Départ pour la côte il y a quelques semaines, je suis seul pour partir faire des travaux. En entrant sur l'autoroute, mon fidèle serviteur automobile me demande: "Où désires tu te rendre?"

A ce moment là j'avais un retour de mémoire à propos d'un beau gland luisant, brillant de désir, perlant d'envie muqueuse et tendu sous ma langue au Glory Hole des Amazones, je bandais déjà fort et dur à ce souvenir!
"Le California Rennes" lui répondis-je avec un petit tremblement dans la voix. "175 kms dans 90 minutes" ok, en conduite automatique, la queue dure sous ma braguette, lecteur de lignes de circulation et radar de distance, le cœur tapant plus fort, je pouvais m'échapper dans mes fantasmes les plus fous sachant que dans 2h je pourrai les réaliser.

Je baissais ma braguette et libérais ma queue qui perlait de désir, un doigt pour prendre le mucus et le gouter....hummmm vivement le labyrinthe!

Pendant ces deux heures je mimais une belle pipe, je caressais ma queue lisse, rasée de frais, je me doigtais l'anus pour m'exciter, Titine me conduisait en confiance.

Je ne sais pas pourquoi, ce fantasme d'un inconnu grimpé sur un escabeau dont je viens effleurer les fesses de ma joue puis dégoupiller sa grosse queue pour bien la bouffer, lui sucer les couilles à pleine bouche puis lui masturber le trou avec mes doigts enduits de son sperme m'a gardé bien dur jusqu'à l'arrivée au sauna.

C'était mon premier voyage dans la chaleur californienne, à l'accueil un grand métisse en petit short moulé faisant salopette à une bretelle me guide, m'accueille, m'effleure! Il avait un regard de feu, on dirait qu'il avait compris qu'il fallait sortir l'escabeau du placard.

A poil rapidement, la serviette nouée à la ceinture et la queue bien dure sortant par la fente, je me dirige vers la douche puis je rentre timidement au sauna. Au fond, assis sur la seconde marche un beau gosse se caressait doucement les couilles en racontant sa vie à un vieil éphèbe assis à distance. Il me faisait bander encore plus le perché!
Je me suis approché tout doucement, ne voulant pas prendre un coup de râteau, j'avais compris qu'il devait aller travailler sous peu et me suis dit qu'une bonne pipe allait le détendre avant sa réunion de travail. J'ai accompagné sa main de légers baisers, de petits coups de langue sur l'intérieur des cuisses, là où la peau est si douce! Il était lisse, une peau très fine sans ride , de belles couilles comme des abricots et une magnifique veine qui partait en sinuosités vers son gland violet de sang.

Quand j'ai commencé à lui lécher le frein, il s'est relâché, détendu et abandonné sauf de la bite. Je soufflais un courant d'air bien chaud sur les couilles et lui massais l'intérieur des cuisses. Il s'est allongé, le ventre offert et la queue remplie de sang. Elle était de bonne taille, il décalottait facilement me permettant de lui lécher la couronne du gland et le frein pour le faire gémir.
Il a craché assez vite sa semence épaisse au fond de ma gorge, quelques jets bien gouteux pendant qu'il tenait ma tête prisonnière. J'ai avalé ce bon jus comme un bon gros soumis, je lui ai nettoyé la fente d'un dernier coup de langue et il a disparu sans un mot.

Ca faisait pas 10 minutes que j'étais arrivé que j'avais eu mon premier jet!
Alors un tour à la piscine, apparemment personne, j'étais seul et me doigtait bien le cul pour ne pas jouir de suite! Pourquoi n'avais je pas emmené mon petit gode de voiture discret et joufflu!!! Je n'avais pas regardé partout, dans un recoin une jeune lope se branlait doucement en me regardant faire. Il devait être très excité car sa queue était turgescente dans la lumière violette. Il dandinait du cul dont le trou n'était pas marqué par des années de pilonnages. C'était un genre d'étoile brune dont chacun des plis menait à la muqueuse.
Je l'ai posé au bord de la marge, et lui ai dégusté le cul, les boules et la queue, il bandait fort, très dur, son gland sautait sur mes lèvres et son corps agité faisait autant de tourbillons que la machine à jet d'air!
Je l'ai retourné, à genoux, son cul en offrande, je l'ai lubrifié de ma salive et de gel, et je l'ai limé quelques minutes, il criait ses encore à chaque fois que je tapais mon ventre sur ses fesses musclées, il m'encourageait de "vas-y défonce moi le cul", il se branlait fort, nous le branlions de nos deux mains, je sentais bien sa couronne qui cédait à chaque fois que mon gland rentrait dans son fondement!
Il a joui fort, malheureusement dans l'eau, je me suis retiré doucement, lui ai léché la rondelle dans un dernier baiser d'adieu. Quel joli coup, petite fiotte accueillante au cul mignon!

Après ces deux coups parfaits, je suis monté dans la salle des tortures! une sorte de cabane bambou avec un écran télé où les coachs nous montrent comment pénétrer dans la joie! Amen.
Encore une queue à sucer, je sais pas vous mais quand je vois une bite qui me plaît, j'peux pas résister! ...

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