Suite de l'histoire "Les vacances chez Sophie - Jour 1 - Un accueil chaleureux"
Je ne m'étais qu'à peine remis des émotions de la veille et n'avais presque pas fermé l’œil de la nuit, passant la moitié de celle-ci à attendre que Sophie ne débarque dans ma chambre, et l'autre moitié à me demander si je ne devais pas rechercher la sienne. C'est avec un grognement que je me réveillais lorsque le soleil entra par la fenêtre pour venir me taper sur les paupières. Je descendis dans la cuisine pour y retrouver la belle qui m'avait hantée toute la nuit. Elle n'était pas là mais j’aperçus par la baie vitrée qu'elle profitait de l'abord de la piscine pour prendre son petit déjeuner. Elle portait un peignoir blanc de satin qui laissait filtrer la lumière révélant ses courbes douces sous le soleil du midi, une paire de lunettes opaques et ses cheveux étaient attachés . Son café fumant me laisser penser qu'elle n'était pas ici depuis très longtemps, je m'approchai donc doucement pour venir la saluer.
Elle m’accueillit chaleureusement et se leva pour me faire le tour de la cuisine afin que je sache où trouver le nécessaire à déjeuner. Une fois équipé et tous deux installé, elle me dit « Désolée pour hier soir j'espère que tu n'as pas mal pris le fait que je ne sois pas venue te revoir après ma douche, mais honnêtement je n'aime pas bavasser après le sexe, je préfère aller me poser et profiter des sensations que je ressent ». Je faillis m'étrangler avec mon café à cette évocation matinale sortie de nulle part, mais la rassurai en lui indiquant que ça ne me dérangeait en rien, beau mensonge puisque je n'avais pas fermé l’œil de la nuit. « Très bien » répondit-elle, « Alors prends des forces et habille toi léger, je vais t'emmener découvrir la région par les petites routes, toi qui aimes la moto, je penses que tu pourrais t'y amuser, il y en a une ici on va la prendre ça sera plus drôle qu'en penses-tu ? ». Je trouvais l'idée séduisante et acceptais, une heure ou deux plus tard nous étions tous deux prêts et partirent sur les routes sous un soleil de plomb. Elle m'avait confié l'engin, et je me plaisait sur ces routes sinueuses, profitant du soleil, de l'asphalte et de la belle compagnie que m'offrait Sophie.
Elle ne tarda d'ailleurs pas à bouger ses mains qui enserraient ma taille, Il me semblait les sentir descendre et bouger, l'inconfort de la moto ne m’aidant pas à identifier les sensations. Cependant au bout de quelques minutes, plus de doute possible , sa main gauche enserrait ma taille alors que la droite me caressait avec une pression assez forte l'entrejambe. Elle me lâcha un « ça va ? Tu tiens le cap ? » dans l'intercom et je répondis « Oui très bien, mais il va falloir penser à s'arrêter ». « Je connais un coin sympa, on va s'y poser » répondit-elle, sur quoi elle m'indiqua la route pendant quelques minutes. Enfin nous nous arrêtions en bord de route sur une bande de cailloux. « laisse la moto là, ça ne craint rien, on va marcher un peu ». Après une marche qui me parût interminable sous le soleil brûlant en portant l’équipement, nous arrivions bientôt en milieu de garrigue devant une espèce de grande pierre plate à l'ombre d'un olivier.
« On l'appelle le lit des vierges par ici... beaucoup de jeunes couples se cachent et ont leur première expérience ici, loin de tous... ». Je souris à cette évocation tandis que Sophie sortait une bouteille d'eau de son sac pour boire une grande gorgée. Elle alla s'asseoir sur la pierre et me demanda « Tu as soif ? », je répondis immédiatement « Ho oui ! Je meurs de soif ! ». Je m'approchai mais elle me fit signe de m'arrêter, releva sa jupe en écartant les jambes, et commença à verser doucement de l'eau sur sa chatte en me regardant intensément « Dépêches toi alors, parce que la source va bientôt s'épuiser ». Je m'exécutais immédiatement et alla boire à cette douce source, ma lèvre inférieure contre son sexe tandis que ma langue titillais son clitoris, permettant tout de même à l'eau de descendre dans ma gorge. Plus je la satisfaisait, plus elle gémissait, et plus elle me donnait l'eau. Sans que nous n'ayons besoin d'échanger un mot, le jeu était clair : si je voulais boire, elle devait avoir du plaisir. Je m’exécutais de mon mieux et, quand la petite bouteille fût épuisée, je me lançais pour de bon en lui assenant des aller-retours rapides de ma langue sur son clitoris, tous en glissant un, puis deux, et bientôt trois doigts dans le vagin. Sophie gémissait fort en me tenant la tête, jusqu'à m'inonder de plaisir.
La belle m'attrapa alors les cheveux pour m'amener à sa bouche et m'embrassa furieusement, son autre main défaisant ma ceinture, mes boutons et glissant sous mon caleçon pour en sortir ma queue sans ménagements, qu'elle engloutit instantanément. Cette pipe fût extrêmement intense et de courte durée puisqu'elle était déjà allongée en me faisant signe de son doigt de la rejoindre.
Je m’exécutais donc, posant mes mains de chaque côté de sa tête, j'avançais le bassin et commençais à la pénétrer. D'abord j'entrais et ressortis doucement plusieurs fois, puis je mis un coup de reins, puis deux, et continuais ainsi, de plus en plus profondément ...
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