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La Pute Blanche

Publié par : missboobs le 23/06/2024

En voyage professionnel en Afrique du Sud, je devais faire signer un contrat à un client qui connaissait nos tropismes candaulistes par une relation commune qui en avait bénéficié…

Nous étions à Singa Lodge, non loin de Port Elisabeth.

Ma femme, N., avait été prévenue de l’importance de la transaction. Elle était donc du voyage et devait m’aider à la conclure, ce qu’elle avait tout à fait accepté, se doutant néanmoins de ce que cela signifiait…

Nous touchions au but. Pour parvenir à une conclusion, ayant été informé des goûts de mon client, j’avais donc décidé d’exposer la Laitière dans sa plénitude... A cette époque de l’année, l’hôtel - accueillant - ne recevait que de riches autochtones le plus souvent accompagnés de leurs « nièces »... Très peu nombreux d’ailleurs.

La signature en vue, N. fut donc contrainte de rester exhibée, offerte, dans une partie particulièrement discrète de l’ensemble des bâtiments, et ce même si des habitants de l’hôtel étaient amenés par hasard à la découvrir. Qu’ils voient ses seins lourds, ses grandes aréoles brunes, ses gros bourgeons bien durs, sa chatte lisse, son con poussé en avant par le nœud de l’arbre. Mon client était propriétaire de ce superbe endroit, discret, en pleine nature, éloigné de la civilisation et c’est lui qui avait exigé cette exposition, pensant que, compte tenu de la typologie de la clientèle, ne pouvait que la satisfaire…

J’attendais avec impatience de voir les réactions d’éventuels visiteurs. Seraient-ils étonnés, choqués, amusés ? Y en aurait-il de plus délurés que d’autres ?

Le premier - et en fait le seul - a été un jeune blanc de moins de trente ans, un employé administratif chargé de me présenter la version finale du document contractuel à signer. Je le voyais rougir jusqu’à la racine des cheveux. Le sang lui montait manifestement à la tête, et une bosse conséquente se dessinait sous son pantalon.

Tout au long de l’entretien, il était gêné, jetait des coups d’œil furtifs vers la belle femelle : une bourge blanche à gros nibards, totalement à poil et à disposition dans cette région d’Afrique, c’était pour le moins inhabituel… A la fin, je lui dis :

- Vas-y ! Va la lécher ! Allez ! Vas-y ! Bouffe-lui la fente ! Saisis ta chance !

Timidement, il se leva, alla vers N., se mit presque furtivement à genoux, et commença à lui lécher la moule d’une petite langue timide.

- Lèche-là, cette pute, bon dieu ! Fais pas ton timide ! Prépare-la ! Elle va en avoir besoin !

Légèrement exaspéré, je ne pouvais m’empêcher de le pousser par la nuque, lui enfonçant le nez dans la fente glabre. Il s’agrippa alors aux cuisses et entrepris de brouter la connasse avec vigueur, arrachant à ma catin ses premiers gémissements de plaisir.

- C’est bien ! Continue ! Fais la mouiller cette chienne !

Pendant que le jeune s’enhardissait, dardant sa langue plus profondément, aspirant les limaces lisses et gonflées, le bouton dur, mordillant la chagatte, je m’installais confortablement dans mon fauteuil pour jouir du spectacle, libérant ma pine qui commençait à se sentir bien à l’étroit. J’entrepris de la caresser.

- Ah ! Mes petites salopes ! Vous m’excitez ! Tu aimes te faire lécher, putain ! Dis- le ! Dis-le que tu es une chienne en chaleur !

La garce, entre deux gémissements, se tortillait du fion pour échapper au plaisir, puis le recherchait ensuite en le projetant en avant contre la face de son adorateur du moment, d’une voix hachée et le souffle court :

- Je suis ta putain...J’aime être ta putain, ta chienne en chaleur ! Fais ce que tu veux de moi ! Donne-moi ! Je suis à toi !

Sa tête dodelinait. Je la rappelais à l’ordre chaque fois que ses mains abandonnaient la position imposée.

Arriva alors mon «ami» Louis, autrement dit mon client, incidemment également le patron du jeune homme. D’un coup d’œil, il apprécia la situation.

- Je vois que les dossiers avancent bien ! Non, ne te dérange pas ! Je peux ?

dit-il en désignant la putasse du menton.

- Bien sûr! Elle est là pour ça!

Il s’approcha.

- Alors, c’est toi la salope dont on m’a parlé... Pas mal... Il paraît que tu es bonne sous l’homme, faudra me le prouver.

Il laissa ses mains courir sur les pis de N., soupesant et caressant les nichons de la paume de la main comme un maquignon appréciant la qualité de la marchandise, excitant les tétons déjà érigés mais qui se durcissaient encore plus.

- Tu es une vraie salope, dis-donc.

Cette trainée frémissait déjà sous les caresses autant que sous les mots.

- Avec une vraie laiterie. J’aime les loches de ta truie. C’est du lourd. Ça a déjà bien servi, manifestement. Je vais te les caresser, tes boîtes à lait, la bourgeoise. Ce soir, ce n’est pas du lait, mais du beurre que tu auras dedans.

Ses mains saisissaient maintenant fermement les doudounes de ma femme, tandis qu’il fermait les yeux pour mieux l’apprécier.

- Je sais qui tu es... Tu es une vraie bourgeoise... Tu fais la fière dans les rues de ta ville... Mais tu n’es qu’une femelle en chaleur... Ce que tu aimes, c’est la bite, la queue, la pine ; te vautrer dans le sexe, être traitée comme la roulure que tu es... Si tes élèves te voyaient, offerte comme une putain...

A l’évocation de sa profession, elle avait tressaillie... L’œil lubrique, amusé, ironique, il continua.

- Oui, je sais aussi cela...

Ses doigts avaient saisi les bouts des airbags et les remontaient vers le visage, défiant les lois de la pesanteur.

- Tu es une prof... Et ce soir, la prof, je vais l’enculer, et je vais l’enculer à sec : tu penseras à tes élèves, car c’est aussi pour eux que je t’enculerai... À sec ! Pour que tu gueules !

Toujours en place, le jeune homme entre les cuisses de ma femme n’en pouvait plus. Il était clair qu’il ne pouvait prétendre à la monter, du moins pas tout de suite. Il l’avait compris ; aussi, il se contenta de sortir son dard de son pantalon qui n’en pouvait plus : après quelques va-et-vient, il cracha sa liqueur par terre entre les pieds de la Laitière.

- C’est bien ! lui dis-je. Ne t’en fais pas, ma gagneuse léchera plus tard. Elle aime tellement le foutre qu’elle le lécherait n’importe où pour ne pas en perdre une goutte. Tu peux rester regarder. N’est-ce pas, Louis ?

- Bien sûr, il faut qu’il apprenne comment on dresse ce genre de femelle.

Comme le jeune homme s’apprêtait à rentrer coquette au berceau, Louis l’arrêta :

- Non, laisse-la dehors... Elle sera plus à l’aise. Et cette salope sera contente de voir l’effet qu’elle provoque... 

- Tiens, fais comme moi.

lui dis-je, me mettant totalement à poil dans mon fauteuil et l’invitant à s’astiquer
devant le spectacle...

Louis pelotait maintenant fermement les bouées de ma grue, ses doigts laissant des traces blanches lorsqu’ils quittaient leurs proies. Je l’entendais grogner de contentement sous les raidissements du corps de la femelle qui s’agrippait plus fortement à l’arbre, comme pour s’interdire d’échapper à son bourreau. Car, après s’être amusé à monter les pointes des loches au plus haut et les laisser retomber, après les avoir pincées et tordues, il giflait maintenant vigoureusement les grosses mamelles bien lourdes.

Il me semblait que ma queue allait exploser. Entre deux petits cris de la Laitière, je réussis à accrocher son regard.

- Regarde, ma belle, regarde...Regarde ton mari qui se tape sur la colonne pendant qu’il te donne. Pendant qu’il te fait tapiner. Savoure ce calice jusqu’à la lie ; pense à ta famille, tes collègues, tes élèves, tes amies. Quand tu les reverras, tu penseras à ces instants. A ces mandrins dressés pour toi, à ton corps qui trahit ta condition, qui veut s’ouvrir, se donner, se faire fouiller, saillir, salir, boire du jus, du foutre par tous les trous...

A la vue de ma main astiquant mon jonc, je devinais un début de sourire, vite mué en une grimace sous le coup de dent de Louis qui venait de mordre la cerise gauche et entreprenait de l’écraser progressivement mais sûrement, conforté par les tressaillements de douleur qui irradiaient le corps de la pute et les râles rauques qui s’ensuivaient.

La grondace tenait bon la position, ne se dérobait pas, s’offrant plus encore en avant, peut- être. Jouant un jeu du défi qu’elle savait perdu d’avance.

Ses tétasses lourdes devenaient légères, aériennes sous les claques qui avaient reprises. Puis elles devinrent soumises lorsque Louis les frappa de haut en bas, les giflant du revers de la main, les dernières phalanges venant claquer sur les tétines maintenant gonflées comme autant de lanières de fouet ou encore du plat de la main, chauffant toute la face supérieure.

Louis commençait également à ne plus tenir. Il arrêta la séance de claques, se mit en position, dégagea sa seringue de son écrin avant de l’enfermer dans sa capote, en en positionnant la tête contre le trou de la Laitière après l’avoir fait glisser de haut en bas et de bas en haut, puis de haut en bas encore entre les escalopes pendouillantes, humides et gonflées.

Il marqua un léger temps d’arrêt, comme un virtuose ménageant ses effets, ...

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