Dans la chaleur oppressante d’un après-midi d’août vers Grenoble , où l’air vibre d’une tension sensuelle, je croise un autostoppeur qui allume en moi un désir brut et irrépressible. Direction le parc de Miribel-Jonage, un lieu réputé pour ses rencontres sauvages proche de Lyon ,je roule sur une départementale poussiéreuse près de Grenoble , ma Jeep grondant sous la canicule de 35 degrés, quand je repère un mec au bord de la route, pouce levé. Il s’appelle Jules, 28 ans, avec un corps de skater – mince, nerveux, ses cuisses fermes moulées dans un short kaki trempé de sueur. Son bob kaki, légèrement de travers, et son sac à dos orné d’un discret patch arc-en-ciel laissent deviner ses intentions. Son sourire en coin et son regard perçant, qui semble me jauger de haut en bas, me filent un frisson dans le bas-ventre. Je ralentis, incapable de passer mon chemin.— « Tu vas où ? » je demande en baissant la vitre, ma voix rauque malgré moi.— « A Miribel Jonage . J’ai envie de profiter du parc… et de ce qui s’y passe », répond Jules, ses yeux pétillants glissant sur moi avec une malice contenue. Je ricane, sentant ma queue tressaillir sous mon short noir. « Monte, je t’emmène. » Il grimpe, jette son sac à l’arrière, et son genou frôle le mien quand je passe une vitesse.

Son odeur – un mélange de sueur salée et d’un parfum boisé – m’enivre. « J’ai vu ton patch arc-en-ciel », je lance, un sourire en coin. « Ça veut dire ce que je pense ? » Il rit doucement, sa main effleurant ma cuisse. « Disons que je suis ouvert… très ouvert », murmure-t-il, son regard me défiant subtilement.
L’air dans la Jeep devient électrique. Sa main s’attarde, frôlant la mienne sur le levier de vitesse. Je la saisis doucement, la posant sur ma cuisse, sentant la chaleur de sa peau. « T’es du genre à aller au bout de tes envies, hein ? » je murmure, mes doigts glissant lentement vers son entrejambe, où une bosse se dessine déjà. Il ne répond pas, mais son souffle s’accélère, et il se rapproche, son odeur me rendant fou.

Je bifurque vers un sentier isolé, à l’orée du parc de Miribel,car oui aprés une bonne heure de route , enfin arrivé chaudement On sort de la Jeep, l’air saturé de l’odeur de terre chaude et de nos corps en sueur. Jules enlève son tee-shirt d’un geste fluide, révélant un torse lisse, des abdos taillés par le skate, et un boxer gris trempé qui moule une queue raide, pulsant d’envie. Je baisse mon short, dévoilant un torse velu, des pecs massifs tatoués, et une verge épaisse, luisante de mouille, jaillissant de mon jockstrap rouge.— « À genoux », je grogne, ma main empoignant ses cheveux bruns. Jules s’exécute, ses lèvres s’ouvrant pour engloutir ma queue. Sa langue danse autour de mon gland, le titille, puis glisse jusqu’à mes couilles, qu’il aspire avec une avidité qui me fait râler. « Putain, t’es trop bon », je gronde, mes mains serrant sa nuque, le guidant pour me prendre en fond de gorge.

Il gémit, sa bouche vibrant autour de ma hampe, ses yeux brillants de désir. Je le baise en bouche, mes hanches claquant contre son visage, la sueur dégoulinant sur mon torse.Mais Jules veut plus. Il se redresse, arrache son boxer, révélant un cul ferme, bombé, et une bite tendue, luisante de mouille. « Défonce-moi. Ouvre-moi pour ce qui m’attend au parc », dit-il, cambrant son cul sans retenue. Je crache sur mes doigts, les enfonce dans son trou serré, qui s’ouvre sous mes mouvements experts. Il pousse un cri rauque, son corps tremblant. « T’es déjà prêt, petite salope », je murmure, alignant mon gland contre son entrée.D’un coup précis, je pénètre, brutal mais maîtrisé, son cul m’engloutissant. « Oh, bordel ! » hurle-t-il, s’agrippant à un tronc d’arbre.

Mes va-et-vient sont rapides, profonds, mes mains griffant ses hanches, nos corps claquant dans un rythme sauvage. Sa sueur goutte sur l’herbe, ses gémissements résonnent dans le bois. « Plus fort, mec ! » supplie-t-il, et je m’enfonce encore, ma queue le remplissant jusqu’à la garde, chaque coup de reins arrachant un râle de plaisir.Soudain, un mec surgit du sentier – un joggeur baraqué, la trentaine, torse nu, short moulant révélant une érection massive.

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