Le grand-père de mon copain

Celte histoire se situe en 1970 dans la ville de Rouen, j'avais 20 ans comme mon meilleur ami Hervé avec qui je partageais un petit studio , une chambre, une petite pièce salle à manger,cuisine, salle à vivre et une petite salle de bains.Hervé et moi avions des horaires bien peu superposables,en effet ,j'étudiais les mathématiques et lui fréquentait la faculté de droit. Un jour comme un autre mon ami m'annonça que son grand-père Louis allait lui rendre visite pour une huitaine de jours dans le cadre d'un voyage métropolitain qu'il effectuait comme touriste, un grand-père qu'on allait loger je ne sais comment?
Le lundi suivant le grand-père débarquait vers 19h30 dans notre studio, un homme de 80ans , 1,80m, très costaud et pas vieillard pour un sou , un beau spécimen de la race humaine.
Nous bavardâmes de tout et de rien et allâmes nous coucher de bonne heure car nous avions cours demain matin relativement tôt.nous avions décidé Hervé et moi de loger le grand-père dans la petite chambre et de nous partager le petit divan qui meublait la deuxième pièce.
Le lendemain matin je me levai vers 7h30 et me préparait comme d'habitude pour aller en cours, Hervé était déjà parti en fac de droit, le grand-père devait être dans sa chambre,j'avais fini mes ablutions. et terminé mon petit déjeuner, je me vêtit pour aller à la FAC , je me dirigeais vers la porte pour m'en aller, je traversais le couloir et passais devant la salle de bain, surprenant le grand-père était là en train de se raser devant la glace, entièrement nu de la tête aux pieds, un petit ventre proéminent, des jambes longues interminables, le sexe au dessus du lavabo, tranquille en train de se faire une beauté, il n'esquissât même pas un mouvement de tête quand je passais à hauteur de la porte de la salle de bains, mais moi j'étais perturbé de voir un homme nu de cet âge . En fait je me sentis mal à l'aise, je pris ma casquette et sortis , descendis les deux étages et arrivé devant la porte de l'immeuble, je m'immobilisais puis je fis demi-tour et je remontais les escaliers lentement, cela me parut interminable et j'arrivais enfin au deuxième étage d'où j'étais partit, j'ouvris la porte ,je le refermais en disant un petit , c'est moi Francis, puis je me déshabillais, ôtant ma veste, mon teeshirt,mes tennis, mon pantalon et ma casquette, je restais en slip et je me dirigeais vers la salle de bain comme attiré par une force supérieure, je me présentais devant la salle de bain où le grand-père finissait de se raser, il se passait une eau de toilette et sans même me regarder il me dit:
- je t'attendais.
moi 20 ans et lui 80 , que faisais-je là? J'allais bientôt le savoir.
Il daignât se retourner et me fit un signe pour que je m'approche de lui, il avait un sexe impressionnant qui était en semi bandaison, ce vieil homme m'attirait irrésistiblement, c'était comme magnétique, je marchais dans sa direction jusqu'à le toucher, il me passa une main dans les cheveux et me caressa la tête et d'une pression légère me fit comprendre de m'agenouiller devant lui , il continuait de me caresser le visage, glissa un doigt dans ma bouche que je fus forcé d'ouvrir, il glissa alors son sexe dans ma bouche et me fit comprendre de le sucer, ce qui était une première pour moi, il grossissait dans ma bouche au fur et à mesure que je suçais et qu'il faisait ses allers retours, ma bouche était douloureuse, et la situation dans laquelle je me trouvais m'inspirait beaucoup de respect et de soumission. Il accompagnait le mouvement de succion avec ses deux mains et se branlait maintenant avec ma tête.
Au bout d'une dizaine de minutes il m´attira vers le haut , son sexe m'échappa, il me prit par la main et m'emmena dans la pièce commune, poussa du revers de la main les divers objets et restes du déjeuner sur le côté, avec des gestes doux il me fit me pencher et m'appuyer à plat ventre sur la table, j'obéissais sans réticence aucune, il me plaça les mains devant moi pour que je puisse agripper la table, il fit glisser mon slip sur mes chevilles , et l'ôtât, puis sa main remontât le long des mes mollets, de mes cuisses puis dans la raie des fesses,il m'obligeât à écarter les jambes et ramena mon derrière à lui,me décollant un peu de la table.
Je sentis qu'il me graissait la raie des fesses et l'anus avec certainement un restant de beurre, puis il me malaxa le derrière et enfin je sentis quelque chose de dur qui pointait à l'entrée de mon intimité, j'étais sur le point de me faire enculer par un homme de 80 ans et j'étais résigné tellement j'étais content de le satisfaire puis il insista et je sentis que mon cul était forcé malgré la lubrification , son sexe commençait de rentrer, des larmes me vinrent aux yeux, je me retenais de ne pas crier tellement cela faisait mal, impitoyable Louis me transperçait et m'encula jusqu' à la garde, je hasardais une main pour me rendre compte de la situation, je sentis, ce gros calibre dans mon cul puis les deux boules qui pendaient et touchaient les miennes, j'avais 4 couilles au cul, il enleva ma main et se mit à faire des allers retours dans mes entrailles, il m'enculait de belle manière moi le copain de son petit-fils, cela ne faisait plus mal et je sentais des picotement de bonheur dans mon sexe, il accéléra la cadence et vint taper sur mes fesses très fort,son pubis claquait en rythme, ses mains serraient mes hanches comme une brute , il me balançait de temps en temps quelques claques en parallèle de cet assaut furieux, il entra en transe et le dernier coup de hanche nous fit bouger moi et la table et au plus profond de moi il déversait son sperme, sans terminer sa jouissance pour autant, il râlait de plaisir et resta fiché dans mes reins quelques instants ,il sortit délicatement son sexe de mon cul et je sentis un liquide chaud qui dégoulinait aussi.

Je reçu deux tapes sur les fesses en guise de remerciement et je le vis disparaitre dans sa chambre.
J'allais dans la salle de bains, me lavais ,me rhabillais et filais à la FAC très vite pour attraper mes cours à la volée il était neuf heures je venais de me faire baiser pendant au moins une heure.mais j'étais ravi et perplexe à la fois.

Le soir après les cours je rentrais au studio, Hervé était-là révisant des cours de droit, il me dit:
- je ne sais pas ce que tu as fait à grand-père, mais il ne tarit pas d'éloges en ce qui te concerne.
Louis était dans sa, chambre, évidemment moi je savais pourquoi, il m'aimait bien et même un peu plus.
-il m'a dit qu'il souhaitait te présenter à des amis à lui qui habitent à Rouen, des professeurs qui pourraient t'aider dans tes études.
Je me demandais ...

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