Le petit coin de nature
Mon phantasme depuis des années était de me retrouver dans un joli coin de nature, nu, allongé sur sur ma serviette en attendant le promeneur qui viendra jouer avec mon corps.
Ce phantasme, la dernière fois que je l’ai réalisé, c’était cet été, au bord de l’Allier, pas loin d’un pont très connu pour être un lieu de rencontre occasionnel.
Plusieurs fois je m’étais rendu sur ce lieu, mais à part quelques camions sur le parking et des petits chemins désuets truffés de déchets en tout genre, je n’avais rien trouvé qui ressemblait au petit coin tranquille que je recherchais pour étendre ma serviette et je commençais à me demander pourquoi ce lieu était si bien noté sur notre site.
Je décidai donc un jour où j’avais un peu plus de temps de prendre mon sac à dos et de m’aventurer beaucoup plus loin sur le petit chemin qui borde la rivière. Après près plus de cinq cent mètres sur ce chemin chaotique bordé d’orties, un petit chemin sur la gauche me permettais de me rapprocher de la rivière, je le pris et je me retrouvais rapidement sur une longue plage, large, bordée de petits arbres, plantés dans le sable qui apportaient un peu d’ombre et permettaient d’être à l’abri des regards.
J’avais trouvé mon petit coin tranquille. Il était 14h00, la plage était déserte et le soleil tapait fort.
Quelques secondes plus tard je me retrouvais nu comme un ver sur ma serviette et commençais à explorer le contenu de mon sac. Des magazines XXX pour occuper le temps, une bouteille d’eau pour la soif, un plug et du gel au cas où, une paire de pince à seins, des mouchoirs, j’étais paré.
Après une demi-heure de lecture et d’excitation, j’aperçue un homme d’une cinquantaine d’année qui venait de la plage et se dirigeait dans ma direction. Je me mis assis et me retournais sur ma serviette afin qu’il me remarque.
Il s’approcha dans un premier temps et tout en restant à une dizaine de mètres, il sortit son sexe et commença à se masturber. Son engin était épais et noyé dans une forêt de poils qui ressortaient de sa braguette. Je lui fis signe de s’approcher, ce qu’il fit.
Planté debout devant moi, il m’obse ...

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