissant le plafonnier allumé puis je sors de la voiture.
Il fait nuit noire, je distingue à peine une faible lueur rouge, il fume aussi.
Après quelques mètres dans les feuilles mortes, je m’approche de ce point lumineux. Plus je m’approche, plus je distingue le porteur de la cigarette. Il doit mesurer 1.95 m, 20 cm de plus que moi..
Je m’approche de sa voiture, derrière, je sors ma bite, ben oui, j’ai envie d’uriner.
Il s’approche de moi et tend sa main pour me caresser. « Attention, je fais pipi » - « Pas grave, me répond t’il, j’aime ça ».
Après tout, je m’en fous, et tant pis si ça mouille mon pantalon.
Une grosse envie, ça dure. Faut dire que j’ai des petits problèmes de prostate…
Excitant…. Cette main qui me tripote la bite et les couilles pendant que je pisse.
Je tends la main derrière moi, une bite épaisse, un peu molle, pas trop longue me tombe dans les mains, une paire de couilles d’une taille que je n’avais encore pas eu entre les mains. J’aime. Je touche, je caresse, ça grossit un peu.
Tout à coup, il se penche pour me sucer… « Attention, je pisse »… « Je peux quand même ? J’aime ça » - « Vas y »…. Et là, il me suce comme jamais j’ai été sucé. Il aspire mon sexe et mon urine. Punaise que c’est bon. Je baisse mon pantalon, me voilà cul nu.
Entre temps, j’ai réussi récupérer son chibre dans ma main.
Ah ! mais c’est que ça a changé ! La première fois que je l’ai eu dans la main, il était au repos. Voilà un énorme braquemard.
Heureusement que j’ai baissé mon froc… Je le veux !
Ben je l’aurai pas, après m’avoir sucé comme un dieu, il se tourne, se finit à la main, bon, je lui caresse les fesses et les couilles, mais il se finit, se rabille et décarre. Je me rabille.
Je suis frustré comme une pucelle. J’ai juste le temps de voir que c’était un grand beau black.
Je rallume une cigarette et retourne près de ma voiture. 5 minutes et des phares.
Je reste adossé à ma voiture. Dans les phares, si c’est un gars intéressé, il va me voir. S’il reste, c’est bon, s’il s’en va.. ben moi aussi.
Merde, il s’en va. Pas mon jour. Non, il se gare plus loin, à 50 mètres, arrête la voiture, éteins tout.
Nous revoilà dans le noir. Je vois au loin, une lueur rouge. Il fume… j’allume vite fait une cigarette.
Et puis, il fait noir, je baisse mon pantalon et me fous le cul à l’air. Je suis adossé à ma voiture et je me caresse. Le point rouge se rapproche. Je fais briller le mien. Une ombre se dessine. Je ne bouge pas. Seuls les mégots peuvent nous guider. Le point rouge est tout près, une main cherche mon intimité, trouve, caresse, je suis là pour ça. Je tends ma main vers l’entre jambe de mon visiteur trouve quelque chose sous ce qui me parait être un jogging, je cherche à pénétrer par-dessus, serré, pas moyen, pourtant, à travers le tissu, il y a quelque chose dessous, qui paraît bien contondant. Et puis d’un coup, tout disparait et je me retrouve avec une magnifique bite dans les doigts. Un rève, mes doigts ne peuvent pas en faire le tour. Combien ça peut mesurer un truc comme ça ? On voit rien, les cigarettes qui nous éclairaient ont été balancées depuis belle lurette.
Ni une ni deux, je me retourne face à la voiture. Y’a pas d’invite plus efficace.
Une voix me dit dans l’oreille « j’ai pas de capote ». Qu’à cela ne tienne, ça c’est toujours ce que j’ai avec moi, avec du gel. Je lui donne la capote. Pendant qu’il s’affaire derrière moi, je prend le sachet de gel et ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay, Branle, Sodomie, Uro/Scato