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Comme un renard dans un KFC

Publié par : gynesexuel le 29/12/2021

Notre pèlerinage à l’étoile étant un succès (Lire : Journal d’une rencontre difficile), nous restons en contact Dominique (travestie) et moi. La distance entre nous est toujours la même, mais notre proximité a été confirmée par notre première rencontre. Cependant, lui demander de revenir à l’étoile ne me semble pas correct, et ce coup-ci, je dois plutôt aller sur son terrain. Le plan ? Un passage au sauna. A la base, cette idée ne m’a jamais traversé l’esprit. Sauf si c’est après midi 3eme sexe et ça, ça change tout.

Le rendez-vous est pris pour 10h30 sur un parking de covoiturage en sortie d’autoroute. Après avoir laissé un message à Dominique, je me mets en route et fais un petit arrêt sur une aire pour faire le plein. Je paye, et en retournant à mon véhicule, j’ai la sensation que j’ai tapé un peu dans l’œil de deux nanas dont le véhicule était garé non loin du mien. Je ne sors pas comme cela d’habitude, note pour plus tard, réutiliser et améliorer ce look. Avant de repartir, j’ai un appel qui confirme bien notre rencontre. J’avale sans GPS tous ces kilomètres que je ne connais que trop bien, je passe de temps en temps par là pour des raisons professionnelles… J’ai une petite idée derrière la tête: Faire découvrir à ma muse un petit plaisir, en public bien sûr. Ce n’est pas amusant sinon. Je trouve impensable qu’il ne lui ait jamais été offert d’ailleurs. J’arrive à bon port, trouve une place convenable et avant de mettre la marche arrière, Dominique m’annonce son arrivée… Nous sommes synchros ou presque. A peine garé, elle me rejoint. Je lui remets comme convenu un petit blouson court, chaud, très féminin, pour la protéger du froid. Elle est toujours aussi sexy perchée sur ses jambes fines et longues rehaussées par de hauts talons. Le sauna ouvre à 14h00, nous avons du temps. Nous prenons sa voiture, et durant le trajet, ma main gauche s’installe sur sa cuisse droite. Sans être exhaustif, nous visitons deux boutiques coquines, dans une des deux, une minijupe est achétée et mise. Nous avons aussi pris un petit café sur une aire d’autoroute, assez remarqués. Nous faisons un passage dans un magasin spécialisé. Le discourt du tenancier que j’écoute est en pleine déconfiture. Il tourne au disque rayé, répétant plusieurs fois la même chose comme s’il avait subitement oublié la suite après avoir vu la créature que j’accompagne. Intérieurement, je suis mort de rire. Durant ce temps-là, nous apprécions être proche l’un de l’autre en public. Cependant, l’heure tourne.

Nous arrivons au sauna à l’ouverture. Il y a une trav dehors qui fait la gueule, celle des personnes qui ont l’impression que l’on leur pose un lapin. D’autres à l’accueil sont sexy et sociables, une style grunge, l’autre plus extravagante. Nous nous considérons rapidement mais intensément. D’une certaine manière, moi et Dominique sommes une sorte de couple, les seuls dans cette configuration et annonçons de fait la couleur. Nous rentrons et je passe en tenue d’Adam. Pour une fois que je ne suis pas le seul à être à poil, ou presque, c’est rassurant. Ce coup-ci, je me laisse guider pour découvrir les recoins du lieu. Notre dévolu se jette sur la grande salle, la mieux éclairée. Il y a peu de monde mais je commence à caresser ma partenaire qui ne semble pas avoir idée de mes intentions. Comme lors de notre dernière rencontre, elle a son string en cuir qui comprime totalement ses attributs masculins et même punition je lui caresse son sexe à travers pour lui donner des envies folles impossibles à réaliser. Elle est en levrette, et je me dis qu’elle n’a pas idée du beau cul qu’elle a dans son collant résille ouvert, ni petit, ni trop gros, rond à souhait, penser à prendre une photo un de ces quatres. Trêve de pensées philosophiques, je défais la lanière qui libère son sexe qui n’en pouvait plus mais aussi son anus qui était un peu trop à l’abri à mon goût. Je me mets à consommer délicatement d’abord ce petit trou. Dominique ressent des sensations inconnues jusque-là. Nous sentons la foule s’intéresser à nous, et nous passons sur la gr ...

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