Quel plus bel endroit que la côte vermeille pour passer des vacances en janvier ? D’autant que sans la grande foule, il y a peu de chances d’être remarquée, donc une période tout adaptée pour y être bien, seule, en femme, comme j’aime. Un appartement loué sur une plateforme bien connue à Collioure, et me voilà partie pour six heures de route. Les haltes café-toilettes se passent bien, personne ne me dit rien quand j’investis les lieux dédiés aux dames. C’est toujours une crainte…
Arrivée à la nuit, je trouve la clé dans la boîte à clés, je monte ma valise dans ce superbe logement avec vue sur la mer, un balcon magnifique, et je me plonge dans la documentation gentiment laissée par les hôtes, un couple assez jeune apparemment, que je verrai peut-être plus tard. Le lendemain sera pour une promenade dans les rue de Collioure, heureuse et libre. Le beau temps frais me tend les bras. Une jupe ajustée, à mi-cuisses, et des bas opaques, un tricot de saison et des talons, en prenant la précaution de me munir de tennis dans un sac à dos flashy. Le plein de paysages et de soleil dans ma peau et ma tête de fille.
L’Espagne n’est pas loin, et je décide de franchir la frontière le jour suivant. Les murs y sont plus blancs, l’art plus présent, c’est le pays de Salvador Dali. Une heure et demie de voiture par la côte, et j’y suis. C’est presque désert, mais c’est beau, et deux restaurants sont ouverts sur la plage. J’en choisis un. Je suis super contente mais mon espagnol approximatif me vaut l’œil amusé du serveur, très bel homme, et je devine que ce n’est pas que ça. Je ne suis pas parfaite… Il m’appelle « señora » d’une façon un peu appuyée…
La zarzuela et le vin rosé aidant, je lui demande les toilettes qu’il m’indique d’un sourire gentil. Mais je n’imaginais pas qu’il me suivrait, et qu’une fois entrée dans le local féminin, assise jupe relevée et string baissé, il ouvrirait la porte et, l’ayant refermée derrière lui, me mettrait la main sur la bouche et m’expliquerait en excellent français que les personnes comme moi ne sont tolérées en Espagne qu’à condition de faire ce qu’on leur demandait, et que ce que je devais faire là tout de suite, c’était de me montrer une bonne suceuse…
J’espérais de mon séjour une brève vie de fille sans contrainte, libre, et me voilà confrontée à ce pieu en face de mon visage, déjà aussi raide que la voix était exigeante. Que faire sinon, vaincue, déposer mes lèvres sur ce gland gonflé, puis les écarter un peu, toucher du bout de la langue le méat, effleurer de mes doigts les bourses pleines de cet homme sûr de son bon droit ?
Après tout, qui suis-je pour le lui contester ? Et pourquoi ne pas faire mon devoir avec plaisir ? Je le caresse donc, mes doigts excitent son périnée pendant que ma bouche le pompe avidement. Il est beau, et sa bite est belle, je lui masse les fesses pendant qu’il investit toujours plus ma bouche. Je suis là, obéissante et ravie, et je touche du doigt ce corps d’athlète et ma vraie fonction : satisfaire l’homme.
Et je suce et je suce, jusqu’à m’en donner des hoquets et entendre enfin le grondement de jouissance qui s’échappe de ses lèvres pendant que le flot de son plaisir jaillit et que je l’avale autant que je peux. « Que buena chupadora ! », lâche-t-il. Je lui dis que c’est un très beau compliment, et il me répond qu’il n’en a pas fini avec moi, et que j’ai de la chance car il n’est pas de service de soir. Je lui réponds que je dois rentrer, et lui rétorque « ça dépend où ».
- A Collioure
- C’est très beau Cadaquès le soir
- Mais j’ai ma location !
- Tu y retourneras demain.
- Mais…
- J’ai dit demain !
Et pour être certain, il me montre les clés de m ...
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