Je suis abonné ici depuis samedi dernier, découverte des rapports homosexuels depuis cinq jours, et tout ceci grâce à ce site dont je remercie vivement son créateur.
Les premières pipes de débutant ont été intéressantes, un grain d’interdit, d’exhibitionnisme, la fougue de l’excitation d’une giclée de sperme en pleine nature, sous un soleil de plomb et cette sensation d’avoir toujours vécu ces moments délicieux où le sperme salé âcre et chaud coule dans la gorge. Après tout, c’est sûrement la mémoire des premières secondes de notre vie quand le spermatozoide que j’étais nageait dans un flot crémeux de liquide seminal riches en nutriments.

A part la belle queue sucée sur un bloc de béton au soleil de 16h, les autres ne m’ont pas laissé de souvenir marquant sauf, je l’avoue celle de la première fois dans un camping car ouvert quand son proprio voulait une sodomie et que moi je voulais sucer! C’est moi qui aie gagné.

On ne découvre pas que des idéaux en répondant aux diverses propositions, parfois c’est palabres et doutes, promesses non tenues, et le reste.........passons les faux rdv, les j’peux pas j’ai grand frais et autres excuses bidons témoignant du manque de courage dans la réalisation des promesses exposées.

Après avoir répondu à une annonce jeudi amidi, ce blog est monté en puissance avec une température hotissime quand l’annonceur me proposa une relation de fellations encuvages avec reniflâges de culottes de nos compagnes respectives. Intéressant car il semblait apprécier mon grain de beauté et sa queue me donnait des chatouillis partout dans le slip!
Encore un coté zarby!!!
Après réflexion et sous les demandes de plus en plus incisives de Madame alpha, j’en suis arrivé à la conclusion suivante: j’aime deux choses le plus au monde, ma compagne et ma famille..........mais j’aime bien la bite aussi alors soyons francs et honnêtes, et justement, sa bite c’est madame alpha qui la tient par le prépuce et l’emmène là ou elle le veut.

J’ai passé ma journée à écrire une lettre douce, explicite, pleine d’amour et de réalisme ventant l’accomplissement de fantasmes bisexuels profondément réprimés sous des couches d’éducation et de la soi disant image de soi.

Pas surpris, prouvant que je la connais bien, ma compagne, beaucoup plus jeune que moi est arrivée de son travail et a lu ce mot.
Minutes d’angoisses!
Elle s’est précipitée dans mes bras, m’a caressé la braguette tendue, ma embrassé à pleine langue, et m’a susurré: » entièrement d’accord, je voulais t’en parler depuis longtemps, je voudrais bien participer et pourquoi ne pas réaliser mes fantasmes lesbiens en même temps , mais je ne sais pas si j’en ai, pourtant quand je pense à Fernande je mouille (j’ai pas trouvé de prénom qui rime avec mouille à part couille)
Ouhaaaaa .............on a baisé comme aux premiers jours, on a fait un press-book photo chaud chaud chaud.........
Alors, après seulement 5 jours de libertinage homobisexuel, nous voilà à discuter des rencontres, des lieux, des organisations, qui aimeraient on avoir dans nos histoires, « qui voudrais tu sucer, oui mais j’aimerais la lécher, tu as vu ses petits seins et sa grande bouche, oui j’ai vu, j’ai envie de la coincer et de lui lécher la chatte depuis longtemps, toi tu sodomisera son mec et elle le sucera fort, et plus on discutait plus on étaient excités, elle trempée et moi bandant comme à 20 ans avec la perle au gland.......

Après une nuit torride, ma queue en berne, mon cul ouvert du gode, elle du sperme sec sur ses joues et ses seins, on s’est douchés, elle m’a demandé de la sodomiser, « pour t’entraîner » dit elle en éclatant de rire, j’ai franchi tout doucement son sphincter dilaté, en même temps qu’elle disait « ça y est mais tu es si gros » , je ressentais le délicieux petit ressaut du gland qui vainc le sphincter anal.
Avant de lui branler le cul, à moi de me moquer je lui ai introduit notre gros gode en verre dans la chatte, elle a tourné les yeux pour me regarder, j’y ai lu un éclair de crainte et deux d’envie! « C’est pour t’entraîner » lui répondis je !!!!!!
Pour se venger elle m’a sodomisé au petit gode lubrifié de sa salive, et voguent les ondulations, on a joui de suite, à peine une gouttelette de foutre sur son anus!
Après une matinée de repos, je suis allé comme convenu dans ce club libertin Manceau qui ouvre le vendredi en TTC. Je voulais explorer et savoir comment nous pouvions réaliser notre partie carrée lesbogaybihetero pour apprécier le cadre, les solutions et je lui avais promis de lui raconter tout ce que j’avais vu où senti!

Ben j’en ai vu, j’en ai senti, j’en ai sucé des queues!!!, j’en ai avalé des giclées de sperme, tous différents, fluides maigres un peu salé, épais abondant’ emplissant la bouche, en deux goulées, j’ai pris un pied dans le gloryhole, j’ai pris cinq ejaculations en pleine bouche, j’ai tout avalé et, une fois ruisselant de sueurs j’ai sucé la dernière queue longtemps longtemps sans ejaculation, pourtant je la cajolais de tous les coups de langue et léchages, j’ai réussi à sortir ma main par le trou d’à côté, il a vu que je cherchais la sienne, on s’est entrecroisés les doigts et je l’ai sucé encore jusqu’à m’en bloquer la mâchoire! Échec il a pas joui.
Une fois la queue sortie du trou j’ai entraperçu un type qui repartait sans un mot, rasé, un poil vouté, crâne rasé a un mm, 55 ans a vue et au goût, pas un mot pas un regard « t’as voulu en dérouler du câble, alors te plains pas, t’as voulu laver tes dents à haute pression, te plains pas » pensais je en quittant le côté éclairé du glory hole.
J’me suis pas plaint, je suis allé me ressourcer à la balnéothérapie après une douche corporelle et anale.
Et si j’avais deux petites suggestions, un poil plus de lumière pour regarder ces glands brillants, et un trou 30 cms sous la bite pour passer le bras et doigter l’anus ou malaxer les couilles, ça m’a manqué!
Ça m’a manqué mais pas longtemps!
Dans la piscine je l’ai vu repasser le dernier candidat, pas si vouté que ça, imberbe, un cul musclé, une belle queue bandée à la kryptonite, il est passé une fois, deux fois, en me jetant un regard fugace, j’ai pas fait attention à lui, pas encore.......
Un petit tour à discuter avec le barman, j’ai vu trois serviettes monter au premier!
J’ai suivi!
Putain que j’ai bien fait!
En arrivant au stand des trous j’ai vu mon rasé rentrer dans la cabine des arrosés ou des avaleurs c’est selon!
Me suis dis « y’en a 5 qui on joui, à moi de jouir! »
J’ai pas eu raison!
Encore une fois battu sur la ligne!
En rentrant ma queue j’ai senti la sienne qui arrivait pleine bille en face alors j’ai branlé les deux puis évidemment je l’ai sucé! Quand on aime!
Je l’ai bien léché y compris ses bourses qui sortaient en pleine lumière!
J’avais remarqué, ç’aurait été difficile de le rater, une espèce de géant de 2m qui se tenait sur ma droite et qui semblait surveiller de près que je ne décroche pas les couilles de mon rasé avec la langue!
Je l’ai soupesé de la main droite
Hummmmmmmm une énorme queue, une erection de furie, une bite de bien 20 cms, un gland luisant de rosée, des couilles qu’on aurait dit des mandarines dopées!
J’sais pas vous mais moi j’ai pas pu résister.......
J’ai dit « attends » à mon rasé, j’ai ouvert ma bouche comme un hippopotame et j’ai branlé son gland en lui malaxant les couilles des deux mains tellement elles étaient grosses!
Mon plus beau succès!!! je n’ai même pas eu le temps de lui lécher le frein!
En deux tours de langue sur la calotte du gland et deux branles des lèvres il a explosé en un grognement puissant lointain, il m’en a foutu une giclée énorme, peut être un shooter, une explosion de sens, tout ce foutre qui m’envahissait! Il a voulu retirer sa queue sans me demander la permission, j’ai tiré sur ses couilles, on voit là mon côté dominant, et le fait de lécher à nouveau son gland explosif, il a explosé une seconde fois, presque autant que le meilleur de la séance d’avant.
Le géant est parti, sans un mot sans un regard, « ça va ? «  lui demandais je, un grognement satisfait m’a fait penser que oui! Mais c’est pas compliqué de dire merci ou bravo ou encore ou au revoir!
Ni une ni deux, j’avais un rasé a finir et au moment de lui lécher les couilles il me relève, me demande comment je vais et si on veut s’isoler.
Enfin l’espoir d’une société plus humaine!
Il m’entraîne vers une alcôve ...

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