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Frédéric vs Frédérique (02)

Publié par : thma69 le 02/03/2024

Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique.

Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.
Juste une drôle de sensation que de sentir ce bout de tissus entre mes fesses alors que mon pantalon frotte sur ma peau fraichement épilée.

Quelques jours plus tard Patrice m’a recontacté. Mais je me rends compte que je ne me suis pas présenté dans les formes et qu’il en est de même pour Patrice. Donc, pour ce qui me concerne je m’appelle Frédéric, j’avais 39 ans à l’époque. Je suis DRH dans une administration territoriale, marié et père de 3 enfants. Pour le physique, un peu plus d’1m80 pour 85 kilos, j’essaye de me maintenir en forme en pratiquant du sport en salle. Patrice avait 42 ans, DSI dans une entreprise de la région lyonnaise, divorcé et père de 2 enfants. Il mesure 1m90 pour 85 kg et est très sportif.

Cela étant fait, il m’a donc recontacté, me disant qu’il aimerait beaucoup me revoir. J’avais eu le temps de repenser à ce qui s’était passer. Je n’avais pas du tout imaginé qu’une première rencontre avec un sexfriend puisse se terminer par une sodomie mais force est de constater que j’avais aimé ça. Le plaisir que j’en avais retiré était très différent de ce que j’avais pu connaitre avec les femmes mais tout aussi intense et valant bien mes plus forts moments de baise. Curieux de savoir si c’était lié à la perte de ma virginité et voulant retenter l’expérience, j’acceptais.

Il me proposa alors une rencontre un peu plus longue, une demi-journée et une soirée. Pouvant facilement me libérer et me cacher derrière mon travail pour une soirée, j’acceptais. Il me proposa le surlendemain, j’acceptais à nouveau.

Je me trouvais donc, en milieu d’après-midi, au sortir du boulot, devant sa porte. Le carillon n’avait pas fini de sonner qu’il m’ouvrit en m’offrant un grand sourire. Il me fit entrer et après un léger baiser me précéda vers son salon. Je reconnus le canapé, terrain de nos ébats passés et m’y assis avec un sourire. Il me servit un café et nous discutons de tout et de rien puis de notre rencontre. Il me dit avoir beaucoup aimé, que je suçais très bien, qu’il avait adoré me prendre ma virginité et que si je voulais je pouvais lui rendre la pareille. Je lui retournais ses compliments et le remerciait d’avoi su me faire franchir ce cap. Je déclinais en revanche sa proposition d’inverser les rôles et qu’à ce stade je préférais encore les culs des femmes. Ça la fait rire et il m’a dit qu’on pouvait recommencer quand je voulais mais qu’il avait une petite chose à me demander avant. Intrigué je lui demandais ce que c’était et il m’indiqua qu’il aimerait que je m’épile le bassin et le haut des cuisses. D’abord retissant notamment vis-à-vis de ma femme, l’idée a fait son chemin et trouvant l’idée plutôt excitante, j’ai accepté.

Enthousiaste il a alors proposer de m’épiler, ce que j’ai accepté. Sans plus attendre il m’a entrainé vers sa salle de bain et m’a déshabillé. Cette situation étrange m’a excité et je n’ai pas pu le lui cacher. Ça l’a fait rire et il m’a caressé du bout des doigts augmentant mon excitation avant de s’emparer d’un ciseau et de commencer à raccourcir ma toison. Il était maintenant à genoux devant moi et, tout en jouant du ciseau, il jouait de sa langue et de sa bouche sur mon sexe tendu. Finalement il se releva et me fit entrer dans la douche et me demanda de bien me savonner surtout le bassin et les cuisses, ce que je fis. Il s’occupa de m’essuyer en insistant bien autour de mon sexe toujours tendu, entre mes jambes et entre mes fesses. Puis, il sortit une crème épilatoire et m’enduisit de la taille à mi-cuisses en s’appliquant entre mes jambes et entre mes fesses. Quelques minutes plus tard il enlevait la crème avec la spatule et me rinçait. Il m’essuya délicatement et m’appliqua alors une huile et en profita pour me caresser le sexe qui n’avait pas dégonflé. Ça m’a fait bizarre de voir mon sexe sans sa toison et de sentir mes cuisses et mes fesses toutes lisses. Il a eu l’air d’apprécier car il se jeta littéralement sur mon sexe pour une fellation goulue qui eut raison de moi en quelques instants et je jouis dans sa bouche.

Apprès quelques léchouilles il remonta vers mes lèvres pour un baiser qui nous a fait partager le jus de mon plaisir. Il m’a ensuite demandé de m’habiller, il m’invitait au restaurant. Mais il avait une petite faveur à me demander avant. Sur mon questionnement, il s’absenta quelques instants et me présenta un joli string blanc en satin et dentelles. Il me demanda si je voulais bien le porter sous mon pantalon. Je n’en finissais pas des surprises, au point où j’en étais, j’acceptais.
Juste une drôle de sensation que de sentir ce bout de tissus entre mes fesses alors que mon pantalon frotte sur ma peau fraichement épilée à chaque pas que je fais. Drôle de sensation que de se sentir observé, d’imaginer que tous les clients du restaurant savent que je suis en string sous mon pantalon et me regardent les fesses. Assis je le sens s’immiscer, remonter au-dessus de ma ceinture. Je ne peux m’empêcher de passer régulièrement une main dans mon dos pour m’assurer que ma chemise est bien en place et le masque. Patrice, s’en amuse et m’assure qu’il est le seul à connaitre notre petit secret. Malgré tout je ne peux m’empêcher d’y penser sans que cela ne nuise finalement à la qualité de notre repas copieusement arrosé d’un magnifique Côte du Rhône.

Sur le chemin du retour chez lui, toujours cette drôle de sensation lorsque mon pantalon frotte sur la peau lisse de mes fesses. À peine arrivé chez lui il m’enlace et m’embrasse. Je prends alors conscience que c’est lui, même la dernière fois, qui prend le lead et que, bien qu’actif dans nos échanges c’est sa langue qui pénètre ma bouche à la recherche de la mienne. Ce constat ne gâche en rien le plaisir que je ressens et est même plutôt de nature à me libérer et à me laisser guider. Je ne tarde pas à sentir ses mains me caresser les fesses tandis que nos haches se soudent et que je sens son plaisir monter tout autant que le mien. Nos bassins ondulent bientôt et nos sexes se caressent au travers du tissus de nos pantalons. N’y tenant plus, je m’arrache à ses lèvres et m’accroupis, je défais sa ceinture, ses boutons, sa braguette et libère son sexe qui me saute au visage. Je l’aspire goulument et commence une lente fellation. Bientôt, ses mains sur ma tête me donnent le rythme. Parfois lent en ample, parfois rapide et court, parfois bloqué sur son gland que je caresse de la langue. Je sentais, au rythme de ses mains sur ma tête, à celui de sa respiration et à ses gémissements que son plaisir était près d’exploser.

Un peu frustré, je ne voulais pas le lâcher, je l’ai senti me faire quitter son sexe pour me guider vers ses lèvres. Il m’a alors conduit dans sa chambre où nous nous sommes mutuellement déshabillés. ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Bisexuel, Fellation, Sodomie