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l'éducation III On ne peux pas tout avoir. Partie 2/2

Publié par : eerica le 12/03/2018

On ne peux pas tout avoir, partie 2/2

Jonathan me fis sortir de la voiture en me prenant par les cheveux et m’agenouilla sur les feuilles mortes. les quatre hommes m’entourèrent et mon maitre m’ordonna d’ouvrir la bouche. Il commencèrent à me cracher dans la bouche un par un, puis à me donner des claques de plus en plus fort. Alors que je voulu mettre la main sur mon visage, mon maitre m'attrapa fortement par le nez, me fis ouvrir la bouche et y introduisit sa main.
- Tes mains servent à branler des bites, c’est tout ce que je veux les voir faire, si elles font autre chose, je te le attaches compris ?
Le présence de sa main dans la bouche m’empêchait de parler, j’agitais la tête dans le sens d’un oui pour tenter de lui faire comprendre que je serais sage. Je m’étais remis à pleurer sous le brûlure des claques, et l’inquiétude qui ne me quittait plus. Alain enleva sa main de ma bouche et saisi mon cou des deux mains, il eu un mouvement rapide d’étranglement et de rotation très désagréable qui me fit émettre un gargouillis et baisser la tête.
- lève le tête et ouvre la bouche bon sang!
je m’exécutais. je me souviens qu’ils avaient sortis leur bites et que main levé je devais en branler deux, j’ignore lesquels j’avais fermé les yeux, avec les larmes et les crachats je ne distinguais rien de toute façon. Les bites passaient sur mon visage, je sentait leur odeur chaude, des glands me tapaient le lèvres le yeux, les joues, entrant parfois dans ma bouche, par réflexe je fermait les lèvres et me mettait à sucer, ce qui provoquait des réflexions sur ma nature de salope et de chienne. Mais le pire, ce sont ces étranglements à répétition, ces mains passés autour de mon cou et ce mouvement de rotation si douloureux, je me demandais si j’allais encore être capable de parler et une appréhension supplémentaire me pris à l'idée qu'ils laissaient certainement des marques, et que j’aurai à m’en expliquer. Je gémissais et sanglotais en permanence.

- Quelle salope, j’en peux plus, je vais jouir.
C’était Bernard, la dernière fois à l’appartement il avait aussi été le premier à jouir. Mon maitre lui demanda de me jouir dans les cheveux, je me sentit tirer en arrière par les cheveux et bientôt je senti le liquide chaud qui coulait sur mon front, une main récupéra l’humidité de mon visage et chiffonna mes cheveux.
- Il va en falloir bien plus pour faire un shampoing à cette petite merde. Tiens le par le cou et renverse lui bien le tête en arrière !
De nouveau des mains prirent mon cou et appuyèrent mon menton en arrière.
- Ouvre bien la bouche toi, et continue de bien branler les bites !
J’ouvris la bouche autant que je pus. C’est vrai que mes deux bras fatiguaient, je branlait du mieux que je pouvais les deux chibres que je pensais être aux maitres Jonathan et Jean. Soudain je senti un liquide chaud me couler sur le haut du front, sous l’approbation des autres hommes, quelques gouttes giclèrent sur mon visage et je reconnu une odeur acre ! de le pisse ! il me pissait sur les cheveux ! je me remis à pleurer.

- haa la petite salope qui pleure, attend je vais te passer tes larmes en te donnant ce pour quoi tu est venu ! Je fus tiré par les cheveux et plaqué contre le capot de la Renault !
Il était encore chaud, enfin une sensation agréable. Jonathan me fis écarter les cuisses et se cala contre moi. Je sentais son pénis en érection posé sur mes fesses. Il passa sa main entre mes cuisses
- On va te graisser petite salope, faut que tu sois bonne !
Par dessus l'inquiétude et les pleurs, plus fort que moi, je sentis l'excitation monter. Il tira mes mains dans mon dos, me replia les avants bras l’un contre l’autre et commença à les attacher avec une cordelette, je la sentais glisser à chaque tour qu’il faisait. Ceci fait il me retourna sur le dos et releva mes jambes, en temps normal j'aurai adoré, mais la j'avais peur, dans un instant j’aurais sa bite en moi et après lui sans doute que les trois autre me prendraient aussi ! Je devrai être contente! je m'efforçais de me dire que ça valait bien les quelques souffrances que j’avait enduré; mais quelque chose m'inquiétait. Je n'eus pas la temps d'y penser.
Il attacha mes cuisses relevé à mes bras, ne me laissant aucune possibilité de résister à une pénétration, il faisait de moi son objet. Attaché, jambes totalement relevé, à la merci de quatre hommes, être baisé de cette manière faisait parti de mes fantasmes, j'aurai du être aux anges mais l'inquiétude persistait et je n'allais pas tarder à comprendre pourquoi.
- Bernard passe moi l’huile moteur !
Je vis Bernard tendre à Jonathan le bidon d’huile un bidon vert ! Castrol, je crois ! je pensais que dans l’humiliation on fait pas mieux ! Jonathan fit directement couler l’huile entre mes fesses, puis il positionna son gland à l’entrée de mon cul ! il m’avait pas doigté, je n’étais pas ouvert, Jonathan vit surement la panique passer dans mes yeux.
- c’est comme ça qu’on traite les putes ! !

Et il poussa d’un seul coup sa bite dans mon cul, sous l’effet de l’huile aucune résistance ne me fut possible, je criais sous l’effet de la douleur, une brulure insupportable et un mal de ventre me pris, il avait du taper au fond, je ne sais ou, je criais et je me remis à pleurer, tandis que les 3 autres approuvaient en riant, j’aurais voulu les y voir ! Un des mecs me mis mon slip dans la bouche pou me faire taire et ce salaud de Jonathan se mis à me buriner, nouvelle douleur, attaché comme j’étais je ne pouvais bouger. Jonathan changea de rythme , enfin la douleur se calma, j'avais peur, je ne pouvais plus m'arrêter de pleurer
- Détend toi, tu verras, ça ira mieux. Dit Jonathan. Il passa sa main sur mon visage, ...

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