Je n'avais jamais réalisé mon fantasme de m'exhiber en chienne en chaleur. Ce n'était pas faute de m'habiller en lingerie et de me photographier en salope depuis longtemps, mais j'avais toujours eu une réticence, quelque chose me retenait à chaque fois au dernier moment.
Mais ce soir-là, j'ai décidé de sauter le pas. Je m'épile entièrement, je mets ce que j'ai de plus sexy, bas, talons aiguille, guêpière noire et rouge, perruque brune, maquillée comme une pute. Je m'enfile un plug, histoire de dilater mon petit trou (on ne sait jamais), il est un peu étroit et je préfère prévoir une prédilatation au cas où j'aurais à accueillir un gros calibre. J'enfile une robe moulante, ou plutôt une mini-robe moulante, mais elle épouse tellement le corps qu'on se demande si j'en ai une. Je pars en voiture, heureusement je ne vais pas loin, et me rends à une aire de repos que je sais fréquentée par des mecs en recherche.
J'arrive sur le parking où j'aperçois quelques voitures garées au fond. Je continue la voie et me gare au bout où il n'y a personne. Un trou dans le grillage permet d'accéder au bois qui borde l'aire. Je me sens tout chose et tout gêné mais je me force à descendre et traverse, d'une démarche de salope en tournant mon petit cul, le morceau de pelouse pour entrer dans le sous-bois.
Là je me mets à arpenter les sentiers, provocante et sexy.
J'aperçois du mouvement devant moi. Un mec en costard s'approche : "bonjour, hummm, tu es excitante bébé . Il commence à me peloter les fesses, passe sa main sous ma robe qui remonte toute seule. Son autre main s'est emparée de ma queue qui n'a pas pu résister à se dresser. Il descend ma robe qui tombe sur mes pied. Je me retrouve ainsi complètement en lingerie. Un autre mec arrive, il a déjà sorti sa queue et se caresse : "oh quelle jolie petite salope on a là". Il passe sa main sur mon cul et saisit le plug qu'il retire puis réintroduit plusieurs fois de suite. Je gémis : "hummm oui, c'est bon ça". Je sens des mains partout sur moi, Costard a sorti sa queue et, collé contre mon cul, frotte son dard dans mon sillon fessier tout en me branlant. Je suis super excité, l'autre me caresse les boules et le périnée d'une main et caresse les fesses de mon frotteur de l'autre. Il appuie sur ma tête pour me signifier qu'il a envie que je le suce. Je me penche donc sur son pieu bien raide et là, je découvre une bite longue et épaisse. Je me dis que j'ai bien fait de préparer mon anus car c'est un vrai gourdin que je risque de prendre là. J'y pose ma langue, je le lèchouille, titille le méat puis le frein et descends lentement le long de la hampe. Je mordille ses bourses gonflées puis remonte ma langue vers son gland turgescent, que j'enfourne d'une seul coup. Je le suçote doucement, il appuie sur ma tête, il veut que je l'avale mais je prends mon temps. Je le pompe lentement quelques instants, je ressors sa bite en le regardant dans les yeux. Je vois son désir. Alors je l'enfourne de nouveau en fond de gorge en lui imprimant un va-et-vient avec mes lèvres bien serrés sur sa queue, tandis que je masse ses couilles et que j'enserre fortement la base de son pénis. Il me complimente en gémissant : "continue ma petite pute, elle est bonne ta bouche, oui pompe moi bien, c'est bon, hummm ouiiiii ". L'autre doit être excité par le spectacle car il est en train de me doigter le trou. Je sens 2 doigts me fouiller, heureusement que tout a été graissé correctement. Après un moment, il retire ses doigts et en mois de 5 secondes, je sens sa queue entrer dans mon fourreau et s'enfoncer à fond. Ses couilles viennent maintenant taper contre mon cul à intervalles réguliers. Pendant ce temps, l'autre s'est totalement dévergondé, je n'ai plus besoin de bouger, c'est lui qui baise ma bouche, je ne fais que le branler en même temps. Son rythme accéléré me signale qu'il ne va plus tenir longtemps, il m'insulte "allez salope, prends ça, avale tout, bouffe moi la queue. T'es la reine des suceuses, je vais te gicler dedans". ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite