Je me posais la question depuis pas mal de temps déjà ..
Étais je vraiment attiré le soir par cette image insistante, incrustée malgré moi dans mon esprit d'un sexe tendu à craquer, au gland écarlate et luisant de plaisir, prêt à envoyer gicler sa semence en des jets saccadés et puissants ?
Peu de temps après cette réflexion que je trouvais idiote d'ailleurs, je me trouvais au volant de ma voiture sur un parking désert semblant perdu au milieu de la forêt.
Contemplant l'immensité de verdure tout autour de moi, je ne le vis pas arrivé.
Il se cala, sûr de lui, au niveau de ma portière et fit glisser lentement la fermeture éclair de son bermuda.
Je sentais ma glotte faire des allers-retours tant j'étais à la fois apeuré et excité par ce qui allait se passer.
Glissant sa main par l'ouverture dans le tissu, l'homme, dont je ne voyais toujours pas le visage, en sorti une verge encore molle qu'il laissa pendre le long de sa cuisse.
J'étais subitement fasciné par ce bel appât de chair qui semblait attendre une attention de ma part.
Je fis alors descendre la vitre de mon véhicule et une fois abaissée je tendis la main un peu fébrilement vers cette belle paire de couilles qui semblaient être bien pleines et les soupesais. Ma sensation me confirma qu'une quantité de jute impressionnante stagnait là, attendant juste d'être libérée.
Je pris la hampe du sexe à pleine main et commença à y exercer des pressions douces mais fermes. L'homme n'était pas circoncis et son prépuce cachait le méat urinaire, où j'aurais parié qu'une petite goutte perlait déjà.
Je sentais l'organe se gorger de sang et prendre une texture bien ferme. Je fis alors coulisser ma main en de longs aller-retours, montant jusqu'au gland dont je prenais soin de couvrir le sommet, contournant le prépuce que je décalottais avec une lenteur bien calculée. Mon pouce titilla alors le frein et j'entendis l'homme murmurer ce qui me sembla être des ordres.
J'ouvrais donc la portière pour me retrouver face à face à une tige épaisse et palpitante et au gland devenu presque violacé tant la tension était palpable.
Une main de posa alors avec fermeté et assurance sur ma nuque et guida mes lèvres vers ce morceau de chair ..
Je dûs ouvrir très grand la bouche pour gober ce gland offert et déjà ma langue se montra enveloppante et douce pour y faire frémir ...

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