Après mon aventure du printemps 1977 (voir : https://lieuxdedrague.fr/histoire-erotique/premiers-emois-dans-la-nature-1977-histoire-vecue/11471), j’avais, en cette fin d’année de classe de seconde, plus de temps libre que j’occupais, avec ma mobylette, à rechercher sur Bordeaux Lac, les coins dont on m’avait parlé.

Un jour, en repassant pour la Nième fois rue du pont neuf, je constatais pour la première fois, une anomalie. Que faisaient toutes ces voitures garées au bord de la route dans cet endroit désert. Je m’arrêtais et j’observais.
Régulièrement des hommes sortaient de la forêt remontaient dans leur voiture et partaient, rapidement remplacés par une autre voiture d’où un homme sortait et entrait dans la forêt.
Oserais-je ou pas entrer prendre le chemin qu’empruntais ces hommes ? Qu’y trouverais-je ? J’étais dans mes pensées quand un homme, a la place de faire comme les autres, vint vers moi. Apres m’avoir salué, il me proposa de l’accompagner dans la forêt contre 80 Francs.

Jusqu’alors toutes mes aventures c’étaient soldées par de grandes découvertes de plaisirs durant lesquelles on m’avait masturbé, sucé ou je m’étais masturbé en feuilletant des revues érotiques ou en portant des dessous féminins délabrés trouvés sur des chemins.
Là, on me proposait de l’argent, et pas une petite somme pour refaire cela. Immédiatement excité, je réalisais que je venais de trouver le coin que je cherchais depuis quelques semaines. En plus, comble de l’excitation, j’allais devenir une pute comme toutes ces femmes que je voyais parfois le soir quand on rentrait de bordeaux en voiture. En plus j’allais découvrir ce lieu que je fantasmais depuis des semaines et certainement que cela entrainerait de nouvelles choses.
L’excitation étant plus forte que la raison j’ai dit « oui ». Je l’ai suivi en poussant ma mobylette sur un chemin de terre.

Arrivé dans le sous-bois, il m’a dit de laisser la mobylette dans un coin car, là où on allait, le chemin se retracassait, ce que je fis. Quelques dizaines de mètres plus loin, nous avons tourné à droite sur une petit chemin au bord duquel, il y avait des petits recoins dégagés.

L’homme s’arrêta assez vite dans un de ces coins et me dis « tu es très mignons. Quel âge as-tu ? » je lui répondis et je vis ces yeux briller à ma réponse. Tu ne dois pas avoir beaucoup d’expérience ? ». Et je dus en convenir.
Puis il me dit « Maintenant tu es une pute il va falloir que tu fasses bien la pute pour être payé ». J’en convenais. J’étais aux anges, c’est la première fois qu’on me traitais de pute.

J’étais maintenant hyper excité de la situation et j’avais envie qu’on me touche. « Déshabille-toi » ce que je fis avec plaisir. « Petit sexe mais très belle érection » qu’il me dit. Il s’approcha de moi et me caressa le corps. J’étais au comble du plaisir.
« Ta peaux est douce. Tu sais te masturber ? ». Je répondis que « oui ».
« Fait le » et je m’exécutais.
En me regardant il dégrafa son pantalon, sortie son sexe et commença à se masturber. J’étais à chaque fois surpris des tailles des pénis quand je comparais au mien. Il s’approcha de moi, pris mon sexe a pleine main et ma masturba. Mes premiers râles vinrent assez vite.
« Du calme. Ne jouit pas. J’en veux pour mon argent ».
Il baissa son pantalon et s’allongeait au sol. « Viens me sucer ».
« Je n’ai jamais fait, je ne savais pas qu’il fallait faire cela » lui dis-je. « Tu es une pute ou pas ? Tu les veux des 80 francs ? ».
J’étais maintenant tirailler entre l’excitation et la peur de l’inconnue. C’est l’excitation qui gagnât et je me mis à 4 pattes en enfournait ce pénis dans ma bouche. Mais voilait c’était difficile.
« Aller petite pute, fais ça bien ». Mais au bout de 5 mn je n’en pouvais plus. Je luis dis que je voulais arrêter. Et là il se mit en colère.
« T’es une pute, fais ton travail. En plus maintenant que je suis excitée faut me faire jouir ». Je réessayais et ce coup-ci, il prit ma tête et l’obligea à faire des va et viens. J’avais de haut le cœur.
« Non c’est pas possible, ne va pas vomir sur moi ». Nous avons palabré quelques instants. Il faisait peur.
« On va faire autrement ». Je m’interrogeais sur cet autrement quand il me jeta face contre terre, s’allongea sur moi, m’écarta violement les cuisses et me pénétrai. Je n’avais même pas eu le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait que ses va et viens commencèrent.
J’étais plein d’interrogation. Que m’arrivait il ? que me faisait-il ? Et il remuait. Il me fallut quelques instants pour comprendre qu’il me sodomisait. Mais comment ce faisait-il que je n’ai pas mal ?
Il continuait et plus belle ses va et v ...

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