Juste une drôle de sensation suivie d’une légère brulure lorsqu’il essaye d’avancer alors il recule. Je sens un peu de liquide et il progresse à nouveau, ce n’est pas si terrible, ni en mal ni en bien. Le mal c’était un peu au début, lorsqu’il a forcé l’entrée. Le bien, il commence à venir alors que je me détends et profite du moment.

Je ne sais pas vous mais, pour ma part, j’ai besoin de changer d’air de temps en temps, cela vient par période, sans prévenir, j’ai besoin de sexe. Marié depuis de nombreuses années et satisfait de cette situation, je cherche alors une sexfriend avec qui passer du bon temps pendant quelques jours, sans prise de tête, juste pour le sexe. La dernière fois j’ai voulu essayer autre chose, un sexfriend. Après plusieurs invitations toutes plus glauques les unes que les autres, j’ai trouvé mon bonheur, un mec bi qui cherche également un sexfriend, dans mon âge, la quarantaine et qui accepte un débutant.

Nous nous rencontrons chez lui, il est séparé et a la garde alternée de ses enfants. Il correspond parfaitement à ce que j’imaginais, un peu plus grand que moi, 1m90 environ, en forme et décontracté. Après un café pour briser la glace, il se rapproche de moi et, après avoir lancer « On passe aux choses sérieuses », il se penche vers moi et m’embrasse. D’abord un peu intimidé, je succombe et sa langue vient chercher la mienne. L’excitation monte vite, nos respirations s’accélèrent. Je sens sa main qui me caresse le torse descendre vers mon sexe déjà tendu. Je fais de même et découvre au touché qu’il est lui-même excité et dans de belles proportions. Il quitte alors mes lèvres et me souffle « Déshabille toi ». Ce que j’entreprends tandis qu’il fait de même. Nous sommes maintenant nus sur le canapé, sa bouche retrouve la mienne et nos mains découvrent nos sexes libérés.

Je découvre le sien du bout des doigts, m’abandonnant à son baiser et à ses caresses. Il quitte mes lèvres, descend sur mon torse, titille mes tétons qui deviennent sensible et électriques et je ne peux retenir un petit gémissement de satisfaction. Finalement il poursuit sa descente et, après un coup de langue, avale mon sexe et débute une divine fellation. Je ne peux m’empêcher de penser « Il faudrait qu’il donne des cours à ma femme ». Tandis que je lâche un grognement de plaisir de temps en temps, il me libère soudain, et reprends mes lèvres. Puis, me prenant le visage, il me guide vers son sexe en me disant « Viens, suce-moi ».

Il me guide de telle sorte que je me retrouve à genoux, entre ses jambes, son sexe dressé fièrement devant moi. Je peux le détailler, il est plus long que le mien, peut-être un peu plus fin et avec un joli gland en pointe. Je m’approche, le parcours un peu de la langue, m’attarde sur son gland et l’avale. C’est étrange de sucer une queue mais pas désagréable surtout lorsque l’on sent le plaisir que l’on donne. J’alterne les petits mouvements sur le gland en jouant de la langue avec des mouvements plus amples qui me font saliver.

Il me prend la tête et me remonte vers ses lèvres. Après un baiser presque passionné il s’allonge sur le dos et me place à quatre pattes au-dessus de lui. Il entame alors une fellation dans une position inédite pour moi qui me procure de nouvelles sensations. Ne voulant pas être en reste, je reprends son sexe en bouche et, en y ajoutant ma main, entame de lents aller et retours. Je sens bientôt ses mains me caresser les fesses, ajoutant à mon plaisir et mon excitation. Lorsque ses doigts parcourent la vallée qui les séparent et frôlent mon anus, je ne peux retenir un gémissement étouffé par son sexe dans ma bouche. Il lâche alors mon sexe et relevant la tête remonte entre mes fesses, sa langue remplaçant ses doigts. Lorsqu’elle s’arrêta sur mon anus et commença à le titiller, une vague électrique envahit mon bassin. J’arrêtais ma fellation le temps de laisser passer l’orage que me provoquait cette caresse inédite. Au bout d’un certain temps je reprenais mon ouvrage sans me rendre compte immédiatement que mon bassin oscillait au rythme des caresses de sa langue.

Une nouvelle décharge me parcouru le bassin tandis que je sentais quelque chose de plus dur que sa langue me pénétrer. Je me relevais alors sous le coup de l’onde cho ...

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