Eté 1977, j’ai eu 14 ans en février, je viens de terminer la troisième et rentrerai en internat au lycée en septembre. Comme presque tous les ans je suis en vacances une dizaine de jours chez ma tante Nicole et son mari, à Sète.
Depuis mes 11 ans je me masturbe, souvent à la lecture de publications à travers lesquelles j’ai entrevu (trop tôt ?) les infinies possibilités et multiples facettes de la sexualité.
J’ai d’abord découvert dans le débarras de la maison de mon parrain un vieux roman pornographique et colonialiste des années 50 intitulé « Aïcha l’aguicheuse du désert », tout un programme! Puis dans l’armoire de sa chambre j’ai trouvé une collection du magazine Union et des illustrés, surtout ces petites BD porno en noir et blanc. Très vite je me suis permis d’en prélever un ou deux pour mon usage que je remettais en place la semaine suivante, comme à la bibliothèque municipale. C’était l’occasion de multiples séances de branlette, dans ma chambre, mais parfois aussi dans la nature, pour être tranquille.
Ces derniers mois je fais des échanges avec mon copain de classe Philippe, lui me passe les livres de Xaviera Hollander qu’il « emprunte » aussi à la bibliothèque paternelle. Je me rappelle en particulier de « La meilleure part de l’homme ». J’ai suivi ses conseils avec attention, ceux que je pouvais mettre en pratique au moins ! Et comme elle était un chantre de la masturbation, expliquant que c’était le meilleur entraînement pour devenir un bon amant, un homme puissant et qui sait durer, je m’en donnais à cœur joie. Ce d’autant plus qu’avec les filles je n’avais jamais réussi à franchir la barrière de la petite culotte.
Depuis deux ans j’avais des petites copines, nous « sortions ensemble » comme on disait, le plus souvent lors des « boums » d’anniversaire ou autres, organisées dans le garage ou le sous-sol de la maison familiale. Interminables bouffages de langue, tripotage des seins et parfois de l’objet de toutes les convoitises mais toujours à travers ces satanés jeans.
Avec Françoise tout de même on est allé un peu plus loin, elle m’a fait jouir plusieurs fois en me caressant , en me « frottant » plutôt d’ailleurs, et moi j’ai eu droit de la toucher à travers son slip, elle aimait ça mais impossible d’aller plus loin, elle refusait obstinément !
Je suis excité en permanence, vraiment « excité comme un puceau ». Si les textes et dessins pornos et les photos érotiques sont légion, et faciles à se procurer pour un ado, il n’en est pas de même pour les films. Je me souviens de m’être branlé après un « Angélique » ! Il m’en fallait très peu pour démarrer.
C’était l’époque où j’entendais mes parents et leurs amis plaisanter après avoir vu « Emmanuelle » et autres « Histoire d’O », j’en bavais d’envie….
Cet été les choses atteignent leur paroxysme, je suis littéralement obsédé, au point que ce séjour à la mer n’est plus si agréable. Nicole et Jacques son mari sont très sympathiques, intéressants et aimables avec moi. Ils me parlent sérieusement de divers sujets mais j’ai l’impression qu’ils ne mesurent pas que je ne suis plus tout à fait un petit garçon. Je partage la chambre de ma cousine de cinq ans, difficile de me masturber tranquillement, aucune littérature érotique à disposition, des heures à plat ventre sur la plage pour cacher mes érections incontrôlables au milieu de tous ces corps quasi nus…
Le pire c’est les apéros et diners avec leurs amis et voisins Colette et Alain. Déjà, à la maison, ma tante est presque toujours seins nus avec un mini bas de maillot et/ou un petit pagne. Dès le petit-déjeuner sa poitrine m’effleure le visage quand elle me sert le chocolat et ça me fait immanquablement bander, grande gêne d’autant que je suis condamné au mini moule bite de rigueur dans ces années-là. Les copains eux sont naturistes ! Alors quand ils viennent chez nous Colette est seins nus comme ma tante, mais quand on va chez eux ils restent à poil ! Leurs enfants ont plus ou moins le même âge que ma cousine et ils jouent ensemble ou vont se coucher alors que je reste témoin des conversations des adultes ; eux ne font pas vraiment attention à moi qui fais semblant de m’absorber dans la lecture d’un livre ou d’un magazine. Parfois l’alcool aidant cela devient un peu égrillard, les hommes embrassent ou cajolent leurs femmes, et moi je bande comme un fou dans mon maillot !
Bref je n’en peux plus de tension sexuelle, je ne pense qu’à ça, il n’y a guère que quand je fais du dériveur avec un copain que je pense à autre chose et que je m’éclate.
Un jour je décide d’essayer de faire ce dont je rêve depuis huit jours que je passe devant les affiches: aller au cinéma voir « Madame Claude »… Alain et Colette ont dit l’autre soir que « c’était très excitant » et ajouté avec des sourires entendus qu’ils avaient passé une excellente nuit après cette sortie ciné.
Une chaleur de plomb dans les rues, séance de 14h00. Est-ce que je réussirai à rentrer ? Je ne suis pas très rassuré mais finalement pas la moindre question, la caissière me donne mon ticket sans sourciller « Le film va commencer, bonne après-midi jeune homme! ». Merci de ce bon vœu Madame, vous ne saurez jamais à quel point cette après-midi a compté dans ma vie !
La grande salle est déjà dans le noir quand j’y rentre, après le soleil de plomb de la rue je ne vois pas grand-chose. Après quelques instants le générique commence et je constate qu’il n’y a que de très rares spectateurs, six ou huit peut-être, répartis plutôt dans le fond de la salle. Je décide d’aller m’installer côté opposé à la porte et assez loin des autres spectateurs.
Immanquablement après quelques minutes, les premiers effeuillages et visions de lingerie de soie, j’ai la trique, je ne peux pas résister à l’envie de me tripoter. Mon blouson en guise d’écran sur les genoux, j’ouvre ma braguette et commence à me toucher. C’est super, il n’y a vraiment pas grand monde dans ce ciné alors je me sens à l’aise et découvre un peu ma bite pour éviter le grattement du jean sur mon gland qui n’est pas très agréable. Je me laisse aller comme quand je suis dans ma chambre avec ma Xaviera pour professeur, je me branle très fort pour m’amener au bord de l’éjaculation, puis j’arrête un peu, reprends plus lentement, le pied !
Tout à coup je sursaute et sors de mon trip car un mec venu je ne sais d’où vient de s’asseoir à côté de moi. Je suis comme un con ma bite à la main sous le blouson.
« Qu’est-ce que vous voulez ? Il n’y a pas assez de place plus loin ?
Bonjour jeune homme, n’aie pas peur, je m’appelle Pierre.
Foutez-moi la paix !
Ma femme et moi sommes au balcon, et d’en haut on te voit te caresser depuis un quart d’heure.
Je ne savais pas qu’on me voyait, désolé.
Mais non pas désolé, tout le monde est là pour ça, pour l’excitation de voir et d’être vu. Et Martine aimerait beaucoup voir ton sexe de plus près, je viens t’inviter à nous rejoindre.»
Ça se bouscule dans mon esprit, incrédulité, angoisse, excitation, doute… Je me retourne et effectivement il y a un balcon que je n’avais pas remarqué, mais de ma place on ne voit pas du tout les spectateurs. L’homme a une bonne tête souriante, moustachu, peut-être 35 ans.
«N’aie pas peur, répète-t-il, viens dire bonjour à ma femme, si elle ne te plait pas ou si tu n’es pas à l’aise, tu t’en vas et c’est fini. Ni vu ni connu.
Je n’ai pas d’argent…
Mais t’es con ou quoi ? Allez viens, on monte ! Comment t’appelles-tu ?
Moi c’est Gilles.»
Mes yeux se sont habitués à la pénombre et en remontant la salle je constate que la plupart des spectateurs ont un journal ou un vêtement sur le bas ventre aussi, je ne devais pas être le seul à me toucher… A l’étage il y a bien Martine au premier rang. Trois hommes sont assis à deux rangs derrière qui cessent de se branler quand ils nous voient arriver puis reprennent immédiatement leur ouvrage quand ils reconnaissent Pierre.
«Gilles, je te présente ma femme Martine, dit-il
Bonjour Madame. Elle rit,
Il faut m’appeler Martine » et elle me tend la joue, je l’embrasse timidement.
Me voici assis à sa droite, Pierre à sa gauche. C’est une assez grande femme, plantureuse et aux formes pleines. Cheveux blond foncé frisés, teint clair, taches de rousseur, un air de Valérie Mairesse (années 70 !!!), elle porte une de ces robes légères très décolletées et qui s’ouvrent entièrement en défaisant la ceinture. Ça s’appelle portefeuille je crois ; depuis, chaque fois que je vois une fille qui porte ce genre de robe ça me fait penser à ces moments et souvent j’en ai une petite bandaison.
Pierre caresse le genou de sa femme et remonte un peu la robe, puis il prend un de ses seins en main, le cajole et le soupèse. Sans défaire la ceinture il écarte encore plus le haut de la robe dévoilant totalement la poitrine nue de Martine. Deux beaux seins lourds, larges aréoles parfaitement marquées et de très gros tétons bien dressés. Je ne sais plus ce qu’il se passe sur l’écran et n’ai plus d’yeux que pour ce corps de « vraie » femme qui s’offre à moi. Pierre joue avec le sein gauche, pince le téton ce qui fait réagir Martine qui soupire et glisse un peu dans son siège. Il me fait signe de toucher l’autre sein. Je n’ai jamais eu une telle plénitude en main, c’est trop bon et je ne peux pas résister à l’envie d’y poser mes lèvres, de l’embrasser, le lécher et de sucer le téton. Martine réagit positivement en me prenant par la nuque.
«Embrasse-moi. » me dit-elle.
Et elle me donne sa bouche ou je plonge avec délice. Elle explore lit ...
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