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l'éducation V - Première vente - partie 1

Publié par : eerica le 06/05/2018

J’avais du m’endormir. Je me réveillais en sentant qu’on me tirait les pieds, je voulu bouger mais mes liens m’en empêchèrent . Je retrouvais mes esprits et me souvenais ou j’étais. Je ne voulais pas ouvrir les yeux. La lueur à travers mes paupières m’indiquais que la lumière avait été allumée. On s’affairait autour de moi.

A cet instant j’eus cette sensation d’être une chose. Quoi qu'ils veuillent, je ne pourrai pas résister, mais étrangement j'étais rassuré qu'ils soient là. Ils ne m'avaient pas oublié, laissé me morfondre au fond de cette cave, non, ils étaient là pour moi! cette idée me plaisait. je n’avais plus la possibilité de bouger ni de parler et je ne pouvais dire que ce qu'ils voulaient mais je me sentais déjà excité et je savais que je ferai du mieux possible tout ce qu'ils voudraient. Était il possible que même mes désirs ne m’appartiennent plus?

Mes chevilles furent tirées vers le haut et j’entendis un bruit métallique. J’ouvrais les yeux.
Un crochet avait été passé dans le brin de corde entre mes chevilles et mes poignets. Celui ci était lié par une corde que je suivi du regard. Elle montait au plafond ou elle passait dans un crochet, elle rejoignait ensuite une machine qui devait être un palan. Je ne m’était pas rendu compte de le présence de ce matériel dans le réduit auparavant. Alain actionnait les chaines du palan et le crochet montait. j’allais me retrouver bientôt pendu par les pieds et les mains. Jonathan s’était mis contre moi, il me caressa les cheveux, me disant de ne pas m’inquiéter. Alain s’approcha et enleva doucement le god de mes fesses. Il le huila de nouveau, me le remis et fit deux allés retours, je gémis !
- qu’est ce qu’on dit ?
- merci, merci maître
- Je ne veux pas avoir à le demander à chaque fois pour que tu le dise !
- oui maître.
Finalement il enleva le god et ils sortirent en fermant la porte et me laissant pendouiller, encore excité, au bout de ma corde. La lumière était resté allumé, il allaient probablement revenir sous peu. Mes muscles du cou redevinrent douloureux, je cherchai une position plus confortable pour ma tête, mais je ne pu finalement que la laisser pendre en arrière.

Lorsque la porte se rouvrit je ne parvint pas à voir qui était entré. Quelques pas se firent entendre dans le réduit. Dans la position ou j’étais avec la tête pendant en arrière je ne voyais qu’une partie du sol qui était celle opposée à la porte. plusieurs personnes étaient rentrés, ne odeur de cigare me donna bientôt une idée de l’identité de celui qui était la ! Bernard ! Je fus rassuré, dans mon souvenir il n’avait jamais été cruel ni méchant avec moi. Les pas reprirent, une paire de chaussure marron impeccablement ciré venait d’entrer dans mon champ de vision. Au dessus un pantalon gris qui laissait imaginer que l’individu était vêtu avec soin. L’odeur de cigare était le seul point commun avec Bernard. Pour le reste l’homme était un inconnu. Un cinquième ami qu’ils auraient invité pour profiter de moi ?

Il continuait à marcher en tournant autour de moi, il ne disait rien. je senti sa main chaude passer à l’intérieur de mes cuisses, puis sur ma poitrine, il me pinça fortement le téton, je gémissais, je sentis une caresse sur mes cheveux puis la main remonta le long de mes bras. Il me fit tourner, ce qui déplaça mon champ de vision. Je voyais maintenant la porte du réduit et deux paires de jambes. Mon maître dont je reconnu le jean et les chaussures de ville qui se tenait appuyé dos au mur et Jonathan avec son pantalon noir, jambes croisés dans l’encadrement de la porte. Ce pantalon que j’avais eu tant de mal à délacer dans le voiture en début d’après midi. En y repensant je me rendis compte, qu’ignorant combien de temps j’avais dormis, je ne savais même pas si le jour était déjà levé ou si on était encore le soir du lundi.

L’homme continuait sur moi son inspection, un peu comme on achète un animal, sous le regard silencieux d’Alain et de Jonathan.
Sa voix rauque se fit entendre
- Vous êtes sur qu’elle est bien dressée ? je crois savoir que vous ne l’avez pas depuis longtemps !
- Effectivement, mais ça c'est une salope de choix ! D’ailleurs si vous en voulez une démonstration...
- Non !

L’homme caressa mon cul de sa main chaude, je me mis à gémir doucement. Il me fit tourner une nouvelle fois, attrapa ma tête par les cheveux et la leva. Je le découvrit alors. Costaud, il portait un complet gris sur un polo noir à col montant, des yeux noirs derrière des lunettes à écaille, de sourcils épais et une barbe fourni et le cigare vissé dans la bouche.
Je fis mon possible pour paraître docile, je gardais les lèvres ouverte. Elles étaient sèches depuis que j’avais dormi, j’y passais ma langue. Il tira sur son cigare et souffla doucement la fumée sur mon visage ce qui me piqua les yeux et la gorge et me fis tousser. Comme il ne me lâchait pas, je fis le maximum pour rouvrir la bouche et réumidifier mes lèvres, j’eu plus de mal à rouvrir les yeux qui me piquaient et je dus cligner des paupières plusieurs fois, je sentis qu’une larme s’était échappée. L’homme avait remis son cigare dans sa bouche, je m’attendais à ce qu’il recommence.
- Elle se réveille, elle est maladroite mais ça va venir dit Alain à l’encontre de l’homme.
- Non. En ce qui me concerne elle est parfaite. Je prend !
Disant cela il caressait ma joue. Il la tapota doucement puis relâcha lentement sa prise accompagnant ma tête pour ne pas qu’elle tombe, ce compliment et ces attentions me comblèrent je du me mordre la lèvre pour ne ...

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