Debout devant le WC la bite à l’air j’étais « vulnérable » et c’est le moment qu’elle choisit pour m’attraper la queue et commencer de me branler.

-Mais je veux pisser là.

-Vas-y te gêne pas, moi je veux juste m’amuser.

Dans cette situation, je pense que tous les mecs me comprennent, il faut une dose de concentration maximale pour arriver à faire ce que l’on est venu faire.
Au prix d’un effort considérable mon liquide se mit à couler, me libérant l’esprit et la vessie dans le même temps. Mais la bougresse n’en n’avait pas fini pour autant. Elle se mit à jouer en visant divers endroits du WC comme si ma bite était un pistolet à eau. Je pensais avoir tout vu de son envie de jeu, mais il n’en n’était rien. Elle passa alors ses doigts sur le bout de mon gland, s’amusant visiblement de se mouiller les doigts et d’en mettre partout au passage.
Alors que la source s’était tarie, j’allais remballer le. Matos lorsqu’elle m’en empêcha. Elle prit alors mon gland dans sa bouche et lava le tout soigneusement avec sa langue. Une fois l’opération terminée, elle se releva et dit.

-Je n’aime pas trop le goût, mais c’était marrant de tester.

Elle descendit sa culotte et s’assit sur le WC me faisant un petit signe de la main, du style « dégage ».
Pensais-tu que tu allais t’en tirer si facilement après cette petite torture urinaire que tu venais de me faire. A moi de jouer.

Sans lui laisser la moindre seconde de répit, j’enfilai ma main entre ses cuisses pour atteindre son clito et je me mis à jouer frénétiquement avec. A priori pour madame aussi il faut un minimum de concentration pour laisser échapper son champagne doré.
Quel plaisir de la voir « souffrir » de ne pouvoir se lâcher, alors que je caressais son clito et que j’introduisais, tant bien que mal, mes doigts dans sa chatte.

Finalement, au prix de la même concentration que moi quelques minutes auparavant, elle arriva à lâcher son flot de liquide. Tout comme elle, je continuais de jouer avec ses lèvres, son clito, son trou. Bien entendu j’en avais plein les mains que je mis à la bouche pour goûter son intimité ultime. Chaude, douce et sans amertume, un délice je dirais.
Sa chatte était détrempée, lèvres et poils dégoulinant de son nectar personnel. Alors qu’elle allait essuyer tout cela, je décidais de faire comme elle auparavant et je lui lavais sa chatte mouillée de ma langue avide de cette nouvelle sensation.

Ce petit épisode m’avait donné une érection incroyable l’on se mit à baiser jusqu’à une explosion orgasmique entre le plaisir absolu et un déb ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite