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La livraison

Publié par : bimurcirc le 05/06/2024

A l’époque, j’avais 17 ans, un look de petit minet. Pour me faire
un peu d’argent de poche, je livrais des lunettes dans Paris, en
Solex, pour le compte d’un fabricant installé dans le Marais,
pendant les vacances scolaires de Pâques.
Je débutais. C’était le printemps. Un paquet a apporter Quai
Voltaire. Bel immeuble. Je sonne. Un américain d’une
soixantaine d’années ouvre et me fait signe d’entrer. Je lui
remets le paquet, il l’ouvre, essaye les lunettes et repose la
boîte.
Il me dit de le suivre dans le salon, une vaste pièce haute de
plafond avec une vue superbe sur la Seine. Quand il se
retourne, il a sorti une grosse bite molle de son pantalon, non
coupée. « Tu la suces et tu ne le regretteras pas! ». Pas
d’expérience mais le ton ne me laisse pas le loisir de
tergiverser, et je dois garder ce job. Je me mets à genoux. Je la
suce et la pompe jusqu’au bout, sans préliminaire. Il pousse
des gémissements. Il finit par cracher.
Arrive un autre homme, sensiblement du même âge, qui me
présente sa queue à son tour. Elle est circoncise, surmontant
de grosses couilles lisses qui pendent. Il m’oblige à l’enfourner.
Pas le choix. Jusqu’au bout. Une fois vidée, le premier me
donne un billet, me serre la queue au travers de mon pantalon,
me pelote le cul et me met dehors en me redonnant le paquet «
J’ai mis les instructions pour la correction. Ramène les
rapidement ».
Le tout a pris moins d’un quart d’heure. Je me retrouve sur le
palier, du jus qui dégouline de ma bouche, et une trique d’enfer.
J’ai honte et en même temps je suis très excité. C’est la
première fois…Je regarde ce que le mec m’a donné : il ne s’est
pas moqué de moi…je me dis que ça rapporte plus que ce que
me donne le fabricant…je suis devenu une petite pute…
Manifestement c’est ce que cherchaient les deux vieux vicieux :
juste une bouche très jeune, bien fraîche, pour les soulager l’un
devant l’autre. Ils savaient y faire, ont visé juste et sont bien
certains, évidemment, que, dès que je pourrais revenir, je le
ferais et ils en profiteront.
Je poursuivais mes activités de livreur, me demandant à
chaque fois, sur quel scénario j’allais tomber. Mais rien. Rien du
tout. Que de la livraison de lunettes. Sans histoire.
Un peu moins d’une semaine après ma première visite Quai
Voltaire, les branches des lunettes avaient été rectifiées, et j’ai
dû y retourner pour un deuxième essai…dans tous les sens du
terme.
L’angoisse le disputait à l’excitation…je me doutais qu’ils
allaient vouloir à nouveau m’utiliser comme vide couilles…que
faire?…j’opte assez rapidement pour la pute…l’envie de servir
et d’en être très bien récompensé…faute avouée à moitié
pardonnée! Je deviens escort boy, autrement dit vide couilles
rémunéré pour vieux pervers.
Mon rythme cardiaque s’accélère quand je monte ce grand
escalier XVIIIéme et que je sonne.
Le même vieux m’ouvre. Manifestement, il m’attendait. Compte
tenu de la qualité de ces clients, je présume que le bureau les
avait prévenu de ma visite. Habillé seulement d’une chemisette
qui lui arrive au dessus des poils du pubis, sans pantalon, slip
ni chaussures. Rien d’autre. Le décor est planté…je sais à quoi
m’en tenir. Un lacet enserre la base de la hampe de son pénis
ainsi que ses bourses. Ca le fait déjà un peu bander : le noeud
n’est sorti qu’au tiers environ. Je comprends vite que la
première livraison lui a plue et que je vais servir…A la vérité,
toute honte bue, je n’avais guère de doute.
Dans cette tenue, d’un air tout a fait naturel, il essaye les deux
paires de lunettes, se poste devant un miroir en pied, se touche
le paquet assez longtemps pour que son gland sorte
davantage, me mate l’entrejambe dans la glace en se passant
la langue sur les lèvres, repose les lunettes dans le coffret et
griffonne un mot.
Son manège ne m’a pas laissé tout a fait indifférent : je n’en ai
pas perdu une miette et je sens mon dard qui s’est raidi. Mes
burnes sont pleines. Évidemment, il a remarqué la bosse de
mon jean. Il la prend a pleine main, la serre, et m’oblige ainsi à
le suivre dans la même pièce que la dernière fois.
J’aperçois alors son ami, l’autre vieux vicieux, affalé dans un
fauteuil profond, complètement nu, les cuisses écartées, les
couilles coincées entre le coussin du fauteuil et sa pine molle
mais épaisse.
Je commence à m’inquiéter. Mais cette inquiétude est très
fortement teintée d’excitation. Je n’ai jamais eu de relation avec
des hommes, sauf des sucettes bien sur. Je me tape des filles
avec grand plaisir : un con bien serré, des petits seins pointus,
des cris de gazelle effarouchée quand on parvient à les
enculer... L’idée qu’elles m’imaginent dans cette équipage me
terrorise…
Le premier des deux vieux dispose un fauteuil
perpendiculairement à celui de son ami et s’y installe, jambes
grandes ouvertes. « A poil et à genoux, vite! Mains dans le
dos! » l’ordre claque. Je m’exécute comme la bonne petite
salope que je suis devenue. Je bande. Il en rit en en faisant la
remarque « Look at that silly little bitch! Who would have
imagine such a slut… Good boy…Already a good hard cock
with nice balls…Let’s have fun! ».
Je suis donc à genoux et je comprends que je ne dois me servir
que de ma bouche et de ma langue pour attraper le morceau
auquel je fais face. Le deuxième papy ne peut en perdre une
miette puisqu’il m’a plein cadre, de profil, ma langue cherchant
le noeud de son copain, ma bite dressée, mes mains dans le
dos, mon cul reposant sur mes talons.
Je lappe, j’aspire, je suce. Je m’aventure à lécher les grosses
valseuses. Ca le fait couiner. J’aperçois son copain qui s’agite
et se touche. « Come on, baby boy, make him hard! He
deserves it! ». Pour m’obliger à le pomper à son rythme, il me
donne régulièrement de petits coups de pied dans les
couilles…ca me rappelle instantanément à l’ordre…L’autre s’en
amuse…et s’astique encore davantage. « Yeah! You gonna
have mine too, don’t worry! »
Je m’applique. Mes boules me font mal tellement je trique. J’ai
peur de gicler et d’en mettre partout. Quelle serait la punition?
Je peux tout craindre…Mais mon rôle d’escort me plait de plus
en plus. Je suis un vide couilles, et payé pour ça. L’idée est
super excitante. On achète ma bouche pour téter des bites…le
pied!
Le premier a le mandrin qui est dur maintenant, le noeud
totalement sorti. Je mets le bout de la langue dans le petit
trou…il gicle instantanément! J’en ai partout! « Salope! Good
slut, you made it! ».
Il a à peine fini de cracher sa sauce que l’autre se rappelle a
moi : « Viens ici à 4 pattes, comme une bonne petite chienne
que tu es! ...

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