Le Monsieur m'avait demandé de le recevoir à la maison avec juste un petit pantalon et tee shirt qui s'apparentait à un pyjama. Ils étaient tous les deux en coton assez fin.
Quand il sonna, j'ouvris la porte au Monsieur. L'entrée donnait directement sur le salon, salle à manger, cuisine qui ne formait qu'une seule pièces, si ce n'est qu'un comptoir à hauteur de bar délimitait la cuisine. Le Monsieur entra, se mit à l'aise et alla s’asseoir dans la canapé.
"Vient là petit cochon!"
"Oui Monsieur"
Le Monsieur me fit mettre debout face à lui, mon bassin à hauteur de son visage. Sans la moindre gêne, il mit directement sa main sur mon petit cul. Il me fit tourner pour bien le tripoter et le palper à travers le fin tissus de coton de mon pantalon.
"Tournes toi que je vois aussi ton petit oiseau."
Le Monsieur prit son temps pour bien sentir toutes les formes à travers le tissus, celle de mon petit oiseau, les plis de mon gland ainsi que mes petites prunes "pendouillantes". Puis, soudainement, il baissa mon pantalon à mi jambe. J'avais très honte et ne put m'empêcher de l'exprimer malgré moi
"Oh ben Monsieur, c'est pas bien !"
"Comment ça c'est pas bien."
Il m'attrapa par le poignet et me fit m'allonger en travers de ses genoux.
J'avais très honte de me retrouver mon petit cul à l'air sur les genoux du Monsieur. Je mettais alors mes mains sur mes fesses pour les cacher.
"Oh mais mon petit cochon, tu vas retirer tes mains tout de suite !"
"Mais Monsieur, vous allez voir mon petit cul !"
Le Monsieur saisit alors mes mains et les plaça l'une après l'autre sous sa cuisse afin que je sois totalement bloqué.
"Et la, tu vois cochon que je fais ce que je veux, c'est bien compris ?"
"Oui Monsieur"
Et je sentis une petit claque sur mes fesses qui me surpris.
"Mais Monsieur, je n'ai rien fait !"
"Si, tu as cherché à désobéir !"
Et comme pour bien me faire comprendre qu'il pouvait faire librement ce que bon lui plaisait, tout en écartant bien mes 2 petits lobes, dégageant bien mon petit trou de salope...
"Alors tu vois que je fais, je regarde et je touche tout ce que j'ai envie..."
Et comme pour s'assurer que je comprenne bien, le monsieur caressa l'entrée de mon petit trou du bout du doigt. J'avais terriblement honte, mais pourtant, cela commençait à m'exciter au point que je commençais à frotter mon petit zizi contre les genoux du Monsieur.
"Mais dit donc petit cochon, qui t'a permis de frotter ton petit zizi sur moi ?"
"C'est pas ma faute Monsieur, il me chatouille! "
Et le monsieur se mit alors à me fesser en m'expliquant que j'étais un vilain petit garçon, un vrai petite vicieux. Mais à chacune de ses tapes, je sursautais et j'en profitais pour frotter un peu plus mon petit oiseau qui commençait à se raidir un peu.
"Salope, puisque c'est ainsi, tu vas te mettre à 4 pattes sur la table du salon, allez, tout de suite !"
"Mais Monsieur..."
"Dépêche toi !"
Je m'exécutais et me retrouvais à 4 pattes de profil sur la table du salon. Le Monsieur avait remarqué qu'elle était sur de grosse roulette et avec un petit sourire l'attrapa pour la faire pivoter de sorte que mon petit cul lui soit totalement offert à sa vue.
"Tu vois, c'est ça qui m’intéresse, c'est ça que je veux bien voir"
Et tout en glissant une main entre mes cuisses pour attraper mon petit oiseau et ensuite en caressant mes petites valseuses...
"Tu vois, là, tu ne pourras plus te frotter sur mes cuisses"
Je tortillais mon petit cul dans l'espoir vain d'arriver à frotter mon petit oiseau entre mes cuisses.
"Cochon, ouvre moi bien tes cuisses que je vois bien tout ça et pour m'assurer que tu ne te frotte pas tout seul."
Puis le monsieur glissa sa jambe entre mes cuisses et plaça son pied encore chaussé de son soulier juste contre mon petit service trois pièces.
"Tu peux te frotter si tu veux si tu n'as pas peur de salir ton petit trésor"
"Oh ben non Monsieur, je répondais" mais en toute contradiction, je ne pouvais m’empêcher de succomber à l'envie de me frotter contre la chaussure du Monsieur.
"Salope, il n'y a vraiment rien qui t’arrête. "
Le Monsieur se leva, m'attrapa par l'oreille et m'indiqua le coin du mur
"Main sur la tête, au coin petit cochon, je vais t'apprendre moi !"
Le Monsieur s'approcha de moi. J'étais debout, mains sur la tête, le pantalon en bas des jambes, mon petit cul offert à sa vue et mon petit zizi à l'air.
Le Monsieur contourna ma taille avec sa main droite pour attraper mon petit zizi et commença à le titiller.
"Alors c'est ce petit machin ridicule qui te démange ?"
"Oui Monsieur, mais c'est pas ma faute !"
Et "PAF", je sentis sa main gauche venir frapper mon petit cul !
"Cochon, tu devrais avoir honte !"
"Mais j'ai honte Monsieur, mais ça me chatouille trop Monsieur."
"Tu as envie que je continue de caresser ta petite nouille ?"
"Oh oui Monsieur s'il vous plait ?"
"Alors tu dois le mériter. Si tu veux que je continue, tu vois le comptoir de la cuisine, tu vas me servir un petit café et ensuite tu montes dessus à 4 pattes"
"Oh ben non Monsieur, je peux pas."
Aussitôt, le monsieur retira sa main.
"Oh Monsieur, s'il vous plait"
"Alors fais ce que je t'ai dit."
Et très honteusement, les pieds toujours entravé dans mon petit pantalon, je m’avançait vers la cuisine. Je préparais un café que je déposais sur le comptoir et je grimpais à 4 pattes dessus.
Le Monsieur s'installa sur un tabouret et commença à mélanger son café. J'étais un peu de profil et je regardais la main du monsieur en train de mélanger.
"Si tu veux que je m'occupe de ton petit zizi, faut me présenter ton petit cul que je glisse ma main entre tes petites cuisses.
"Grommelant de honte, je me tournais quand même pour présenter mon petit cul au monsieur."
Je sentis alors une grande chaleur envelopper mes petites burnes. Le Monsieur venait de placer sa tasse toute chaude juste sous mes petites valseuses en veillant à ne pas les y faire tremper pour ne pas les brûler. Instantanément, cela excitât mon petit zizi qui se raidit un peu. Le Monsieur attrapa alors ma petite queue et se mit à caresser du bout du doigt mon petit point sensible.
"Oh merci Monsieur, c'est bon."
"Oui , mais tu me gardes bien ton petit lait, pas question de te laisser aller."
"Oui Monsieur"
"Tu devrais avoir honte petit cochonne"
"Oh mais j'ai très honte Monsieur"
"Tu m'exposes ainsi ton intimité en gros plan, t'est vraiment un petit vicieux pervers."
"Mais j'ai très très honte Monsieur"
"Alors pourquoi le fais tu quand même".
"C'est pas ma faute Monsieur, mon petit zizi me chatouille trop, je sais pas quoi faire"
"ll te chatouille au point que tu ferais n'importe quoi pour que je le soulage ?"
"Oh oui Monsieur"
"Hummm, ne t'inquiètes pas, c'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd."
Le Monsieur tout en buvant son café d'une main, continuait de caresser mon petit zizi avec douceur et je ne pouvais m'empêcher de tortiller mon petit cul.
"C'est bon n'est-ce pas, tu aimes"
"Oui Monsieur, mais j'ai honte."
"Alors, si tu veux pas que j'arrête, avec tes mains, tu vas m'ouvrir tes fesses bien grand pour bien me montrer ton petit trou."
"Oh ben Monsieur, j'ai trop honte."
Sans se retirer, le doigt du monsieur s'immobilisa. Alors, je me résignais à ouvrir bien grand mes fesses afin que reprenne les caresses du Monsieur sur ma petite nouille.
"Voila, tu vois, c'est pas si difficile que ça d'être un petit cochon bien sage, bien obéissant!"
Le Monsieur attrapa alors un petit gode qu'il prit plaisir à loger très lentement dans ce petit trou qui s'offrait à lui
"Il faut qu'il s'habitue à se faire fourrer. Je ne dis pas que je prendrai pas plaisir à te voir te faire fourrer par un inconnu un jour"
Quand il eut finit son café, le monsieur me fit descendre du bar pour me mettre à 4 pattes par terre.
"Allez, je vais te dresser petit cochon, je vais t'apprendre à te tripoter en cachette."
Le Monsieur me plaça alors un gros col ...
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