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L'éducation V - Première vente, partie 2

Publié par : eerica le 18/06/2018

Jonathan me tira dehors, il faisait nuit et l’air était froid, je grelottais derrière lui, Alain nous suivait. Arrivé à la R15, Il me fit allonger sur le tapis de sol entre les sièges avant et arrière. Quand ce fut fait un me jeta une couverture par dessus. J’entendis Alain maugréer contre Jean qui était reparti, les privant de l’audi. Je comprenais qu’ils avait l’habitude d’utiliser le grand coffre de la trois volumes de Jean pour transporter leurs esclaves sexuels. Ce qui me laissait penser que je n’était pas le premier ni le dernier à passer par la.

Nous partîmes, la route ne fut pas longue. Après à peine.10 minutes la voiture s’immobilisait. j’entendis des voix, la portière s’ouvrit et la couverture s’enleva. Jonathan s’étais accroupi devant moi et tirait la laisse, il claqua de la langue, effectivement, je n’avais pas d’autre choix que de sortir à quatre pattes la voiture. Arrivé à lui il me caressa la tête en riant, et me dit de me lever et me jeta la couverture sur les épaules. J’étais devant une grande demeure, une porte était éclairé devant nous vers laquelle Jonathan me tirai déjà. J’entrais. Toujours tiré par Jonathan. Nous suivîmes en silence un couloir. Les échos éloignés, de voix et de rire nous parvenaient. Quelque par des gens faisaient la fête ! Il y eu d’autre couloirs tous déserts, je ne doutais pas que la couverture avait été jeté sur mes épaule, non pour me protéger du froid, mais dans le cas d’une rencontre inattendu. Nous devions nous rapprocher du lieu de la fête car les bruits s’intensifiaient, Alain passa devant, je sentais qu’il était nerveux, vérifiant les couloirs, faisant signe à Jonathan qu’on pouvais avancer. A un moment on passa devant les portes battantes de ce qui me sembla être une cuisine.

Puis Alain ouvrit doucement la première porte à droite passa la tête et fit signe de rentrer. La pièce semblait être une réserve. Carrée, sol en béton, avec des étagères encombrés de cartons sur le pourtour et une roulante métallique laissée au milieu. Alain trouva un balai et le passa dans la poignée de la porte de manière à ce que personne ne rentre. La couverture me fut enlevée, et ils me firent allonger sur la roulante en travers et sur le ventre. Le contact avec le métal froid me fit frissonner. Alain sorti des cordes d'un sac qu’il avait emmené.

Il tourna une corde plusieurs fois autour de ma cheville droite et tira sur le droite, passa la corde par le coté du chariot et vint et attacher l'autre extrémité à mon poignet droit. La même traitement fut appliqué ç gauche si bien que je me retrouvais sur la servante; bras et jambes écartés sans toucher le sol. La tête d’un coté du chariot de le cul écarté et offert de l’autre.

J’étais excité, je me retenais de gémir. Je sentis une main me caresser les fesses, des doigts effleurèrent mon anus. Je gémis.
- C'est bien, tu vas être sage, tu vas bien répondre aux hommes, tu vas leur montrer que t'es gentil et que t'aime être baisé! ok?
- Oui maitre.
- T'as interêt! parce que c'est ma réputation qui est en jeu! c'est moi qui t'ai dressé et je veux que me putes plaisent. Alors si j'ai une moindre remarque désagréable sur toi, je vais te la faire regretter. Compris!
- Oui maitre.
Je me sentais un véritable objet sexuel, offert, vulnérable. J'avais peur, mais j'avais bien l'intention de plaire et je trouvais la mise en garde de maitre pierre superflue.
Ils sur jetèrent de nouveau la couverture sur moi et je fus roulé dans le couloir. Après avoir bifurqué deux fois nous arrivons dans une pièce éclairé. La lumière filtrai à travers la couverture. J'aperçus un sol carrelé noir et blanc puis un plancher. Je devinais une grande pièce. La roulante s'arreta. J'entendis Jonathan me dire de ne surtout pas faire de bruit. Remarque superflu, il n’a sans doute pas remarqué que depuis que je suis sorti de mon réduit je n’ai pas émis un seul gémissement.
La couverture fut enlevée. L’homme qui est venu au réduit est devant moi. Je suis à la fois content et rassuré. A coté de moi je distingue le montant en pierre de ce qui doit être une cheminé, mais je suis tourné vers le mur je ne vois pas le reste de la pièce.

L'homme me carresse les cheveux d'un geste protecteur.
- Voilà, elle est prête à vous plaire – dit Alain à voix basse.
- Oui, j'en suis sur ! - dit l’homme ironique.
Je le vois tourner les talons et quelqu’un me met un bandeau devant les yeux. Noir total. L’inquiétude me reprend. J'entend qu'on pose des objets sur le plateau inférieur de la roulante, juste sous moi, j'entend aussi Alain qui m’ordonne d’ouvrir le bouche. Quand je m'exécute un bâillon est passé entre mes dents, je sens mes lèvres tiraillés sur les cotés. Puis les pas s’éloignent, je n’entends plus que le bruit sourd de le fête.

Quelque instant plus tard j’ai l’impression que le bruit est plus net, je comprend que la porte de la pièce est. Effectivement il y à des bruits de pas dans le salon ou je me trouve, des conversations, des rires, Je distingue de temps en temps la voix rauque du grand barbu à lunette. Il y à des bruits de verre, je sens l'odeur du tabac. Je ne peux ni parler ni voir. Nul ne semble faire attention à moi. J’essais de deviner le nombre d’hommes qu’il y à la mais c’est difficile à dire, j’entend plusieurs conversations entremelées, ce qui signifie plusieurs groupes, c'est à dire au moins cinq ou six hommes, peu t’être plus. Sans doute plus. j’aurais la surprise. Je vais vraiment être baisé comme une pute!... je sens l’excitation qui me reprend. Soudain c’est la voix rauque de l’hôte justement qui se fait entendre au dessus des autres. Il leur fera un court discours qui, dans la mesure ou je m’en souviens donnait à peu prés ça :
- Mes amis... - Le brouhaha s’apaise une peu - Mes amis... Mes amis, pour clore cette soirée en beauté, vous vous en doutez, - voix moins forte – oui surtout toi Charles – rires des invités – je vous ai fait apporter un ca ...

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