Le soir de cette mémorable journée (voir « L’aire D’autoroute (Partie 1 ) »), je me connecte sur mon site préféré et jette un coup d’œil sur les lieux de rencontres près de chez moi. Un en particulier m’attire car il se trouve dans les bois, et pas très loin de la voie rapide.
Ni une ni deux, je poste un message expliquant que j’y serai le lendemain à partir de 14 heure.
Le lendemain matin, après une nuit remplie de rêves très chauds, je prends une bonne douche, et profitant de l’eau qui coule, je commence à me caresser la queue, qui rapidement devient très dure. Il ne me faut que quelques minutes pour voir mon jus couler sur mes doigts. La journée commence bien.
L’après-midi, après avoir enfilé des affaires faciles à retirer (t-shirt et bas de survêtement) je prends la direction de ce petit bois en me demandant si quelqu’un aura lu mon message, et surtout si quelqu’un sera là.
En arrivant sur les lieux, quelle déception, personne n’est garé devant la forêt. Je décide tout de même de m’arrêter et de faire quelques pas, il n’est que 14h15, je peux bien attendre jusque 15 heure.
A 14h45, je reviens vers ma voiture, et je m’aperçois que (oh joie) une autre voiture est stationnée derrière la mienne. Mon cœur commence à battre plus rapidement, est-il possible que cette journée soit aussi vivante que la veille ?
En passant à côté du véhicule, je me rends compte que l’homme au volant a sorti son sexe et qu’il se branle lentement. Je passe mon chemin pour rejoindre ma voiture et avant de monter dedans, un petit coup de klaxon me fait sursauter. L’homme venait de m’interpeller. Je me retourne, il me fait signe de le rejoindre, je me dirige donc vers lui et m’arrête à hauteur de sa portière. La fenêtre est ouverte, que son sexe me paraît gros ! Je vois les veines gonflées sa queue de plus en plus et je ne peux retenir ma main. Elle se dirige vers sa bite et au moment où elle entre en contact avec l’objet de mon désir, nos regards se croisent et je vois que l’homme n’est plus très loin de la jouissance.
Mon va et vient fait gémir le conducteur, je sens perler son précum, il n’est plus très loin de l’éjaculation. Effectivement, 30 secondes après, son jus me coule dans la main, j’attends la fin et comme la veille, décide de goûter sa semence.
A ce moment l’homme ouvre sa porte et doucement descend mon pantalon, il fait de même avec mon boxer et prend ma bite dans sa bouche. Que sa bouche est chaude, elle me fait du bien. Il commence doucement à titiller mon gland avec sa langue, et je sens une main descendre sur mes fesses. Un frisson me parcours. Il lâche ma queue pour lécher le majeur et l’index de son autre main qui aussitôt se dirige vers mon petit trou.
Il reprend sa fellation tout en titillant mon cul qui s’ouvre un peu au contact de ses doigts. Tout à coup il arrête de me sucer, retire sa main et me regarde dans les yeux en me souriant, je ne comprends pas tout de suite, c’est au moment où je sens une langue me lécher le cul, que je saisis qu’il n’était pas seul. Que va-t-il se passer ? Les doutes m’assaillent, mais tendrement, des mains commencent à me caresser le corps, la bite, les bourses. A ce moment je décide de m’abandonner complètement. N’était-ce pas un de mes fantasmes ?
Les mains quittent mon corps pour m’appuyer doucement sur la nuque et me forcer à abaisser le haut de mon corps, je sais ce ...

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