La suite et la fin des chaudes retrouvailles pour ceux qui l’attendaient ;

Dans l’ensemble le reste de la semaine se passa bien jusqu’au vendredi. Jules, Ben et surtout Florent faisaient leurs corvées quotidiennes sans rechigner et même en s’appliquant du mieux qu’ils pouvaient pour ne pas recevoir de nouvelles corrections de la part de Didier. Ce dernier constatait avec plaisir que la mauvaise humeur de Florent au début du séjour était bien passée. Florent se rapprochait même de plus en plus de lui. La virilité de Didier l’impressionnait et il la recherchait. Didier le laissa donc faire et lui offrit à plusieurs reprises son sexe à sucer. Florent y prenait d’ailleurs de plus en plus de plaisir, s’appliquant à lécher ce membre magnifique du mieux qu’il pouvait et à lui procurer un maximum de plaisir. Il alternait les gorges profondes qu’il maîtrisait de mieux en mieux avec les jeux de langue autour du gland et dans le méat pour recueillir la mouille abondante que Didier ne manquait pas de produire. Il faut dire que Florent s’entrainait de plus en plus sur les deux bites des frangins Jules et Ben. Ces derniers lui rendaient aussi la pareille aussi souvent que possible et Florent appréciait le goût légèrement salé de cette substance délicate. On peut dire qu’il était de plus en plus accro à la bite des ses hôtes.

Il arrivait aussi fréquemment que Didier fasse venir Florent dans la grange avec sa cotte de travail qui pouvait s’ouvrir derrière par deux zips et offrait à sa vue et rendait accessible le magnifique postérieur musclé puisque le seul vêtement que le jeune homme était autorisé à porter sous la cotte pendant le travail était un jockstrap. Il commençait alors à caresser fermement le postérieur, à le graisser, y introduire un, puis deux et enfin trois doigts. Très vite Florent gémissait sous la caresse très experte de Didier, sa petite rondelle n’attendait que la suite, la bite bien dure de son propriétaire. Selon ses envies, il y allait tantôt doucement et commençait pas des mouvements lents qui faisaient gémir de plaisir le jeune homme, tantôt beaucoup plus brutalement quelquefois à sa demande quand il n’en pouvait plus d’attendre. Il s’enfonçait alors d’un coup dans le cul de Florent. Ce dernier ne tardait généralement pas à jouir sous les coups du beau quadragénaire ou il suffisait que Didier effleure à peine son sexe pour qu’il explose. Avec Jules, les rapports étaient moins sauvages et même si Florent l’appréciait beaucoup, le côté plus brutal de Ben et de son père Didier ne lui déplaisait pas du tout. D’ailleurs dès qu’un moment s’y prêtait, les trois se retrouvaient pour baiser autant que possible.

En fin de journée, une fois le travail terminé, c’était souvent autour de la piscine bien abritée que Didier retrouvait les trois jeunes en train de se faire des gâteries mutuelles, à se sucer, s’enculer à tour de rôle ou les trois ensemble : Florent enculant Jules et se faisant lui-même enculer par Ben et changeant les combinaisons par moment. Cela ne manquait pas faire bander Didier, ce qui était rapidement l’objet de l’hilarité générale de la part des garçons car les tenues très légères de Didier ne laissaient place à aucun doute. Un des jeunes se dévouait alors pour venir le soulager avant de passer à table. Généralement, la soirée était très plaisante mais vers 22 heures 30, chaque soir, Didier vérifiait que chacun avait bien mis sa cage de chasteté et allait bien dormir. Il savait très bien que si ça n’avait pas été le cas les trois jeunes auraient passé la nuit à baiser et auraient été fatigués le lendemain.

Tout se passa bien jusqu’au vendredi vers la fin d’après-midi. Didier passait vérifier que tout le travail avait été fait correctement lorsqu’il constata qu’un robinet qui servait à alimenter le bétail n’avait pas été fermé et visiblement l’eau coulait depuis une moment. Un des jeunes avait dû l’oublier. Il les appela aussitôt pour leur signifier son mécontentement et surtout une punition sévère pour le responsable. Comme aucun ne se décidait à avouer, il déclara que les trois allaient être punis et qu’ils s’en souviendraient. Il avait sorti un fouet qu’il fit claquer. Les garons étaient pétrifiés. Il commença par leur attacher les mains avant des les suspe ...

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