Il y a quelques temps j'avais raconté ici comment, à l'occasion d'un déplacement professionnel, j'avais entamé une relation charnelle avec ma cheffe.

Depuis cette première expérience, nous avons multiplié les expériences et ma supérieure-maitresse ne manque jamais de me solliciter pour une nouvelle mission puisque nous sommes amenés régulièrement à sillonner les routes de France pour donner des conférences ou assister à des congrès.

J'ai découvert au fil de chacun de ces voyages que sommeille en ma N+1 une véritable coquine, assoiffée d'aventures sexuelles et, à mon immense plaisir, jamais rassasiée.

Notre dernier grand voyage remonte à la semaine dernière. Nous devions regagner le sud pour deux journées et demies à Narbonne.

Attendus pour le début d'après-midi, nous avons pris la route depuis Paris en milieu de nuit, afin de ne pas nous presser pendant le voyage.

Au petit matin, nous avons fait une pause sur une aire d'autoroute afin de prendre un café et de nous dégourdir un peu les jambes.

Le soleil se levait à l'horizon et le parking réservé aux voitures était totalement désert.

Un peu plus loin, quelques camions étaient sagement alignés, rideaux des cabines tirés.

Lorsque nous avons regagné notre voiture, ma cheffe m'a littéralement plaqué contre elle, puis après m'avoir roulé une pelle magistrale en maintenant ma tête entre ses deux mains, m'a déclaré tout naturellement : "j'ai envie de toi, là, tout de suite"...

Joignant le geste à la parole, elle s'est assise sur le rebord du hayon du coffre que je venais d'ouvrir, et à commencé à me caresser la bosse qui naissait à travers mon pantalon.

Pendant que ses mains jouaient avec mon membre durci, je caressais ses cheveux et l'arrière de sa tête en respirant l'air frais du matin.

Ses doigts agiles eurent rapidement raison des boutons de mon pantalon et dans un geste expert elle sortit mon sexe raide qu'elle vint embrasser délicatement en commençant à le branler entre ses doigts.

Sa langue douce caressa mon gland avec beaucoup de douceur puis elle m'emboucha entièrement dans un écrin de velours.

Ce faisant, elle avait écarté les pans de son long manteau sur les côtés et remonté sa jupe droite fendue jusqu'en haut des cuisses entre lesquelles je me trouvais, de telle sorte que je pouvais voir l'élastique de ses bas soyeux et l'étoffe de dentelle transparente qui recouvrait son joli sexe.

Elle me suça ainsi longuement, délicatement, avec gourmandise.

La vue plongeante sur son petit berlingot dont elle titillait maintenant le clito du bout de ses doigts m'excita grandement et ...

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