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Ma femme, la salope de la cité (Partie 3 de son journal intime)

Publié par : elena75 le 21/06/2021

Oui, lire le journal intime de ma femme de ma femme m'excite et je me branle en l'imaginant se faire baiser par des racailles. Je ne peux pas résister à l'envie de vous donner la suite de son journal :

"Pendant une semaine je n’ai plus de nouvelles de la famille de Mohamed et mes envies sexuelles diminuent ; je suis presque redevenue « normale ». Cependant ce dimanche soir, alors que nous avons l’un de nos fils à dîner avec nous, je reçois un sms. Bien qu’à table, je le consulte et je découvre qu’il est de madame Dahoud. Je décide de ne pas le lire, on verra ça plus tard.
Une fois notre fils reparti avec sa femme et ses deux enfants, je vaque à mes occupations ménagères. Lorsque j’ai terminé, Edouard est installé devant la télévision à suivre l’émission « Capital » ; je le laisse à ses occupations et vais dans notre chambre. Je prends enfin le temps de lire le message « Je vous attends demain vers 11h00 si cela vous convient ». Je réponds aussitôt « C’est parfait. A demain ».

Le lendemain matin, tandis qu’Edouard s’affaire dans la salle de bain, je suis devant mes placards et commodes en train de choisir mes vêtements et ma lingerie pour la journée. Je m’interroge, j’hésite. Quelle tenue adopter ? Mettre un tailleur avec pantalon ? Rester dans un style classique ? M’habiller bien bourgeoise ? Après un long moment d’hésitation, je me décide enfin.
Il est juste un peu plus de 11h00 lorsque je sonne à la porte. C’est madame Dahoud elle-même qui m’ouvre ; je suis rassurée ! Elle me fait entrer et nous nous installons dans le salon. Dans un français un peu hésitant, elle me fait comprendre qu’elle est surprise que je n’aie pas pris tous les papiers la dernière fois et que j’aie demandé à revenir ce matin. Je suis un peu interloquée et, après réflexion, je lui demande
- C’est votre fils qui vous a dit que je devais revenir ce matin ?
Elle me répond
- Oui, j’ai pas de téléphone portable !
Je comprends alors que les mails reçus ne venaient pas de madame Dahoud, comme je le pensais, mais de son fils Mohamed. Mon numéro de portable figurant dans le dossier laissé à sa mère, il n’a pas eu de mal à le trouver. C’est donc lui qui a tout manigancé dans le dos de sa mère, qui m’a demandé de revenir ici, qui m’a donné les documents au compte goutte et qui a pu ainsi profiter de chacune de mes visites pour m’entreprendre. Quel vrai petit salaud !

Madame Dahoud me remet donc le dernier document du dossier, celui qu’elle pense que j’ai oublié de prendre la dernière fois. Je parle avec elle du dossier et lui explique que je reviendrai vers elle dans quelques semaines une fois que le cas de sa famille aura été étudié en commission sociale. Je prends congé d’elle et, une fois dans l’ascenseur, je me dis que cette fois-ci tout s’est bien passé.
Alors que la cabine descend sans s’arrêter entre le septième et le cinquième étage, elle stoppe au niveau du quatrième. Qu’elle n’est pas ma surprise de voir alors Mohamed et un autre jeune beur entrer dans la cabine. Le fils de madame Dahoud me dit
- Bonjour madame de Trébout, vous allez bien ?
Bien qu’il m’ait fait tourner en bourrique avec cette affaire de papiers que j’aurais oublié de prendre, je préfère ne pas mettre cela sur le tapis. Je lui réponds d’un banal
- Bonjour Mohamed.
Tandis que les deux garçons me détaillent des pieds à la tête, l’ascenseur poursuit lentement sa descente.
Mohamed poursuit
- Je vous présenté Djamal, c’est mon meilleur pote. On fait tout ensemble.
Le dénommé Djamal enchaîne aussitôt
- Bonjour madame. Oui, on partage tout dans la cité.
La cabine vient de stopper au rez-de-chaussée mais Mohamed m’empêche de descendre alors que Djamal appuie sur le bouton de fermeture des portes puis sur le bouton du deuxième sous-sol.

Quelques instants plus tard, la porte de l’ascenseur s’ouvre face à un petit couloir simplement éclairé par quelques néons blafards. Sans dire un seul mot, Mohamed me prend par le bras et m’entraîne avec lui ; Djamal marche quelques pas derrière nous. Arrivé au bout, il ouvre la porte et nous débouchons dans un nouveau couloir bien plus long que le précédent. De part et d’autre, il y a des portes en bois mal équarries avec des numéros dessus et je comprends alors que nous devons être au niveau des caves. Nous faisons encore quelques pas puis Mohamed me force à m’arrêter. Djamal sort une clé de sa poche et ouvre la porte marqué 83. Mohamed me dit en me tutoyant cette fois-ci
- Entre ! Ici c’est l’annexe de ma chambre. Ma mère n’y descend jamais.
Il appuie sur un interrupteur et nous entrons dans une petite pièce qui doit faire à peine dix mètres carrés. Dans un coin, il y a comme une sorte de petit meuble de rangement, haut et étroit pour prendre le minimum de place. Collé contre un mur, une sorte de canapé convertible complète le mobilier de l’endroit. L’odeur qui y règne est étrange, âcre et épicée. Cela doit être un mélange de sueur, de cannabis, d’alcools divers et certainement de sexe car les murs ne sont tapissés que de posters de femmes nues. Il y en a de tous les styles, jeunettes aux formes fluettes, blacks callipyges, blondes aux seins énormes, femmes matures en lingerie sexy, ….. Je comprends vite que je suis dans le repaire de la bande de Mohamed. Ils doivent y venir pour picoler, se droguer, préparer leurs mauvais coups et certainement y baiser leurs copines.

Djamal déplie le canapé convertible, Mohamed verrouille la porte à clé puis les deux jeunes s’assoient me laissant debout face à eux. Il n’est pas difficile de comprendre que je suis à leur merci. Je réfléchis. Leur échapper ? C’est inenvisageable ! Leur résister ? C’est impossible ! Appeler au secours ? Personne ne va m’entendre ! Me rebeller ? Dangereux ! Je dois donc me résigner à accepter mon sort et faire contre mauvaise fortune bon cœur, ou bon coup dans le cas présent. D’ailleurs, je suis certaine qu’il doit être possible, en prenant l’initiative, de rendre mon sort moins pénible qu’il ne pourrait être.
Lentement je retire mon manteau et l’accroche à l’un des nombreux clous plantés un peu partout. Je reviens ensuite devant les deux jeunes gens et je leur dis
- Vu les jolis posters qu’il y a ici, je pense que vous allez apprécier ma lingerie.
Ils ne répondent pas mais leur regard est braqué sur moi. Je défais un à un les boutons de mon chemisier que je retire. Leurs yeux ne quittent pas mes seins bien comprimés dans mon soutien gorge de dentelle noire transparente. Je dégrafe maintenant ma jupe et je la laisse glisser à mes pieds. Le regard des deux jeunes mâles descend se fixer sur mon bas-ventre et le tissu de mon string noir assorti qui dissimule à peine ma légère toison pubienne.
Je m’approche plus près et me voici avec le nombril à la hauteur de leur visage. Je leur demande
- L’un de vous deux pourrait-il dégrafer mon soutien-gorge et l’autre retirer mon string ?
Djamal se lève rapidement et passe derrière moi. Il défait et retire mon soutien-gorge. Aussitôt, ses mains s’emparent de mes seins
- Putain, quels nichons !
- J’en reviens pas ! De vrais obus !
- Si les copains nous voyaient !
Sans se lever, Mohamed pose ses mains de chaque côté de mon string et le tire vers le bas avec lenteur. J’éprouve déjà une douce et troublante moiteur entre les jambes. Il fait passer le string sous mes chaussures, le porte à son nez puis le tend à son copain
- Sens moi ça !
- Un vrai parfum de salope !
- J’ai déjà la trique !
Djamal respire à son tour mon string puis répond à son copain
- Comme tu dis, ça sent la salope !
- La salope en manque !
Mohamed lui répond
- Tu as vu les dessous de pute qu’elle a mis ce matin pour venir nous rendre visite ?
L’autre réplique
- Oui, ça m’excite grave ! Depuis que je t’ai vu la baiser dans l’ascenseur, je me suis souvent branlé en pensant à elle.
Oui, ce matin, j’ai mis un large porte-jarretelles rouge qui dessine bien ma taille cintrée. Les longues jarretelles me descendent jusqu’à mi cuisses pour s’accrocher à mes fins bas noirs. Mes escarpins à talons hauts allongent mes jambes et m’obligent à être bien cambrée, la poitrine en avant et les fesses en arrière. Je suis une bourgeoise BCBG et sexy, pour eux deux je ne suis qu’une salope et une pute. En m’habillant ainsi ce matin je savais très bien ce que je faisais. Je me suis habillée provocante pour mieux provoquer le destin. Je ne peux plus reculer !

Une fois que les deux garçons sont nus, je me retrouve allongée entre eux deux sur ce vieux canapé. Ils sont à genoux à la hauteur de mon visage et je tète les deux glands qui se présentent à moi. Mohamed a vraiment une très grosse queue mais celle de Djamal me semble bien plus longue. Je passe d’une bite à l’autre et lorsque j’en suce un, je masturbe l’autre même s’ils n’ont nullement besoin de ça pour rester bien dur. Je garde les yeux fermés pour mieux savourer cet instant de débauche qui m’excite au plus haut point. Moi, la mère de trois grands enfants, l’épouse modèle, la collègue toujours prévenante, je m’offre à deux jeunes loubards dans une cave sordide du deuxième sous-sol d’une cité. Mais c’est si bon de briser les tabous !
Mohamed a deviné que je suis prête à être saillie et il me fait positionner à quatre pattes sur le canapé. Il se place derrière moi, frotte son gland contre ma chatte et lance à son copain
- Continue à te faire sucer pendant que je la prépare. Tu vas voir, une fois qu’elle es ...

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