La voiture roulait, les tubes d’Eddy Mitchell s’enchaînaient. Bientôt la musique s’arrêta et le claquement d’une portière puis d’une seconde m’indiquèrent qu’on était arrivé. M’attendant à voir le coffre s’ouvrir je me demandais quelle attitude adopter . Pleurnicher avait l’air de leur plaire. Mais le coffre ne s’ouvrit pas, le silence était retombé.
M’auraient ils oubliés? pas possible, me laisser dans le coffre est encore une punition, une humiliation de plus !
Mes avant bras, sous mon dos, me faisait mal, j’essayais de cambrer les reins pour diminuer le poids sur eux, mais dans mes tortillements, avec l’étroitesse du coffre mon genou heurta la tôle qui résonna. Je ne savais pas où ils étaient, j’eus peur qu’ils n’eussent entendu et que cela ne me coûte une nouvelle punition. Je revis Jean avec sa ceinture à la main, non vraiment, vu ma situation je trouvais pas malin de risquer de me faire battre.
D’ailleurs j'avais réfléchi pendant le trajet, il m’était apparu que le mieux que je puisse faire c’était de m’appliquer à répondre à ce qu’ils voulaient, à être la salope qu'ils attendaient en espérant que cela permette au moins d’éviter les sévices car je craignais qu'ils me fasse mal, qu'ils me cogne pour leur plaisir. Sexuellement je leur appartenait déja. Ils pouvaient aussi me proposer à d'autre mecs voir même me prostituer ? je m'y suis déjà préparé, à plaire à obéir et à m'offrir, j'ai aimé la soirée ou ils étaient tous là et je suis décidé à faire de mon mieux.
Mais tandis que je me perdais dans mes réflexions, personne ne viennais et je restais ainsi, à avoir froid dans le noir total pendant un temps qui me paru très long.
Enfin il y eu des pas sur le gravier et le coffre s’ouvrit. l’éclat du jour me fis plisser les yeux. Ainsi on était encore en pleine journée, ça ne faisait donc pas aussi longtemps que je le pensais que j’étais la ! il me vint la pensée qu'à ce rythme la semaine allait être longue...
- ah, ça pue la pisse, merde
Il y eu un léger règlement de compte entre Jean et Alain, le premier reprochant au second de m’avoir pissé sur les cheveux et mis dans son coffre, que maintenant devra le laver pour que l’odeur parte, que la prochaine fois il n’avait qu’a me mettre dans son propre coffre.
Maître Alain rétorqua que c’était pas compliqué de laver un coffre et que de toute façon ce genre de colis n’allais pas dans le hayon de la R15.
Moi qui ne connaissais rien en voitures sorti des Renault ou autre Peugeot de base j’appris à travers leur engueulade que je me trouvais dans le coffre d’une Audi.
La prise de bec ne dura pas, Alain demanda qu’on me « foute dans la garage ». Je fus extirpé de la voiture et porté par les chevilles et les aisselles, et encore une fois par Jonathan et Bernard.
Ils m’emmenèrent à l’arrière du garage, situé sous la maison. Je reconnu en passant l’escalier que j’avais déjà grimpé, je fus un peu rassuré de voir que j’étais chez Alain. Chez lui, comme pour la plupart des maisons de le région, le sous sol fait toute la superficie et le garage à proprement parlé n’en est qu’une partie. Pour le reste c’est utilisé selon la volonté du propriétaire, souvent les gens y font une cave, une buanderie, un atelier, certain y installe une chambre supplémentaire, d’autre des pièces pour le sport, et il y aussi, comme j’allais l’apprendre, des gens qui font des pièces réservés à des activités moins avouables, dédiés à satisfaire la lubricité et les élans de luxure du propriétaire et de ses invités.
Alain était de ceux la. A sa demande je fus emmené dans un réduit éclairé par une ampoule assez chiche et posé sur « l’établi ». Une table en grosses planches poussée contre l’un des murs. De ce que je pouvais en voir le réduit semblait vide, il n’y avait que cette table en bois brut sur laquelle j'avais été posé. Le bois était abimé, noirci par endroits : pas de doute c’était bien un établi, j’en avais aperçu au garage de ma commune. Apparement aucun outils ne trainaient, il paraissait aussi vide que le reste du réduit.
J’entendis les voitures partir. J’étais inquiet, je n’avais aucune idée de ce qui allait arriver. Bientôt Alain revint avec une bassine fumante et une fiole en plastique
- c’est vrai que tu pues ! je vais te laver les cheveux, je t’enlève le bâillon, ici tu peux crier tout ce que tu voudras, personne ne va t’entendre !
Je ne savais pas comment interpréter sa phrase, mon inquiétude ne passait pas, il était clair qu’ils n’allaient pas se contenter de me baiser, sinon ils l’auraient déjà fait. J’étais vraiment à leur merci. Je me retint de me remettre à pleurer.
Comme promis il m’enleva le bâillon puis me sorti mon slip de la bouche. Il me plaça de manière à ce que ma tête sorte de l’établi, puis me lava doucement les cheveux et le visage, je ne disais rien, ce fut l’un de ses rare moments de gentillesse. Après ça il me libéra de mes liens puis me fit monter à l’étage. Je me rendit compte que j’avais du mal à marcher, probablement l’immobilisation dans le coffre et la position prostrée
Dans le salon, il m’installa sur le ca ...
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