J'avais fait la connaissance du Monsieur sur un site Internet. Nous avions échangé sur nos envies respectives et avions décidé de nous rencontrer afin d'envisager que je devienne le jouet de Monsieur. Monsieur m'avait donné rendez-vous le mercredi suivant. Il était convenu que Monsieur puisse disposer de son jouet à mon domicile, mais pour cette première rencontre, nous devions d'abord faire connaissance en voiture sur un parking dans le coin. Ainsi, il sera facile à Monsieur d'avoir un aperçu de ma volonté de devenir son jouet d'une part et de vérifier la qualité de ma petite marchandise d'autre part avant de s'engager.
C'est pourquoi, en guise témoignage de ma prédisposition à remplir mon rôle, je me devais de porter comme dessous, une petite culotte en dentelle avec mes petites burnes attachées, tel une petite bourse à sperme. Déterminé à ne pas le décevoir, je choisissais de surcroît d'attacher une petite laisse à mes petites précieuses afin que le monsieur puisse, sans même avoir à baisser mon pantalon, les prendre en main dans la voiture en toute discrétion. Je décidais de porter par dessus tout cela, un simple petit short en coton très fin ainsi qu'une petite chemisette, ceci, bien entendu, afin de ne pas entraver toute main baladeuse du Monsieur si tel était son souhait pour tater, de palper, de tripoter la marchandise en voiture avant d'envisager d'aller plus loin.
Le Monsieur m'avait donné rendez-vous à l'extrémité d'un parking d'un petit supermarché, ma voiture garée dos au reste du parking. Je lui avait indiqué le type de ma voiture ainsi que l'immatriculation afin qu'il n'est aucun doute pour me trouver. Je devais l'attendre, la vitre du conducteur grande ouverte tout autant que mes petites cuisses en guise de preuve de soumission.
Quelques minutes après mon arrivée, un monsieur s'approcha de ma portière, jeta un rapide coup d'œil sur mes cuisses. La façon dont je les avait ouverte ne lui laissa aucun doute sur moi.
- "Ouvre moi ta porte passager petite salope, j'arrive"
- "Oui Monsieur".
Le Monsieur prit place à côté de moi. J'étais très intimidé et à part un timide "Bonjour Monsieur", je n'osais rien dire. Je sentis son regard sur moi, puis sur mon entrecuisse. Il y avait la petite laisse qui sortait par l'entrejambe de mon short, l'extrémité posée à côté du levier de vitesse. Il compris et se l'appropria aussitôt. Tout en tirant par de petit coup, il me dit alors:
- "C'est parfait tout ça. Alors, tu es bien sûr que tu as envie de devenir mon joujou pour faire de toi selon mes envies du moment, ma petite salope, ma petite chienne, ma petite écolière, mon petit puceau... ?"
- "Oh oui Monsieur."
Et tout en continuant à tirailler mes petites valseuses...
- "Et j'imagine que tu tiens beaucoup à tes petites burnes ?"
- "Oh oui Monsieur, j'y tiens terriblement et elles sont très très fragiles."
- "Alors il faudra être bien sage et bien obéissant avec moi."
- "Oui Monsieur, je le serai."
-" C'est bien, alors, tu vas tout de suite mettre en pratique tes bonnes intentions. Tu vas discrètement baisser ton petit short, je veux m'assurer que tu as bien respecté mes consignes, je veux que tu me montres ta petite culotte, vérifie que tu es bien une bonne petite salope."
Sans mot dire, je baissais doucement mon petit short à mi-cuisse jusqu'à découvrir intégralement ma petite culotte. Mes petites couilles déplumées et attachées dépassaient de l'entrejambe.
- "T'as pas honte salope de t'exhiber ainsi devant moi."
- "Si Monsieur, mais c'est pas ma faute, c'est vous qui me l'avait demandé!"
- "C'est vrai, mais n'empêche que tu devrais avoir honte. Tu dois être une sacré salope pour oser exhiber ton intimité ainsi devant moi."
- "Oui Monsieur, j'ai très honte, mais c'est pas ma faute, j'en ai trop envie."
- "Ecoute, tout cela me va parfaitement et si toi aussi, j'aimerai bien continuer chez toi."
- "Oui Monsieur, j'habite pas très loin, vous n'avez qu'à me suivre."
- "D'accord, c'est parfait. Par contre, tu gardes ton petit short baissé sur la route, je veux que tu n'aies de cesse de penser à moi le temps du chemin."
- "Bien Monsieur."
- "Tu pourras le remonter uniquement arrivé chez toi pour descendre de voiture."
- "Bien Monsieur."
Moins de 5 minutes plus tard, je garais ma voiture dans le jardin. Le Monsieur avait garé la sienne dans la rue, un petit peu plus loin par soucis de discrétion. Je l'attendais, l'extrémité de ma laisse dans la poche, au portillon. Nous rentrâmes dans la maison et je m'immobilisais dans l'entrée. Le Monsieur ouvrit ma chemisette, glissa sa main et caressa un instant mon torse.
- "Un torse de petit puceau, pas un poil, tout lisse. Je pense que je viendrai y frotter mon gros sexe de temps en temps et je viendrai même le souiller avec ma semence toute chaude parfois."
Puis sa main descendit plus bas. Il fit glisser mon short jusqu'à mes pieds.
- "Enlève le, je te veux en salope."
Je finissais de m'en débarrasser aussitôt.
Le Monsieur caressa mon sexe à travers ma petite culotte de salope, puis mon petit cul.
- "T'es mignonne comme ça tu sais. Mais tu devrais avoir honte de porter des petites culottes de fille."
- "Mais j'ai très honte monsieur."
- "Alors pourquoi le fais tu salope ?"
- "Parce que j'ai ma petite queue qui me chatouille beaucoup et je sais que si je veux que vous me soulagiez, je dois être bien sage."
- "Plus crûment, tu dirais quoi de toi ?"
- "Que je suis une vraie petite salope ?"
- "Oui mieux que ça encore..."
- "Une vraie petite chienne en chaleur ?"
- "Hum... c'est bien vrai ça semble-t-il."
Le Monsieur attrapa alors l'extrémité de la laisse.
- "A présent, tu vas me présenter ta maison afin que je sois à l'aise, que je n'ai pas à te demander toutes les 5 minutes, que je me sentes un peu chez moi si tu veux bien."
- "Oui bien sur Monsieur."
Et tout en faisant le tour de la maison, je lui décrivais chaque pièce, le salon, les particularité de la table basse du salon, la salle à manger et les particularité de la table, la cuisine, la salle de bain, les WC, la chambre. A chaque fois, je lui expliquais les particularités du mobilier et accessoire qui pourrait lui être utile à ma prise en main.
Nous étions revenu dans le salon. Le monsieur baissa doucement à mi-cuisse ma petite culotte de salope pour découvrir mon intimité.
- "Voilà donc mon nouveau jouet."
- "Oui Monsieur."
Il me tripota quelques instants, s'amusa à soupeser mes petites burnes, les ballotta en tout sens, mais toujours avec délicatesse, juste ce qu'il faut pour me faire ressentir toute la fragilité de mon être et toute l'obéissance que je lui devais. Ensuite, il s'installa confortablement dans le canapé et m'ordonna de lui servir un café. Il avait coincé l'extrémité de ma laisse dans l'élastique de ma culotte que j'avais du garder à mi cuisse. J'étais ainsi indisposé et entravé dans ma marche jusqu'à la cuisine, et cela semblait le satisfaire.
Quand j'eu fini de préparer le café, comme une bonne petite soubrette, je l'apportais au Monsieur. En guise de remerciement, il tapota mes petites couilles comme on claque familièrement le fessier d'une petite serveuse.
- "Tu vas te mettre à 4 pattes sur la table du salon, ta croupe tournée vers moi et bien cambré le temps que je boive mon café."
- "Oui Monsieur."
A Peine étais installé selon ses directives que le monsieur glissa son pied toujours chaussé entre mes cuisses. Tout en dégustant son café, avec la pointe de son pied, il s'amusait à titiller mes petites valseuses... d'ou leur surnom...
- "T'es une belle salope toi."
Quand il eu finit son café, il se leva et s'approcha de mon petit cul. Il posa ses mains sur mes fesses et les écarta grandement. J'avais très très honte.
- "La première chose qu'il faut que tu apprennes salope, c'est que je peux librement ausculter ton intimité.
La seconde chose, c'est qu'il faut que tu apprennes avec moi à perdre toute pudeur. J'imagine que tu dois avoir bien honte de me montrer ainsi ton trou de salope."
- "Oh oui Monsieur, j'ai très très honte."
- "Oui c'est bien, mais pour autant, je le matte autant que je le veux."
- "J'ai honte Monsieur, mais pourtant ça m'excite, j'ai ma petite queue qui me chatouille."
- "Ah, et tu aimerais bien lui faire du bien j'imagine."
- "Oh oui, Monsieur, je peux me tripoter un peu ?"
- "Non, tu vas pas te tripoter, mais si tu veux, tu peux venir la frotter sur ma chaussure."
- "Mais monsieur, j'aurai trop honte ?"
- "C'est toi qui voit salope. Alors que décides tu, mais décides toi vite avant que je change d'avis !"
- "Oui Monsieur, tant pis, sur votre chaussure."
Le Monsieur se rassis alors dans le canapé et avança légèrement sa jambe.
- "Allez salope, tu peux descendre de la table et venir astiquer ta petite queue sur ma chaussure. Tu prends ma jambe dans tes bras comme un bon petit chien en chaleur."
J'avais très honte, mais j'étais trop excité. je descendais de la table, je prenais la jambe du monsieur dans mes bras et je posais ma petite queue sur la chaussure du monsieur. C'était très rêche mais j'en avais trop envie. Et tel un petit chien en rut, je tortillais mon petit cul de sorte a astiquer ma queue sur la chaussure du monsieur.
- "Tu devrais avoir honte salope. Bien entendu, pa ...
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