Dans le grand loft, il y a des gens partout. Le cœur est à la fête. L’équipe vient de terminer une grosse semaine. Le plus gros contrat de leur existence vient d’être complété avec succès. Ça va évidemment leur ouvrir les portes.
Pour ma part, j’accompagne ma grande amie Caroline. Une femme début cinquantaine, qui ne fait pas son âge. Je suis plus jeune qu’elle de quelques années mais j’ai toujours été attiré par sa beauté naturelle. Aucun artifice, une beauté simplement naturelle. Mince avec une poitrine, ni trop petite, ni trop grosse, de belles petites fesses. Ses cheveux bruns qui reposait sur ses épaules mettaient en valeur ses yeux marrons dans lesquels on pouvait s’y perdre. Elle et moi, on s’est toujours flirté sans jamais passer à l’action. On est mutuellement important l’un pour l’autre. On a toujours été là dans nos moments heureux comme malheureux. Ce soir, elle tenait à ce que je l’accompagne. Connaissant tous ses collègues, ça me faisait plaisir d’y être.
Ce soir, Caro était splendide. Elle portait un tailleur bien ajusté. Sa blouse blanche, juste assez déboutonné me faisait perdre la tête. Je pouvais deviner la dentelle de son soutien-gorge d’un blanc immaculé. Toutefois, je n’arrivais pas à savoir si sous sa jupe elle portait le string assorti ou tout simplement rien…
Il y avait beaucoup de belles personnes, surtout avec le sourire fendu jusqu’aux oreilles. D’ailleurs, Isabelle, la co-chef de direction de l’entreprise était radieuse. Elle passait d’une personne à une autre pour remercier tout un chacun de leur implication dans la réussite de ce soir. Isabelle ne laissait personne indifférent, encore moins ce soir. Elle avait une robe blanche, au dos ouvert et avec un décolleté plongeant mettant sa poitrine généreuse en évidence. Sa robe s’élargissait en bas de la taille et se terminait un peu en haut des genoux, laissant ses belles jambes en évidence du haut de ses talons. Combien de fois ai-je fantasmé sur elle…. Mais comme elle était la conjointe de Michel, je n’aurais jamais osé pour ne pas foutre le bordel.
Dans sa tournée, Isa vint me voir pour faire un brin de jasette. Je la félicitai pour sa réussite tout en la complimentant sur sa tenue. Elle fut surprise de mon compliment sur sa robe. Faut dire que j’ai échappé un « tu es ravissante et délicieuse ». Elle sursauta mais me répondit du tac-au-tac : Pour être délicieuse, faudrait que tu goûtes mon chéri. Le jeu de séduction étant lancé, je lui ai répondit : Je l’ai souvent rêvé Isa. Elle s’approcha de moi, glissa sa main entre mes cuisses et fit un mouvement de haut en bas sur ma queue, qui évidemment durcissait. Elle me chuchota à l’oreille : Si tu restes jusqu’à la fin, ça pourrait arriver…. Elle recula et me fit un clin-d ’œil.
Caro qui n’était pas très loin avait tout vu du spectacle. Elle s’avança vers moi et me prit par la main. On se dirigea à l’extérieur de l’appartement. On se dirigea vers la cage d’escalier. Une fois la porte fermée, elle me plaqua contre le mur et m’embrassa d’une langue vigoureuse et sensuelle. Bien que surpris, je profitai du moment. Elle me glissa à l’oreille : C’est pas vrai qu’Isa va t’avoir avant moi. Ça fait trop longtemps que j’attends.
Dans le temps de le dire, elle avait ma queue bien bandée dans sa bouche. Elle me suça et passa sa langue sur toute la longueur. Elle serra les lèvres contre mon gland bien gonflé. Ma queue était maintenant extrêmement bien lubrifiée. Je la pris dans mes bras pour la relever. Je lui ai demandé de se pencher contre la rampe. Je relevai sa jupe pour découvrir le magnifique string blanc en dentelle. Il était déjà bien humide. Elle mouillait comme une salope prête à se faire prendre. Mais avant tout, je voulais la déguster. J’enfonçai ma langue entre ses fesses pour savourer ce vin délicieux. Ma langue caressait son string pour ensuite se frayer un chemin sur ses lèvres. Ce fut délicieux à souhait. Elle mouillait telle une fontaine.
Je me relevai et l’appuya contre le mur. On s’embrassait comme des déchaînés. Nos langues se caressaient avec intensité. Je remontai sa jupe et inséra délicatement mon sexe gonflé à bloc en elle, le string sur le côté. Au fond d’elle, je lâchai un gémissement de plaisir. Elle fit de même. Peu importe si on nous entendait, on n’en avait rien à foutre. C’était juste trop bon.
À chaque coup de queue en elle, elle se collait contre moi. Elle me demandait d’y aller fort et profondément. Je m’exécutai. Elle me prit par les fesses et poussa pour que je sois encore plus loin en elle. Je lui dis que j’allais jouir. Elle bougea encore plus son bassin. Je ne puis me retenir davantage. Je jouissais et gémissais mon plaisir dès le premier jet de sperme en elle. Elle gémit aussi. Je sentais son corps frissonner pendant je coulais en elle.
Au moment où je me retirais, elle se pencha et enfonça ma queue dans sa bouche. Sa langue et ses lèvres allait récupérer la moindre goutte de ma blanche substance. Elle avala tout. Elle se releva et glissa sa main entre ses cuisses. Elle introduisit deux doigts dans sa chatte, encore une fois pour récupérer mon sperme. Elle les sortit de sa chate et les amena vers ma bouche. Je les suçai pour savourer ce doux mélange de sperme et de son jus. Je les ai sucés jusqu’à qu’il n’y ait plus rien. Je me remis encore à ses genoux et voulu lui rendre la pareille. Je nettoyai sa vulve dégoulinante avec ma langue et replaçai son string bien en place. On avait maintenant franchi une étape que l’on espérait ensemble depuis longtemps, sans se l’avoir dit. Et ni l’un ni l’autre ne regrettait. Au contraire, c’était le début de quelque chose.
Une fois de retour dans l'appart, je tentais de reprendre mes esprits. Ça avait été tellement subit et surprenant. Ça tournait dans ma tête. J'espérais que ce soit seulement le début. Caro semblait avoir grandement apprécié le moment, tout autant que moi.
La soirée se poursuivait de plus belle. Une jase avec un, une autre avec un autre groupe. On ne voyait pas le temps passé. Il commençait vraiment à se faire tard. Les invités commencèrent à quitter les lieux. Sans s'en rendre compte, finalement il ne restait que nous quatre: Isa, Michel, Caro et moi. J'étais sur un canapé avec Michel et les filles étaient sur l'autre. Caro et Isa semblait vraiment s'amuser. Elles se complimentaient l'une et l'autre sur leur beauté et leur tenue. Je sentais qu'il se passait quelque chose de chaud et sensuel. Au début, Michel et moi, nous étions davantage concentrés sur notre propre conversation.
À un certain moment, Isa dit à Caro qu'elle aimait bien la dentelle qu'elle portait. Qu'elle aimerait bien voir les détails. Caro s'exécuta et retira sa blouse. Michel mit alors sa main sur ma cuisse pour me faire signe de regarder. Isa passa alors le bout de ses doigts sur le soutien-gorge pour toucher à la dentelle. On vit alors les mamelons de Caro durcir instantanément. Michel avait toujours la main sur ma cuisse. J'étais un peu surpris, surtout quand j'ai vu qu'il bandait bien dur.
Caro se releva et retira sa jupe pour lui montrer son string assorti. Elle s'exhibait devant nous comme si nous n'y étions pas. Elle se rassit et les doigts d'Isa tombait glissa alors sur le string. Elle allait et venait sur le string. On voyait que Caro appréciait. Michel, toujours la main sur ma cuisse, on était subjugué devant ce spectacle. Les femmes regardèrent Michel et lui fit signe de glisser sa main entre mes cuisses. Sans attendre, il s'exécuta. Sa main caressait mes couilles et ma queue. Bien que stupéfait, je le laissai faire.
Caro s'étendit de tout son long sur le canapé et Isa glissa alors sa tête entre ses cuisses. On voyait sa langue aller du bas vers ...
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