Ma langue s'enroulait délicatement autour de son gland, il était temps pour moi de lui montrer ce que je savais faire, désormais. J'ouvrais les yeux, et le regardais, toujours avec son gland doux, chaud et au goût légèrement salé qui palpitait sur ma langue. Il s'appuyait sur le lavabo avec sa main libre, et à ce moment, nos regards se croisèrent.Le sien était doux, amoureux, fièvreux, tout comme devait l'être le mien. Puis, lentement, en maintenant mon regard, j'engouffrais son gland dans ma bouche, tout en lui caressant doucement les couilles bien gonflées et l'entendais pousser un soupir de plaisir. Je l'accueillais de la meilleure façon possible, au vu de sa taille imposante. Je le suçottais très delicatement, comme si je tétais la plus douce et précieuses des friandises qu'on m'aie jamais offerte, je voulais prendre tout mon temps. J'entamais de lents va et viens, enduisais petit à petit sa queue de salive ce qui me permettait de pouvoir le sucer à chaque fois toujours plus en profondeur. Lorsque j'avais un peu mal à la machoire, je stoppais ma pipe pour m'occuper de ses couilles. Elles aussi méritaient leur part de caresses, il ne fallait surtout pas les négliger.

-Oh, putain, mais t'es vraiment incroyable, toi. Je peux t'assurer que même Sophie n'est pas aussi tendre que toi pour les pipes. Me dit il.
-Merci, mais fais moi plaisir, dis je après avoir sorti son membre de ma bouche dans un très sonore bruit de succion. A partir de maintenant, lorsqu'on sera que tous les deux, et surtout dans ces moments là, je ne veux plus jamais t'entendre prononcer le nom de ma belle-soeur, compris ? Lui demandais je avec un petit sourire rempli de malice.
-D'accord, ma petite chérie. Me répondit il.
-Je te remercie. Dis je en reprenant son membre en bouche.

Je continuais ma fellation le plus amoureusement possible pendant plusieurs longues minutes, suçant et dégustant sa verge avec une gourmandise non dissimulée tout en continuant à flatter ses couilles de ma main libre. Malgré ma bonne volonté, je me trouvais dans l'impossibilité de lui faire une gorge profonde, mais je pourrais toujours apprendre pour plus tard. Il me caressait les cheveux, me faisait comprendre que chacune de mes caresses lui convenaient parfaitement, ce qui m'excitait comme jamais je ne l'ai été en faisant une pipe, que ce soit à mes exs ou à mes conquêtes d'un soir. Il n'avait pas besoin de parler, ses gestes, sa respiration et son comportement le faisaient pour lui. Ma langue ne quittait pas sa queue une seule seconde, et c'est avec une grande douceur que je léchais la base de sa tige afin de lui lécher et sucer les couilles chaudes et pleines de jus qui ne demandait qu'à sortir. Je m'amusais à les aspirer, les mordiller, tout en le branlant très doucement. Je me sentais d'humeur coquine et joueuse. Je voyais son visage se crisper par le plaisir qu'il prenait, j'en étais heureuse.

-Oh, Cécile, j'en peux plus, il faut que je te baise, j'ai vraiment envie de toi, tu m'excites depuis trop longtemps. Me dit il haletant. Tu préfères qu'on aille dans ta chambre ou dans la mienne ? Me proposa t il.

Je stoppais alors ma fantaisie buccale, remontais vers sa bouche, nous nous embrassions longuement et tendrement pendant que je continuais à malaxer sa queue. Moi aussi, j'étais désireuse de passer à la suite, savoir de quoi mon frère était capable au lit. Ce moment était enfin arrivé, et j'aurais tué quiconque aurait voulu nous interrompre.

-Ni l'une, ni l'autre, j'ai une meilleure idée, viens, on va faire ça dans le lit des parents. L'invitais je avec un sourire complice en l'emmenant dans la chambre de nos géniteurs, à concretiser notre amour incestueux dans la luxure.
-T'es sûre de toi ? Me demandait il.
-Absolument certaine. Lui répondais je simplement.

Une fois allongée sur le lit parental complètement défait, il m'arrachait le peu de fringues qu'il me restait et se précipitait sur ma chatte trempée pour la dévorer à pleine bouche. La douceur de sa langue, sa chaleur, son agilité, son savoir faire, tout ça était un vrai bonheur. Je ruisselais comme une pucelle en chaleur dans sa bouche, mais il lappait tout mon nectar avec une gourmandise extraordinaire. Il écartait mes lèvres vaginales de ses doigts pour faire entrer sa langue dans ma petite grotte trempée. Je ne pouvais pas m'empêcher de me caresser les seins comme une folle, gémir, feuler comme un animal, couiner comme jamais, je réalisais à quel point j'étais en manque de sexe, et l'occasion s'est présentée en la personne de mon propre frère.

-Ta chatte et ton jus sont délicieux, petite soeur. Me complimentait il.
-Oh bois moi, ouiii. Suppliais je en maintenant sa tête plaquée contre ma vulve offerte.

J'étais proche de l'explosion finale lorsqu'il se mit à me doigter furieusement avec deux doigts tout en continuant de me manger le clito. Cette fois c'était trop, je me laissais emporter par mon plaisir et me tendais comme un arc. J'avais les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, et criais lorsque l'orgasme libérateur me secoua, rapidement suivi d'un deuxième tout aussi délicieux. Mon frère se mit debout, releva mon bassin avec une seule main, présenta sa queue à l'entrée de ma chatte, poussa juste un peu et je sentais son membre chaud et dur coulisser à l'interieur de moi, et forcer mes parois intimes pour notre première fois.

-Oh, merde, ma salope chérie, non seulement t'es trempée, mais en plus, tu es carrément en train de m'aspirer. Déclara t il en commençant à me besogner.
-Mon dieu, oui, baise moi, baise ta salope de petite soeur, défonce la ! Criais je emportée par une vague de plaisir.

Il me prenait avec une fougue délicieuse. Je sentais qu'il devait être frustré sexuellement, et la masturbation, ça va un temps, mais maintenant, c'est différent, puisqu'il m'a moi, désormais. Nous étions dans un coprs à corps fusionnel et incestueux, c'était fantastique, plus rien ni personne ne comptait, il n'y avait maintenant que lui et moi. Mes jambes enlacèrent sa taille, je voulais l'attirer au plus profond de mon être, je lui appartenais et réciproquement. Nous faisions cocue ma belle-soeur, et aussi étrange que ça puisse paraitre, je m'en foutais complètement. Nous nous enlaçions et nous embrassions tendrement pendant cet acte, j'enchainais les orgasmes tous plus tonitruants les uns que les autres. Je n'avaisjamais soupçonné mon frère d'être un aussi bon coup au lit. ...

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