A l’occasion d’un job de livreur pendant les vacances scolaires
alors que j’avais 17 ans, j’ai fait la connaissance de deux vieux
américains d’une soixantaine d’années, fortunés, amateur de
jeunes minets dociles (cf La Livraison).
Je n’en ai plus entendu parler et j’ai poursuivi mes études tout à
fait normalement. L’année suivante j’avais une copine de 16
ans, Laurence C., blonde aux yeux verts et bien roulée, fille
d’un metteur en scène de cinéma habitant Rue du Bac. J’avais
18 ans, je passais beaucoup de temps avec elle et eux dans un
milieu particulièrement libre pour l’époque sur le plan des
mœurs. Un Dimanche de Mai, les C. m’ont invité à déjeuner
dans un restaurant du Quai Voltaire…souvenirs, souvenirs…
c’est là qu’habitaient mes deux américains, mais cela n’aurait
justifié en rien de ne pas accepter l’invitation des C.
Nous voici donc attablés tous les six, le couple C., ses trois
filles et moi, lorsque vers la fin du repas, je vois entrer les deux
américains qui me repèrent tout de suite, mais, mine de rien -
ce que j’apprécie -, ils vont s’asseoir à une table un peu
éloignée. Notre repas se termine, nous nous levons et, sortant
le dernier du restaurant comme la courtoisie m’y incite, le
maître d’hôtel vient me glisser une carte de visite dans la
main….un simple numéro de téléphone figure dessus, rien
d’autre…je n’ai bien évidemment aucun doute quant à sa
provenance.
Rentré chez mes parents, je m’isole et appelle le numéro
figurant sur la carte « Allô? C’est toi…je me doutais bien que tu
allais nous appeler rapidement…tu étais une bonne petite
salope…cela n’a manifestement pas changé. C’est parfait.
Nous avons un travail à te proposer l’été prochain. Pourrais tu
passer nous voir pour que nous en discutions tous les trois si
cela peut t’intéresser?» Je remerciais mon interlocuteur, lui
confirmais que j’étais déjà en recherche d’un job pour l’été mais
que je n’avais encore rien trouvé qui me satisfasse et prenais
donc rendez vous pour une fin d’après midi de la semaine
suivante.
Je me présente donc à l’heure dite sur le palier de
l’appartement où je m’étais déjà rendu trois fois l’année
précédente. Je sonne. « Hi buddy! Come on in! » me dit celui
qui venait déjà ouvrir les fois précédentes, habillé
classiquement d’un pantalon en toile et d’un t shirt. Je le suis
dans le salon où se trouve son ami, assis dans le même
fauteuil que d’habitude, vêtu d’un pantalon de cuir noir et d’une
chemisette.
«Nous ne nous sommes jamais présentés! Voici Jack et moi
c’est David. Et toi comment t’appelles tu? » me demande celui
qui est encore debout et que je viens de suivre.
«Je m’appelle Pierre » répondis-je.
« Good » dit Jack à ce moment là. « Nous avons besoin pour
cet été d’un majordome/chauffeur dont les attributions ne se
limiteront pas strictement à ce rôle, tu t’en doutes puisque tu
connais nos petites manies…et que tu y as répondu très
gentiment l’an dernier… »
Je voyais évidemment parfaitement là où il voulait en venir…je
leur avais servi d’escort boy, autrement dit de petite pute,
lorsque j’étais venu chez eux pour leur livrer deux paires de
lunettes.
« Combien de temps aurais tu de disponible cet été? »
« Environ six semaines du 1er Juillet au 15 Août »
« Pas plus? »
« Non car après je dois partir, juste avant la rentrée, en
vacances avec ma copine»
« La jolie petite salope blonde à gros seins que nous avons vue
avec toi, je suppose ? »
« La blonde, oui, c’est ça »
« OK, je comprends. Six semaines seraient déjà mieux que
rien. Tu te doutes que c’est un job qui demande une discrétion
absolue et une confiance totale de part et d’autre. C’est l’une
des raisons pour lesquelles nous avons pensé à toi, les autres
étant notamment ton physique et tes aptitudes. »
« Merci beaucoup… »
Je comprenais parfaitement ce qui m’attendait si j’acceptais.
Inutile de demander de préciser les détails du job…
Jack poursuivit ce que David avait entamé :
« Tu logerais ici. Nous avons une chambre et une salle de
bains indépendantes. Donc ton hébergement et tes repas
seraient entièrement à notre charge. Par contre pendant ces six
semaines, tu n’aurais aucun jour de repos et tu devrais être à
notre entière et totale disposition. Moyennant quoi tu recevrais
une rémunération nette de charges sociales et d’impôt de X
francs. Are you ok with all this? »
Le montant annoncé était proprement exorbitant. Je me doutais
donc que le « travail » allait être varié et intense…
Ma décision de reprendre mon rôle de petite pute fut vite prise,
je l’avoue toute honte bue.
« Entendu, je comprends… J’ai confiance en vous. Mais j’ai
besoin d’une couverture vis a vis de mes parents et de ma
copine… »
« Bien sur, c’est aussi notre intérêt. C’est pour cela que nous te
ferons un contrat de travail de majordome/chauffeur,
maintenant que tu as ton permis, tout a fait classique. Le reste
est d’accord entre nous et ne figurera nulle part. Trust and
nothing else between us ».
« Great! Let’s celebrate! » David sonna et la même vieille
servante qui était déjà là l’an passé apporta une bouteille
de champagne et des flutes, l’ouvrit et nous servit, restant en
arrière pour attendre la demande suivante.
« Tu connais Yvonne. Elle est notre femme de chambre/
cuisinière depuis une dizaine d’années. C’est une tombe. Si elle
a besoin que tu la soulages, tu lui obéiras ».
Jack dit alors :
« Sors la, petite salope, que l’on voit si elle a bien grandi! »
Je m’exécutais docilement, sortant ma bite et mes couilles de
mon pantalon et de mon slip.
« Nice! Il me semble qu’elle a grossi…tant mieux! We’ll have
fun. Tu auras une tenue de service adaptée. Quelle est ta taille
de chaussures? »
« 42/43 je crois »
Je remballais mon matériel et prenais congé.
J’étais à la fois ravi et inquiet de ce que j’allais devoir assurer :
je retrouvais le rôle que j’avais assuré à trois reprises, mais à
plus grande échelle, à n’en pas douter! Il fallait aussi que je ne
laisse supposer à personne, et surtout pas à ma copine
Laurence, mes attributions exactes. J’avais quelques semaines
pour lui faire du bien avant que mon job ne m’accapare.
Je me suis donc attelé à cette tâche avec conscience, profitant
autant que faire se peut de ses gros seins pointus, de sa chatte
baveuse surmontée d’une superbe touffe blonde (une vraie
blonde, c’est rare!) et d’un cul très étroit. Elle savait que
pendant six semaines nous aurions peu de chances de nous
voir et, par conséquent, elle faisait des réserves de bite…Une
vraie petite chienne, toujours en manque, toujours mouillée,
toujours prête à prendre…Serrée du cul et du con, elle me tirait
le jus en se faisant très peu limer : un régal!
Le 1er Juillet était un Samedi. Je me présentais avec mon petit
baluchon au domicile de mes nouveaux amis et néanmoins
employeurs…Yvonne m’a ouvert la porte, David et Jack étant
absents. Visage impassible, tenue toujours aussi stricte qui ne
permettait en aucune façon de deviner ses formes, elle devait
avoir une petite cinquantaine d’années. Me précédant, elle m’a
fait visiter l’appartement puis m’a conduit à ma chambre.
« Ces messieurs seront de retour probablement en début de
soirée. Je vous ai mis sur votre lit les tenues de service qu’ils
m’ont confiées pour vous ».
Ces dernières étaient réduites à leur plus simple expression
mais, sur l’indication d’Yvonne, j’ai su que pour le soir même je
ne devais porter qu’un minuscule tablier blanc et des
chaussures à talon de 14 cm qui avaient été faites sur mesure
chez Ernest.
« Ces messieurs m’ont chargé de vous suggérer de vous
entraîner à marcher avec ces chaussures, au cas où vous n’en
auriez pas l’habitude » a-t-elle ajouté avec un sourire en coin…
Seul dans ma chambre, j’ai revêtu - si j’ose dire - ma tenue : le
tablier ne cachait pas la totalité de ma bite au repos, c’est dire
la taille de cet accessoire qui devait me servir de vêtement, et
les chaussures n’étaient pas simples à enfiler. Difficile - pour ne
pas dire impossible - au début de rester debout! Après m’être
tordu les chevilles et être tombé un bon nombre de fois, je
parvenais en fin de journée à marcher à tous petits pas, ce qui
me donnait une allure parfaitement ridicule, de précieuse du
même nom!
Vers 18h30, Jack et David sont arrivés et m’ont fait appeler par
Yvonne, dont le regard sur ma tenue ne me laissait aucun
doute sur son appréciation.
« Hi Pierre, nice to see you! Great looking! » me dit Jack dans
le salon où il était déjà assis.
« Cette tenue te va à ravir, ma petite salope » enchérit David.
« Ce soir, tu feras le service à table, nous ne sommes que tous
les deux, tu as de la chance, pour commencer ton service ».
La salle a manger comportait une grande table en verre,
chacun d’eux étant assis d’un côté. Yvonne servait à table. Mon
rôle était d’être sous la table, assis sur les talons, et de leur
téter le noeud a tour de rôle, les mains dans le dos, en ne les
touchant qu’avec la langue…La table étant en verre, toutes les
personnes se trouvant dans la pièce pouvaient ainsi profiter du
spectacle.
« Tu ne nous fais cracher que quand on te le dit, petite salope.
Compris? Mais d’abord, viens près de Jack et présente lui ton
cul.»
Je m’exécutais.
« Je vais te ...
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