Suite de Le Majordome (1)
Nous étions rentrés chacun dans nos chambres depuis environ
une heure lorsqu’elle m’a sonné. Toujours dans la même tenue
et le rosebud au cul, je me suis rendu chez elle. Elle était
complètement à poil sur le lit, les cuisses bien ouvertes.
Totalement lisse, pas un poil, une vraie petite fille…
« Va me chercher les photos de ta copine dont Monsieur David
parlait, s’il te plait »
Je ne pouvais faire autre chose que m’exécuter. Je lui ramenais
donc une douzaine de clichés de Laurence, plus que
suggestives, sur lesquelles elle était détaillée sous tous les
angles et dans toutes les positions. Deux d’entre elles étaient
prise pendant que je l’enculais…Par malchance, ce sont les
deux premières sur lesquelles Yvonne est tombée.
« Joli morceau, la petite. Elle aime que tu lui défonces le fion.
Parfait. Tu vas me soulager en en faisant autant pendant que je
mate le reste. Viens là! »
Elle m’a enlevé le tablier, fait garder les chaussures, pris la bite
en bouche et me l’a rendue raide en moins de temps qu’il ne
faut pour le dire. La salope! Du métier, c’est clair. Elle s’est mise
au bord du lit, le cul tourné vers moi, les coudes appuyés sur
les draps.
« Vas y, petite pute. Encule moi! »
Je présente ma queue à l’entrée du trou et d’un seul coup lent
mais ininterrompu je l’enfile jusqu’au fond, jusqu’à ce que mes
couilles lui touchent les fesses! Elle est serrée mais mouille du
cul…
« Salope! Tu sais y faire! Lime maintenant! Fais moi cracher le
jus pendant que je mate ta petite chérie! »
Je la tiens par les hanches et la bourre consciencieusement. Je
sens que la sauce monte mais je sais que je ne dois pas
cracher sans son autorisation. La garce me décrit Laurence
dans les termes les plus crus ce qui accroît encore mon
excitation. Elle le sent.
« Ne crache pas, petite pute, sinon tu seras puni et tu te doutes
que je m’y connais en matière de punition. Réponds! »
« Oui Madame »
« C’est bien. Lime encore. Je sens ton gros bout de viande qui
va exploser. Je te prendrais avec un gode en acier, tu verras
comme c’est bon… Ta petite chérie a des seins pointus de
gouine et un cul de pute dont je m’occuperais volontiers. 16 ans
c’est le bel âge pour une domina comme moi… Tu le lui diras
de ma part! Je la gâterais, elle en redemandera! Compris!»
« Oui Madame »
A ce moment là elle a explosé, hurlé, inondé le parquet de sa
cyprine, même son cul me mouillait abondamment la bite. Je
n’en pouvais plus.
« Vas y crache, petite pute! »
Je lui ai envoyé une grosse dose dans le fond du trou qui l’a
faite couiner. En me retirant, le jus dégoulinait partout.
« Nettoie moi avec ta langue »
J’ai tout léché, nettoyé, la moule, la raie, le cul. Elle semblait
satisfaite.
« Ta copine est une belle petite chienne, je me la ferais
volontiers. Vu son âge, elle doit être bien serrée comme j’aime.
J’ai l’habitude d’en faire de bonnes salopes. Penses y. Je ne
serais pas ingrate. »
Je suis rentré dans ma chambre avec les photos de Laurence
devant lesquelles je me suis branlé. A l’âge que j’avais, on
recharge vite…Je n’en pouvais plus. Cette vieille grognace
m’avait vraiment bien chauffé et l’idée de ce qu’elle voulait faire
de Laurence me faisait grimper aux rideaux même si je savais,
bien évidemment, que jamais je n’oserais en parler à ma
copine.
Les gros seins de la vieille m’avait aussi beaucoup excité, moi
qui suis totalement dingue de gros pis bien fermes. Les siens
ne l’étaient plus tout à fait, mais il y avait encore de beaux
restes. Je la soupçonnais de les écraser pour les planquer et
ne pas trop les faire apparaître dans son quotidien.
Les deux vicieux sont rentrés comme prévu en fin de journée.
Ils ne se doutaient pas, ou faisaient mine de ne pas se douter,
que j’avais enculé Yvonne et que nous avions l’un et l’autre
déchargé, alors que cela m’était interdit sans leur accord. Mais
j’avais repris ma vigueur d’adolescent et, lors du diner qui s’est
déroulé comme celui de la veille, j’étais bien raide comme ils
aiment.
Nous étions passés au salon.
« Pierre, à 4 pattes! Yvonne, enlevez-lui son rosebud et enfilez
lui, une a une, ce chapelet de boules thaïs dans le cul.
Commencez par les plus petites, et mettez les lui jusqu’à la
dernière, la plus grosse. Pas de beurre cette fois-ci. Toi, petite
pute, tu ne bouges pas »
Les deux vieux ont sorti leurs paquets de leurs pantalons et ont
maté le spectacle. David touchait Jack, le branlait et lui agaçait
les tétines jusqu’à ce qu’il crache en poussant un petit cri.
David s’est alors empoigné le manche et l’a agité jusqu’à ce
qu’il inonde le parquet au moment où Yvonne finissait de me
remplir le trou. Elle est aussitôt allé chercher de quoi nettoyer
les projections des deux vieux, sans un mot.
J’étais toujours a 4 pattes, les couilles tendues et la bite raide
tellement le traitement infligé par Yvonne m’avait mis en joie…
« Au lit, petite pute! Tomorrow is another day! Nous te dirons ce
qui t’attend cette semaine. Et souviens toi, au coup de
sonnette, tu rappliques la queue à la main. »
3 heures du matin. Je dormais a poing fermé. Coup de sonnette
de Jack. Je vais jusqu’à sa chambre dans ma tenue de service,
les boules thaïs dans le cul, le mini tablier devant la bite, les
chaussures à talons aux pieds. Pas ridicule pour deux sous!
« Monsieur, vous m’avez demandé? »
Jack est allongé sur son lit, David debout à côté, la bite molle,
tous les deux a poil.
« Encule le! Devant moi! »
Je ne l’ai jamais fait avec un homme…l’angoisse me prend…
Vais je oser? Vais je en être capable. Mais le ton de Jack ne me
laisse pas trop le choix. Manifestement, il s’est fait enfilé par
David, mais il y a quelque chose qui n’a pas marché…
« Tu vas le limer jusqu’à ce qu’il crie! Tu vas lui mettre cette
cage autour de la queue, comme ça quand il bandera pendant
que tu l’enculeras, sa bite lui fera mal…s’il a envie de pisser, il
fera sur lui. C’est sa punition! A toi de l’exécuter et bien, sinon
tu subiras le même sort mais c’est moi qui t’enculerais avec ma
grosse pine épaisse! »
Je passe la queue de David dans la cage en la repliant sur elle
même et sur ses couilles. Tout le paquet est enfermé. Il se met
en levrette au bord du lit.
Yvonne entre à ce moment là. Nue avec le tablier qui lui cache
juste la fente, et des talons pour la faire cambrer, comme moi…
« Yvonne, sucez la petite pute pour la faire durcir »
La vieille me prend en bouche et très rapidement je deviens
raide et gonflé, les bourses tendues.
« A toi Pierre! Vite! Enfile le à sec d’un seul coup »
Je présente mon gros noeud devant son trou, je prends une
inspiration et je lui rentre le membre d’un seul coup jusqu’aux
couilles - comme je fais pour les filles qui la ramènent -, ce qui
lui arrache un hurlement!
« Stop it, darling! You deserve it! »
« Yes Jack! Thanks Jack! »
« Lime le sans jouir »
Je m’active. La bête grossit. Je le remplis bien.
« Sors d’un seul coup! »
Autre cri de David au moment où mon gland lui agrandit l’œillet.
« Thanks Jack! »
« Au lit, tout le monde »
Je suis la vieille en matant son cul…j’y mettrais bien ma pine de
nouveau! Sa raie me fascine…
« Ne te fais pas des idées » me dit-elle en se retournant.
« Amène moi ta chérie qu’on s’en occupe… »
Manifestement Laurence ne la laisse pas indifférente.
Les jours suivants se sont déroulés grosso modo à l’identique.
Mais j’ai été prévenu dès le Lundi que le Jeudi soir nous
aurions des invités à diner.
Ma tenue devait être la tenue habituelle avec mon rosebud/
diamant dans le cul. Seul ajout : un collier de chienne, en cuir,
autour du cou avec un anneau pour la laisse…
20 heures. Les premiers invités sonnent. Je vais ouvrir. Deux
hommes d’une cinquantaine d’années. Jack est derrière moi, il
me pelote les fesses.
David est la maîtresse de maison.
« Bonsoir chers amis! Bienvenue! Voici notre nouveau
majordome, Pierre! Vous pouvez bien sur vous rendre compte
par vous mêmes des qualités de sa plastique.»
Je suis détaillé, scruté, apprécié…puis soupesé.
Les coups de sonnette se succèdent. Finalement huit invités, et
donc un diner de dix, que des hommes entre la petite
quarantaine pour les plus jeunes et la soixantaine pour les plus
âgés.
« Pierre, sers nous a boire! »
Je passe le plateau avec les flutes aux différents convives qui
ne manquent pas, au passage, de me palper les fesses ou de
me soupeser les couilles sous le regard amusé des autres
invités…A la fin j’ai déjà un début d’érection impossible a
dissimuler.
« A 4 pattes, tu vas nous servir de table basse »
Je me mets dans la position demandée. Ils posent leurs flutes
de champagne sur mon dos.
« Ne bouge pas, petite pute, sinon pan-pan cul-cul »
L’assemblée s’esclaffe. Je fais de mon mieux pour rester
immobile. Certains s’amusent à me palper les couilles pour voir
ma réaction. Je ne bouge pas.
« Il a un bien joli rosebud. On ne peut pas le rater. C’est exprès
je présume…pour viser juste! »
Nouvel éclat de rire. Je régale…
« Passons à table mes amis! Yvonne, débarrassez la table
basse, je vous prie »
Encore des rires pendant que ces messieurs passent a table.
« Pierre, en place »
Je me rends a quatre pattes sous la table où je prends ma
...
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