Je vous ai déjà avoué comment mon récent déménagement s’était soldé par une baise aussi solide qu’inattendue, le chef des déménageurs ayant largement profité, après avoir découvert ma garde-robe, de mon fréquent désir d’être femme. Je ne m’attendais pas à de si rapides et étranges retrouvailles.
J’avais eu l’imprudence, lorsque j’avais fait appel à son entreprise, de laisser une liste de jours où, étant en congé, j’étais plus disponible pour changer de maison. Les premiers jours avaient été les bons. Du coup, la boîte connaissait la suite de mon emploi du temps, bien qu’a priori ce renseignement ne l’intéressait plus.
La boîte non, mais lui, oui… Surprise, quelques jours après m’être installée, de recevoir un SMS : « je passe te prendre mardi soir. Tu seras de retour jeudi soir. Sois belle. Ne dis pas que tu n’es pas libre, je sais que tu l’es ». Il avait raison, et je ne voyais pas comment lui échapper. En avais-je seulement envie ?
Donc, le mardi vers 18 heures, me voilà prête. Bas noirs, jupe à mi-cuisses plutôt moulante, escarpins (8 cm), chemisier cintré mettant en valeur une forte poitrine contenue dans un soutien-gorge push-up. Mes longs cheveux roux, un maquillage léger mais un rouge à lèvres appuyé. Parfait pour une sortie. Pas celle que j’attendais.
Le coup de klaxon fut celui du camion qui m’avait apporté mes meubles. Au volant, mon chef d’équipe, seul. « Monte ! » m’ordonne-t-il. Je cède très vite, et à peine installée, me voilà prévenue qu’une nuit de route nous attend, le camion est plein de meubles qui vont à Lille. La route est prise, et au premier arrêt sur une aide d’autoroute, me voilà sommée de descendre, de l’accompagner au distributeur de boissons, « comme une nana suit son mec ». Pareil, vers 21 heures, pour le dîner, que je prends à table, au milieu des autres clients, faisant tout mon possible pour ne pas me trahir.
Après le dessert et le café (pour lui), il me lance « Va dormir dans la couchette, je roule encore un peu, puis ce sera ma pause ». Le respect des temps de conduite sonnait pour moi l’heure de me « mettre au travail ». Il m’a semblé m’être à peine reposée quand j’ai senti sa main me secouer, et sa voix grave assurer « il n’y a pas mieux qu’une pipe pour évacuer le stress du volant ». A demi réveillée, me voilà dégrafant le jeans et extrayant, dans la pénombre de la cabine, une bite déjà dressée d’envie. Bonne fille, je l’engoule et m’applique, pendant que sa main farfouille sous ma jupe. Ma chatte anale est fermement travaillée par deux doigts entreprenants qui me font tressaillir et onduler quand il se vide dans ma bouche. Son sperme coule de mes lèvres, j’en ai partout… c’est bon ! Il faut repartir, il est 3 heures du matin.
A 6 heures, au nord de Paris je crois, c’est l’heure du petit-déjeuner. D’abord de la douche, que je reçois l’ordre d’aller prendre, dans une grande aire d’autoroute. Section réservée aux femmes, bien sûr, pour me refaire une beauté. Puis café et croissants, dans une ambiance « routiers » qui me fait rougir à mort. Il m’explique que son équipe le rejoint à 8 heures à Lille. Les bénéficiaires du déménagement ne doivent arriver que le soir, il a les clés. Je suis chargée de l’intendance, y compris repos du guerrier car nous repartons, le mercredi soir, pour livrer en Bretagne le fond du camion.
Me voilà transformée en cantinière, et je fais de mon mieux avec les moyens du bord (je cuisine bien). Ses deux équipiers sont des colosses, et leur faim est à l’avenant. Leurs besoins sexuels aussi. Sitôt le café avalé, le premier me pousse dans une chambre à peine installée. Sans la moindre douceur, me voilà couchée sur le dos, cuisses écartées, jambes relevées sur ses épaules, ...
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