(mars - avril 2021) Karim et moi, on avait tous les deux très envie de se revoir mais impossible de recevoir, ni l’un, ni l’autre ce jour-là. Du coup, je lui propose un plan extérieur, dans des buissons dans une zone industrielle que je connais… Il refuse mais finit, au vu de son excitation, par me proposer de passer dans son garage à 5 min en voiture, de chez moi pour baiser à l’intérieur.
Je pensais que ça serait tranquille ; j’en fais de temps en temps, avec d’autres potes, des plans dans des box de caves ou garages… Ben là, pas du tout ! Je vous raconte :
Je vous ai raconté dans une précédente histoire que j’ai rencontré Karim, un algérien au sourire de folie, d’une petite quarantaine d’année arrivé en France récemment et ne parlant pas très bien le français. Il travaille en tant que chauffeur livreur, c’est d’ailleurs lors d’une livraison que je l’ai rencontré.
Si j’étais célibataire, je pourrais vraiment me laisser séduire, même si j’ai beaucoup de mal encore à le comprendre à l’oral (à l’écrit c’est la cata). Comme il n’arrive pas à m’expliquer en français, où cela se trouve, on se donne rdv pas loin de chez moi pour qu’il vienne me prendre en voiture.
Mon bel amant arrive, je monte et il m’amène dans un coin surprenant en cœur de ville, à travers de petits chemins, des batteries de garages impressionnantes que je ne connaissais pas du tout.
Je suis content d’être avec lui, je lui caresse la cuisse pendant qu’il conduit. Sa petite voiture sent bon et est très propre. Il fait très viril mais m’appelle bébé, depuis notre premier plan cul, c’est mignon et romantique. A l’écrit, je l’appelle « mon chéri ».
Arrivé au fond de la dernière allée de garages, l’accès est bloqué par plusieurs voitures. Et là, je vois qu’un truc ne va pas… Il panique un peu, je le ressens fortement. Je lui demande ce qu’il se passe mais ne comprends pas ce qu’il me dit et il s’enferme dans le silence avec une mine assez grave.
Un gars arrive.
Ils parlent tous les deux en arabe et l’autre finit par bouger sa voiture après des manœuvres bien difficiles, puis s’en va.
Karim essaie d’avancer un peu plus, mais impossible à cause d’une autre voiture qui bloque là encore cette dernière allée. Il finit par klaxonner, un second type arrive, s’excuse en arabe également et avance la voiture.
Karim n’est pas bien du tout, il est stressé. Il me fait comprendre qu’il y a trop de monde et qu’on risque de se faire chopper. Je lui propose de partir à pied discrètement, il me dit d’attendre et qu’on verra. Finalement, on arrive à avancer et se stationner devant sa porte de garage.
Entre notre arrivée dans cette allée et le fait d’avoir suffisamment de place pour passer, il aura fallu attendre 5 à 7 longues minutes stressantes, surtout pour Karim, puisque moi, je ne comprenais pas vraiment ce qu’il se passait.
On se gare donc en perpendiculaire devant son tout petit garage qui est en fait, plus une sorte de box qu’autre chose. Sa voiture dépasse en longueur devant celui d’à côté.
Je compte 5 mecs dehors, à 10 mètres maximum, 2 portes de deux autres garages ouvertes et quelques allées et venues en bagnole. Karim m’explique alors qu’ils font du trafic de pièces détachées et d’autres choses…
Il me dit de rester dans la voiture, sort et ouvre péniblement la porte de son garage qui grince. J’imaginais son garage vide, mais de là où je suis, je le vois complètement rempli de bazar. Je suis toujours côté passager dans la voiture avec mon sac (quand on fait un plan extérieur, toujours prendre de l’eau et des lingettes, n’est-ce pas ?!).
Les gars de dehors qui se trouvent à quelques mètres m’observent bizarrement. Karim est dans le box. J’attends un signe de sa part et le voit réfléchir en tournant en rond. Il stresse, je le vois, puis finalement il m’invite d’un geste de la main à le rejoindre.
Je sors de la bagnole et fonce dans garage sans regarder les gars. Karim fait style de rien, attend 2 minutes, allume la torche de son portable et essai de fermer la porte de l’intérieur, ce qu’il n’arrive pas à le faire complètement. Il reste 20cm d’ouverture. Peut-être aussi se disait-il que ça serait encore plus bizarre pour les mecs dehors de savoir qu’on a fermé totalement le garage et de l’intérieur ? Mais ça, je n’ai absolument pas eu le temps de lui demander.
Je me retrouve là dans ce garage entouré de cartons, d’un vélo en plein milieu et d’un bordel pas possible. Je pose mon sac sur le vélo et mets également la torche de mon téléphone en route, que je pose sur la selle, car on ne voyait rien du tout malgré la porte légèrement entrouverte.
On entendait toutes les conversations des gars dehors et eux pouvaient potentiellement entendre le moindre bruit. J’oscillais entre excitation et stress. Mais pas le temps de réfléchir : Karim est décidé et désormais dans un état d’excitation incroyable.
Comme d’habitude il prend vite les choses en main : Je n’ai pas le temps d’enlever ma veste que mon bel amant me fonce dessus pour m’embrasser sauvagement, glisser sa main dans mon jean pour me caresser les fesses et l’autre sous le tshirt pour sortir, pincer mon téton et venir alors me le sucer. J’ai envie de couiner d’excitation et de plaisir mais je suis contraint au silence le plus total.
Je commence à desserrer ma ceinture et baisser mon jean de 10cm et déjà ses doigts arrivent dans la r ...
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