Tout commence par la réception d’un petit message agrémenté de quelques photos de jambes de déesse, gainées de bas et escarpins, belles à voir, potentiellement délicieuses à caresser. Mais, ces pinceaux que je prendrais bien en main se situant à plus de deux pas (+150Km) de chez moi, ce n’est pas le pied. Elle se fait appeler Dominique. Manifestement nos possibilités de retrouvailles sont très réduites, très peu de points de rencontres se situent entre nous deux. Il y a force commentaires sur son profil, en plus de la quantité, certains proviennent de sources considérées sures. Je suis un peu bloqué chez moi, j’ai du temps pour chatter. Quelques jours passent durant lesquels s’échangent des messages. C’est souvent en bon Français, écrit avec attention preuve de soin. Certains semblent écrits un peu à la hâte, « madame », l‘épouse de Dominique, qui ne sait pas que sa moitié se dévergonde habillée en nana, ne semble pas loin. J’apprécie. J’en apprends un peu plus à propos de certaines lignes rouges, ces choses à ne pas faire… Une certaine proximité, intellectuelle et non physique s’installe. Puis, un jour, je donne mon numéro de téléphone. Pour moi, c’est ce que tout male doit faire, il ne demande jamais un numéro, s’il a des couilles, il doit montrer son intérêt. Dans mon cas, ce n’est pas quelque chose de réfléchi, c’est quelque chose d’instinctif. Le facteur « madame », limitant les capacités de communication, j’accepte un appel masqué. L’échange, s’il est naturellement plus intense que sur le chat est aussi plus riche, le contact visuel manque, mais il y a une voix et ses intonations. Nous finissons cet appel et continuons via le chat. Les négociations vont bon train… Une de choses difficiles pour Dominique est de s’échapper de l’emprise de « madame ». Nous arrivons à deux options possibles, soit le X-Center d’Aix, lieu que je ne connais ni par sa configuration, ni par sa fréquentation soit carrément l’étoile à Marseille… Et à faire les choses, autant y aller carrément.
Le samedi fatidique arrive… Je sens un peu d’angoisse de la part de la personne que je vais rencontrer. Nous avons rendez-vous vers 11h30. De mon côté, j’arrive avant via la gare St Charles. Je ne suis habillé pas de manière aussi discrète qu’accoutumée mais assez pour ne pas dépasser les standards phocéens. Je reçois un coup de fil, la belle, en voiture, n’ayant pas pu résister à passer faire les boutiques avant, est en retard à cause de la circulation. Je tue le temps et je me mets à un endroit stratégique. Le téléphone sonne encore, impossible de stationner, mon amante va se garer au parking Gambetta, je me rends à l’entrée, dis comment me reconnaitre et après un délai la voit entrer dans le parking après un appel de phare de sa part. Reconnu, j’attends en haut… Elle finit par apparaitre en haut des escaliers… En femme sexy… Les standards Phocéens étant désormais bons pour le Père Lachaise, nous nous offrons le luxe de partager un petit café sur une terrasse. Nous nous rendons au ciné et les chaussures de ma moitié ne sont pas faites pour les longues escapades. Nous entrons et je fais le nécessaire pour fluidifier la chose. C’est la première fois que je ne rentre pas en solo. Ils sont un peu surpris au guichet mais se ravisent vite, ils en ont vu d’autres et sont fort aimables et professionnels. En guise de calvaire plantaire pour Dominique, je rentre et monte directement au deuxième étage (je fais surtout cela pour habituer mes yeux à la pénombre). En haut, le hall est ...
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