Mai 2025. Jeudi dernier, j'avais un rendez-vous sur Lyon. Arrivé au train à 9h pour une réunion à 11h, j'ai du temps devant moi. Pour faire un peu d'exercice je décide de me rendre au lieu de rendez-vous en partie en métro puis poursuivre à pied. Même avec ce plan, il me reste un peu de temps à tuer, alors pourquoi pas faire un stop au ciné César, il y aura peut-être une bouche accueillante pour me faire du bien et me soulager.

J'arrive à 9h20 quasiment à l'ouverture. Première surprise, l'accueil est tenu par une jeune femme (d'ordinaire c'est un homme qui s'en charge). Elle explique à un client le fonctionnement de l'établissement (choix du dvd, les cabines, ...). Celui-ci parti momentanément chercher le dvd de ses rêves, je m'avance pour payer mon entrée et me dirige dans l'arrière-boutique. Je connais les lieux mais je fais une reconnaissance rapide pour voir si ce client et moi sommes les seuls présents.

J'entrouvre la porte de la salle de ciné, personne. Je continue plus loin parcours les cabines individuelles les unes après les autres, personne. Les écrans des espaces communs diffusent les vidéos qu'on est en mesure d'attendre, ça couine ici, ça geint là-bas, ça pénètre et suce en grand format sur les écrans, mais dans les couloirs personne.

Je me décide à retourner dans la salle de ciné pour m'y installer et me caresser, je n'ai que peu de temps finalement, à peine une demi-heure devant moi. C'est alors qu'au bout du couloir sombre, arrive lentement une jeune femme, petite et avec de belles rondeurs, cheveux noirs, longs et lisses. On se croise, son pas lent mais pas hésitant me laisse à penser qu'elle aussi fait partie du personnel, je me dis qu'elle va ranger ses affaires dans un casier quelque part (elle porte un sac à main).

Je me retourne pour la voir s'éloigner dans le couloir puis s'engager vers les cabines. Dans le doute, je fais demi-tour pour m'en approcher et je la vois prendre place dans la seule cabine individuelle qui diffuse en permanence des vidéos, cabine qui peut se verrouiller de l'intérieur et dont une cloison comporte trois glory holes alignés. La porte n'est pas encore fermée. Une conclusion s'impose : cette jeune femme ne fait pas partie du personnel !

Fort de cette conclusion je m'approche et m'avance dans sa cabine. Sur l'écran, une belle blonde est prise en levrette mais la vidéo ne m'intéresse pas. Je pose ma main sur la poitrine de la belle. Elle ne fait aucun geste pour me repousser. Je passe ma main sous son pull pour la caresser sur son soutien-gorge, elle m'aide en soulevant celui-ci pour que j'accède directement à ses seins. Au moins du 95, une belle poitrine, ferme et ronde. Je crois rêver.

Elle me demande de passer derrière la paroi de glory hole. C'est elle qui maîtrise la situation, je m'exécute, sors de sa cabine et entre dans l'espace sombre voisin dans le désir et la certitude de me faire sucer non pas par un homme mais par cette jeune femme (elle doit avoir 30/35 ans).

Prestement, je tombe pantalon et slip, et mets à disposition ma queue à travers le glory hole du milieu. Elle s'en saisit avec douceur, et, toujours avec la même lenteur que sa démarche, elle me branle, avec une main, puis avec ses deux mains. Mon sexe prend du volume, c'est d'une douceur infinie. Un tel talent avec les mains, la caresse buccale s'annonce hors norme ! J'attends avec impatience la chaleur du premier contact avec sa langue et sa bouche. Cette première sensation ressentie lors d'une fellation me fait toujours grimper au ciel. Mais ce moment ne vient pas. Elle ne me prend pas en bouche.

Je regarde par un des autres trous du glory et je vois qu'elle a ôté sa jupe longue, je vois ses deux fesses rebondies, elle porte un string noir. Elle s'approche de la cloison et je peux ainsi lui caresser les fesses, passer ma main entre elles, me glisser dans sa culotte et atteindre sa chatte. De son côté, elle prend soin de ma queue, de ses mains douces elle la maintient dans un état de belle érection.

Alors qu'elle me caresse toujours mon sexe en érection, à ma grande surprise, elle me demande à travers la cloison d'aller chercher un préservatif ! Y aurait-il de la pénétration dans l'air ! Non, non, pas trop vite, me dis-je, redescend sur terre, elle veut simplement te sucer avec capote. Restons lucide.

Je remonte en toute hâte slip et pantalon, et à moitié débraillé, je retourne à la caisse acheter un préservatif puis retourne prendre ma place en espérant ne pas avoir été doublé par quelqu'un d'autre. Je suis rassuré lorsque je vois la porte de sa cabine vidéo ouverte, la jeune femme attend mon retour et regarde pour s'assurer que c'est bien moi qui vais revenir de l'autre côté de la cloison. Habillée en haut et en string pour le bas. Ouf elle m'a réservé la place !

Mon appareil génital est resté au garde à vous, coincé dans mon slip. Je le libère et le pointe de nouveau dans le glory et je tends le préservatif par l'autre trou. Du signe de la main elle me fait comprendre que c'est moi qui dois me le mettre tout seul. Comment refuser ? Obéissant, je m'exécute et présente de nouveau le tout au travers de la paroi en attendant la chaleur de sa bouche ... qui ne viendra jamais !

Je jette un œil de l'autre côté et là c'est la découverte : elle tourne le dos à la cloison et, penchée en avant, elle présente sa chatte face au trou central du glory ! Pas besoin de dessin, le message est clair, je mets ma queue à disposition et c'est elle qui la prend en main pour la guider en elle. Et commence le délicieux va-et-vient qui fait grimper au ciel, le top.

Entretemps, un homme est venu me rejoindre dans l'espa ...

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