Nous arrivions sur le lieu de drague, ou j'avais rendez-vous avec mon coquin, je repère immédiatement la voiture de celui-ci garée le long de la route en lisière du petit bois. Je me stationne environ dix mètres derrière, et je demande à Christelle si elle est toujours d'accord pour nous mater lui et moi nous amuser.
Elle me précise que oui tout en me disant que la situation l'excite déjà énormément tout en écartant largement ses cuisses, je glisse donc main et constate qu'elle mouille déjà comme une bonne cochonne !
Je lui demande donc d'attendre ici le temps que j'aille prévenir mon contact que le plan d'origine a un peu évolué !
Lorsque j'arrive à la hauteur de la voiture du contact, je vois que celui-ci baisse sa vitre, tout en le saluant, je vois qu'il a déjà sorti son sexe et qu'il est déjà en train de se tripoter, il a un sexe de très grosse taille, je lui annonce donc que ma collègue que je raccompagnais, souhaite nous matter et peut-être même participer ! Étonnamment, celui-ci hésite et finit par accepter la situation, tout en précisant que les femmes, ce n'est pas vraiment sa tasse de thé !
Il me demande de lui laisser une petite minute d'avance en sortant de sa voiture avant que nous le retrouvions dans le sous-bois.
Je rejoins donc Christelle dans ma voiture, elle a déjà commencé à se tripoter la petite robe et totalement relevée, elle a reculé le siège passager et écarte maintenant très largement ses cuisses sa vulve totalement à vue, et elle a déboutonné le haut de sa robe pour se caresser un sein à travers la dentelle de son soutien-gorge.
Je lui dis que c'est ok et lui explique que le contact n'est pas très attiré par les femmes, mais qu'il ne voit pas d'inconvénients pour qu'elle nous mate.
À la vue de ses courbes, je ne résiste pas l'envie de la caresser, je commence à l'embrasser tout en lui caressant doucement son clitoris gonflé par l'excitation, elle est de plus en plus mouillée. Je baisse à peine la dentelle qui couvre ses seins que celui-ci sort presque en bondissant et m'offre son téton dur comme une noisette, je lui tète avec plaisir et elle lâche un premier râle de bonheur.
À son tour, elle me demande de déboutonner mon jean et lui montrer ce que j'ai à lui offrir, je m'exécute sur le champ, elle agrippe mon sexe déjà bien tendu et le décalotte, avant de le caresser très lentement de son majeur. Elle récupère avec celui-ci le liquide séminal qui enrobe mon gland et m’enfonce son doigt dans la bouche en me disant " goutte-toi salope, tu aimes ça hein", oui, j'adore, lui répondis-je.
Je lui demande si elle accepte de retirer son soutien-gorge avant de rejoindre notre ami qui doit d'ailleurs commencer à s'impatienter, elle accepte sans aucune hésitation.
Nous voilà tous les deux sorties de ma voiture, et suivant la petite piste forestière, après quelques secondes de marche, nous attendons un premier, puis un deuxième véhicule se garer le long de la route juste derrière nous, a cet instant, elle m'attrape la main et sens qu'elle hésite à aller plus loin. Je la regarde pour la rassurer et lui dis que si elle veut, qu'on en reste là. Elle me sourit et me dit qu'elle a un peu peur, mais qu'elle est aussi très excitée.
Je lui propose alors de nous mettre nu, elle me répond " et bien vas-y commence, je préfère attendre un peu".
Je retire alors mes vêtements et ne renfile que mes chaussures.
Quelques mètres plus loin, nous retrouvons mon contact, il est, lui aussi, totalement nu et m'ordonne de me mettre à genoux devant lui.
Bouffe mes couilles salope, me dit-il, tout en faisant claquer son gland sur ma joue, je m'exécute immédiatement, d'un œil je vérifie que Christelle n'en loupe pas une miette, elle s'appuie le dos contre un arbre tout en me regardant bouffer les couilles de mon amant du moment, elle ouvre les boutons de sa petite robe et nous dévoile ainsi la totalité de son corps nue, elle est MAGNIFIQUE !!!
C'est à ce moment que nous voyons les quelques mecs que nous avions entendu stationner le long de la route, deux d'entre eux étaient en tenue de chantier, il y avait aussi un homme un peu âgé, mais plutôt pas mal, suivi de deux cyclistes qui apparemment étaient cachés depuis le début.
Les voyant tous apparaître en même temps, je pense que Christelle a eu peur puisqu'elle referma immédiatement sa petite robe.
En ce qui me concerne, je dois bien avouer que la situation m'excitait de plus en plus, je pris donc en main le chibre énorme qui se tenait juste face à moi et l'engloutis quasiment totalement. Mon contact me tira alors par les cheveux et m'ordonna de le regarder. Il me dit " t'es une vraie chienne", il cracha alors un bon mollard sur ma gueule, et enfonça aussitôt sa bite au fond de ma gorge. Je tousse en ayant un haut le cœur, mes yeux gonflés de larmes n'y voient plus grand-chose !
Il me releva, et me retourna contre lui, je sentais son chibre raide entre les fesses, il me pinçait un téton et de l'autre main tout en me tirant toujours les cheveux me força à tourner la tête vers lui pour introduire sa langue dans ma bouche.
Christelle avait alors rouvert sa robe, et tout en nous regardant mon amant du moment et moi, elle recommençait à se masturber en douceur, c'est alors que le plus âgé de nos voyeurs s'approcha d'elle et lui demanda : " je peux" sans même attendre sa réponse, il lui caressait sa grosse poitrine d'une ...

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