Contexte : bonjour lecteur, ceci est la suite du texte n°2, qu’il te faut lire pour comprendre quelque chose. Je t’en prie, fais ce petit effort pour Armand ton serviteur qui se donne tant de peine car si tu ne le fais pas, à coup sûr tu ne comprendras rien.
Voilà, tu viens de lire le texte 2, je t’ai laissé le temps et tu es revenu. Je continue mon récit.
Tu n’as pas lu ? D’accord, je suis bon prince. Dans le dernier épisode, Armand se plaît à vivre par avance ce qu’il va se passer lors de leur rencontre. Il s’attend à subir une épreuve délicate pour lui. Voici le résumé de la rencontre entre Cyril et Armand, ainsi que le résultat de l’épreuve.
Oh mon lecteur, je te vois d’ici, aller comme un enfant fébrile tout à la fin du bouquin pour en connaître la chute, savoir si le héros sera toujours là pour embrasser la princesse. Puis en reprendre, rassuré, une lecture plus sereine. Entre nous, je connais des adultes de mon entourage qui font ça. Mais je m’égare et je ne vais pas être vache, je vais tout de suite t’avouer que je n’ai pas réussi l’épreuve.
Pourquoi donc?? Tout partait si bien ! Qu’elle histoire de merde !! éructes-tu, lecteur déçu, prêt à tout laisser tomber et reporter ton attention sur quelques fiches bien salaces du site. Ton doigt vengeur s’agite sur la souris, le 0 pointé bien mérité va sanctionner cette lamentable histoire. Stooop gentil lecteur. Il s’avère que je ne l’ai tout simplement pas passée, cette épreuve. Et toutes les Chloé du monde n’auraient rien pu changer à cela. J’en suis le premier contrit.
Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais dis-toi tout simplement qu’une comète est tombée sur le lieu prévu pour nos ébats, à Cyril et à moi. Et que malgré tous nos efforts, aucun autre endroit ne s’est présenté à nos esprits déçus. L’imagination sur ce coup nous a abandonné. J’ai bien proposé à Cyril de le satisfaire avec ma bouche, là, illico dans sa voiture, mais il a refusé. Bien sûr il attendait plus de moi, et moi-même j’attendais plus de notre rencontre. J’étais pomponné comme un caniche à sa mémère, sous mes habits bien-sûr, et je trouvais que le destin récompensait bien mal mes efforts de la matinée.
Nous sommes remontés en voiture tête basse, et nous avons roulé un peu. Ma main posée sur sa cuisse, glissait par moment jusqu’à son entre-jambe, frôlant à travers le pantalon son sexe gonflé. Pourtant il restait impassible, s’énervant par moment sur un conducteur qui ne roulait pas assez vite. Je savais que rien ne pourrait le distraire de son agacement. Je me suis fait tout petit sur mon siège, Cyril m’a déposé à proximité de mon domicile. Je suis rentré chez moi. J’ai su par la suite qu’il s’était arrêté pour aller boire un verre, et se changer les idées.
Alors pour toi, lecteur avisé, et parce que j’aime raconter des histoires même s’il n’y a que moi qui les lis, je vais te dire ce qu’il s’est passé en arrivant à la maison. Car aussitôt après être rentré chez moi, j’ai baissé les persiennes, je me suis déshabillé, je me suis allongé sur le lit et j’ai fermé les yeux. Entre rêve et réalité, le récit se poursuit.
Inexorablement la porte s’ouvrit sur la chambre à coucher. J’attendais depuis un moment l’arrivée de Cyril. J’étais nu, étendu sur le lit, seule la pénombre de la pièce protégeait ma pudeur. Cyril referma la porte, ses yeux bleus braqués sur moi, légèrement plissés pour s’habituer à l’obscurité. Je me suis dit que mon corps blanchâtre devait particulièrement ressortir sur le dessus de lit sombre. Cette idée saugrenue disparue, j’épiais les gestes de mon maître.
Cyril posa négligemment sa veste sur le dossier de la chaise du bureau, et ôta sa cravate. Il resta ainsi, habillé d’un pantalon de flanelle et d’une chemise bleu pâle. Il avait amené une sorte de valise de forme allongée et rectangulaire qui m’intrigua immédiatement. J’ai pensé à un instrument de musique, un peu plus grand qu’un étui de flûte traversière, mais surtout plus long. Cyril posa cette valise au pied de la chaise, et il s’approcha de moi. J’étais certain que l’objet qui se trouvait à l’intérieur me fascinerait. Pourtant, telle une pensée fugace, l’objet quitta mon esprit.
Dès que Cyril se mis en mouvement vers moi, je pris aussitôt une position à 4 pattes sur le lit, face à lui. Le « mode Chloé » avait déjà envahi tout mon être. Cyril eut l’air heureux de me voir ainsi, à sa merci. Il flatta mon épaule de sa main, caressant négligemment mon dos. Sa main était froide, je frissonnais un peu. A l’instar d’un animal en chaleur je cambrais ostensiblement mes fesses en guise d’allégeance. Je savais que cette position de soumission lui plaisait. Nous n’avions pas prononcé un mot. Il approcha encore, ma tête se retrouva au niveau de son sexe. Je me mis à genoux sa main toujours posée sur moi, dans un geste protecteur et dominateur. J’ouvris la braguette de son pantalon sans défaire sa ceinture. Ma main glissa d’elle-même à l’intérieur du vêtement, malaxant doucement ses attributs masculins à travers l’étoffe du boxer. Cyril fit de petits mouvements circulaires avec son bassin, ses testicules roulaient entre mes doigts, j’accentuais ma pression. Je sentis sa main se crisper un peu sur mon épaule. Je me fis plus doux. Mon visage se trouvait très près de son sexe, je pouvais sentir son odeur de mâle pénétrer mes narines. Mécaniqu ...
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